ellauri014.html on line 1206: « Voyez donc, continuait-elle, à quelle félicité je suis parvenue. J’en avais beaucoup ; j’en attendais davantage. La prospérité de ma famille, une bonne éducation pour mes enfants, tout ce qui m’était cher rassemblé autour de moi ou prêt à l’être. Le présent, l’avenir, me flattaient également ; la jouissance et l’espoir se réunissaient pour me rendre heureuse. Mon bonheur monté par degrés était au comble ; il ne pouvait plus que déchoir ; il était venu sans être attendu, il se fût enfui quand je l’aurais cru durable. Qu’eût fait le sort pour me soutenir à ce point ? Un état permanent est-il fait pour l’homme ?
ellauri033.html on line 131: incohérent, pour dissimuler soit le défaut de leur éducation rythmique,
ellauri145.html on line 70: André Breton est né le 19 février 1896 à Tinchebray en Normandie, où il passe ses quatre premières années. Fils unique de Louis-Justin Breton, gendarme né dans les Vosges, il est issu de la petite bourgeoisie catholique dont la mère impose une éducation rigide, il passe une enfance sans histoire à Pantin (Seine-St-Denis3), dans la banlieue nord-est de Paris.
ellauri145.html on line 1067: À Lulu, - démon - qui a conservé un goût pour les oratoires du temps des Amies et de son éducation incomplète. Pour les hommes ! À madame ***.

ellauri145.html on line 1117: Vitalie grandit sous l´autorité d´une mère autoritaire et conservatrice qui lui inculque une éducation stricte basée sur la morale chrétienne. À la différence de ses deux frères Frédéric et Arthur, qui étaient passés par l´institut Rossat, structure privée mais laïque d´excellente réputation, elle est pensionnaire chez les religieuses du couvent des Sépulcrines, situé place du Sépulcre, actuellement place Jacques-Félix.
ellauri151.html on line 69: Gide, dans ce roman, est influencé par Hegel (La conscience malheureuse), Rousseau et Condillac (l'éducation).
ellauri161.html on line 894: Né dans une famille savoyarde originaire du comté de Nice, Xavier de Maistre est le douzième enfant parmi quinze, dont cinq garçons et cinq filles ont survécu. Tässähän kalpenee jopa Kumpulankin kenno! Son père, François-Xavier Maistre, est président du Sénat de Savoie. Sa mère, Marie-Christine de Motz, meurt alors qu'il vient d'avoir dix ans. Son frère aîné, Joseph de Maistre, homme politique et écrivain, va assumer pleinement son rôle de parrain; ses autres frères et sœurs contribuent également à son éducation.
ellauri162.html on line 141: Son père, Émile Bernanos (1854-1927), est un tapissier décorateur d´origine espagnole et lorraine. Sa mère, Clémence Moreau (1855-1930), est issue d´une famille de paysans berrichons originaire de Pellevoisin, dans l´Indre. Il garde de son éducation la foi catholique et les convictions monarchistes de ses parents.
ellauri163.html on line 868: Cette éducation lui permet de s´inscrire dans une double tradition culturelle, judaïque et classique. Il devient professeur et est notamment chargé des cours de pédagogie et de sciences sociales à l´université Bordeaux en 1887 puis il devient professeur de cette université en 1896. Jeune agrégé, il est envoyé en Allemagne, où il est marqué par le fonctionnement des universités allemandes, et par des philosophes sociaux qui s´intéressent au rôle de l´État moderne. Il devient docteur ès lettres en 1893. Molemmat kilpahakijat oli siis maaseutuyliopistomiehiä.
xxx/ellauri127.html on line 435: Prosper Mérimée naît le 28 septembre 18031 à Paris dans une famille bourgeoise. Du côté de sa mère, Prosper Mérimée est sans doute l'arrière-petit-fils de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont (1711-1776). Les parents de Prosper, qui se sont mariés à (Paris 12e) le 22 juin 1802, ont un solide bagage intellectuel et artistique datant du XVIIIe siècle, mais ne s'engagent guère dans les courants culturels naissants (romantisme). De l'éducation parentale, Mérimée retient l'horreur de l'emphase.
xxx/ellauri139.html on line 1022: Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château et mort le 16 novembre 1780 à Paris, est un poète lorrain francophone. Son père, maire de Fontenoy-le-Château, propriétaire de deux fermes, y exerce le métier de marchand de grains. Son éducation est confiée au curé du village, un jésuite qui, voyant en lui « un esprit apte à être éduqué », lui apprend le latin. Puis le jeune Nicolas part faire ses humanités au collège de l'Arc à Dole. Après 1770, il part pour Paris, avec en poche ses premiers vers, ainsi qu’une lettre, signée de Mme de La Verpillière, femme du prévôt des marchands de Lyon et mécène. Cette lettre recommande le jeune poète à D’Alembert. Il semble que D’Alembert, lui ayant promis une place de précepteur, n’honore pas cette espérance, et le reçoit d’ailleurs assez froidement. Gilbert s'en souviendra quand il composera sa satire du Dix-huitième siècle :
xxx/ellauri178.html on line 287: La famille adoptive de Genet lui offre l’éducation communale, une mère de lait douce et aimante et un environnement protégé. Selvä mammanpoika siis, kuten Peppukin.
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