ellauri012.html on line 672: « Sur-tout ne vous laissez point ensorceler par les attraits diaboliques de la géométrie. »
ellauri014.html on line 1035: Le surlendemain de notre arrivée, je le vis entrer dans ma chambre avec une contenance ferme et grave, et tenant une lettre à la main. Je m’écriai : « La marquise est morte ! ─ Plût à Dieu ! reprit-il froidement, il vaut mieux n’être plus que d’exister pour mal faire. Mais ce n’est pas d’elle que je viens vous parler ; écoutez-moi. » J’attendis en silence.
ellauri014.html on line 1037: « Milord, me dit-il, en me donnant le saint nom d’ami, vous m’apprîtes à le porter. J’ai rempli la fonction dont vous m’avez chargé ; et vous voyant prêt à vous oublier, j’ai dû vous rappeler à vous-même. Vous n’avez pu rompre une chaîne que par une autre. Toutes deux étaient indignes de vous. S’il n’eût été question que d’un mariage inégal, je vous aurais dit : Songez que vous êtes pair d’Angleterre, et renoncez aux honneurs du monde, ou respectez l’opinion. Mais un mariage abject !… vous !… Choisissez mieux votre épouse. Ce n’est pas assez qu’elle soit vertueuse, elle doit être sans tache… La femme d’Edouard Bomston n’est pas facile à
ellauri014.html on line 1040: Alors il me remit la lettre. Elle était de Laure. Je ne l’ouvris pas sans émotion. « L’amour a vaincu, me disait-elle ; vous avez voulu m’épouser ; je suis contente. Votre ami m’a dicté mon devoir ; je le remplis sans regret. En vous déshonorant, j’aurais vécu malheureuse ; en vous laissant votre gloire, je crois la partager. Le sacrifice de tout mon bonheur à un devoir si cruel me fait oublier la honte de ma jeunesse. Adieu, dès cet instant je cesse d’être en votre pouvoir et au mien. Adieu pour jamais. O Edouard ! ne portez pas le désespoir dans ma retraite ; écoutez mon dernier vœu. Ne donnez à nulle autre une place que je n’ai pu remplir. Il fut au monde un cœur fait pour vous, et c’était celui de Laure. »
ellauri014.html on line 1049: Alors, s’approchant avec transport, il me dit en me serrant contre sa poitrine : « Ami, je lis, dans le sort commun que le ciel nous envoie, la loi commune qu’il nous prescrit. Le règne de l’amour est passé, que celui de l’amitié commence ; mon cœur n’entend plus que sa voix sacrée, il ne connaît plus d’autre chaîne que celle qui me lie à toi. Choisis le séjour que tu veux habiter : Clarens, Oxford, Londres, Paris ou Rome ; tout me convient, pourvu que nous y vivions ensemble. Va, viens où tu voudras, cherche un asile en quelque lieu que ce puisse être, je te suivrai partout : j’en fais le serment solennel à la face du Dieu vivant, je ne te quitte plus qu’à la mort. »
ellauri014.html on line 1197: « On ne sait pas, disait-elle, quelle douceur c’est de s’attendrir sur ses propres maux et sur ceux des autres. La sensibilité porte toujours dans l’âme un certain contentement de soi-même indépendant de la fortune et des événements. Que j’ai gémi ! que j’ai versé de larmes ! Eh bien ! s’il fallait renaître aux mêmes conditions, le mal que j’ai commis serait le seul que je voudrais retrancher ; celui que j’ai souffert me serait agréable encore.»
ellauri014.html on line 1206: « Voyez donc, continuait-elle, à quelle félicité je suis parvenue. J’en avais beaucoup ; j’en attendais davantage. La prospérité de ma famille, une bonne éducation pour mes enfants, tout ce qui m’était cher rassemblé autour de moi ou prêt à l’être. Le présent, l’avenir, me flattaient également ; la jouissance et l’espoir se réunissaient pour me rendre heureuse. Mon bonheur monté par degrés était au comble ; il ne pouvait plus que déchoir ; il était venu sans être attendu, il se fût enfui quand je l’aurais cru durable. Qu’eût fait le sort pour me soutenir à ce point ? Un état permanent est-il fait pour l’homme ?
ellauri016.html on line 417: «Fysiske smerter er ikke det verste for et menneske å leve med,» sa Altman.
ellauri016.html on line 418: «Tro meg, jeg ser det daglig. Ikke døden, heller. Ikke engang frykten for
ellauri016.html on line 419: døden.»> «Hva er det verste da?>> «Ydmykelse. A fratas ære og verdighet. Å avkles, å støtes ut av flokken. Det er den verste straffen, det er å begrave et menneske levende. Og den eneste trøsten er at vedkommende vil gå relativt raskt til grunne.»>
ellauri021.html on line 633: Er sprach: «vrowe, gewir baz!
ellauri021.html on line 638: «Iz stat ein linde wolgetan
ellauri021.html on line 644: dixit «sedeamus»,
ellauri021.html on line 646: «ludum faciamus!»
ellauri021.html on line 650: er sprah: «ich mache dich ein wip,
ellauri021.html on line 661: «ludus compleatur!»
ellauri031.html on line 792: Hele livet var han en aktiv predikant, særlig i pinsebevegelsen. Han virket særlig i Norge og Sverige. Han har blitt omtalt som «Nordens Billy Graham», og omtales som høyt verdsatt. Minos markerte seg også som abortmotstander.
ellauri031.html on line 800: Den kanskje mest kjente profetien Minos har formidlet er en profeti han skrev ned gitt av en eldre kvinne fra Valdres. Hun var i nitti-årene. Dette var på slutten av 1960-tallet og kvinnen fortalt Minos hvordan det ville være «i den siste tid», den handlet om samboere (noe som var uvanlig på den tiden), umoral, tabuer som brytes, om en militær nedrustning (i Norge), den tredje verdenskrig og mye annet. Profetien innholdt så mye radikalt at Minos la den til siden, for så å glemme den.
ellauri033.html on line 92: faubourgs. On connaît sa physionomie quasi légendaire de satyre, « crâne
ellauri033.html on line 106: poètes de l´art pour l´art, et, comme eux, s´efforce d´être impassible et marmoréen. Il raille l´ « inspiration », il bafoue la «
ellauri033.html on line 129:

Parmi les « jeunes » qui suivaient Verlaine, la plupart ne
ellauri033.html on line 134: disciples. Lorsqu´on lui demandait quelle était sa doctrine: « Je n´en
ellauri033.html on line 138: proclamé par la « jeunesse littéraire » Prince des poètes français.
ellauri033.html on line 170: Né en 1862 à Charmes en Lorraine, Maurice Barrès a huit ans en 1870 et jamais il n´oubliera l´humiliation de la défaite et de l´occupation : « C´est persuasif pour toujours, écrira-t-il vers la fin de sa vie, d´avoir vu dans sa huitième année une troupe prussienne entrant sur un air de fifre dans une petite ville française. »


ellauri033.html on line 177: trois choses dont MM. de Concourt se font également honneur. « Les trois
ellauri033.html on line 198: du vrai, comme ils soulignent, l´ « actualisé » superficielle des
ellauri033.html on line 202:

1. Ecrit après le « banquet des Goncourt. »


ellauri033.html on line 203:

« Le moderne, disent-ils, tout est là. » Ce moderne, tel que leurs
ellauri033.html on line 212:

S´étant imposé « les devoirs de la science », ils veulent que leurs
ellauri033.html on line 215: chaque homme. Or, la vision des Goncourt ne ressemble à aucune autre : tout objet, en passant à tràvers leur « moi », s´y réfracte fiévreusement.
ellauri033.html on line 217: chose de répugnant. « Notre œuvre, déclarent-ils, repose sur une maladie
ellauri033.html on line 237: Uniquement soucieux de « piquer » la sensation, l´écriture artiste des
ellauri033.html on line 249:

Reste la japonaiserie. Au « pensum du beau », les Goncourt en préfèrent
ellauri033.html on line 253: n´allons pas dire, avec le roi classique : « Otez-moi de là ces magots
ellauri033.html on line 268:

« Seul, le pire arrive », s´écrie Folantin exaspéré. Si la vie est
ellauri033.html on line 275: grâce divine. « Seigneur, ayez pitié! »


ellauri033.html on line 283:

« Ce que j´aurais traité de fou, dit le Durtal d´En route, celui qui
ellauri033.html on line 311: le dit, « à jamais fichu ». Dans ses crises d´estomac, il fréquentera
ellauri033.html on line 314:

Mais quoi ? Les « noces » ne l´empêcheront peutêtre pas de faire son
ellauri033.html on line 317: l´abbé Gévresin, son directeur, « l´important est de n´aimer que
ellauri033.html on line 354: cours de philosophie se crurent atteints d´un intellectualisme aigu. «
ellauri033.html on line 364: osciller sans fatigue entre « l´attrait criminel de la négation » et «
ellauri033.html on line 384: prouver que l´analyse est une « multiplicatrice d´énergie morale ».
ellauri033.html on line 389: ensoutanée; il coiffe tout idéal d´un froc. Son « saint laïque », M.
ellauri033.html on line 391: cléricalise la vertu. Pour deus ex machina, toujours un prêtre : l´abbé Taconnet dans Mensonges ; dans Un Saint, le Père Griffi. Dans son dernier ouvrage, voici Léon XIII en personne, ce « prisonnier », ce « martyr » — debitricem martyrii fidem,
ellauri033.html on line 394: respire « une splendide rose jaune ». Devant ce spectacle, qui fait
ellauri033.html on line 447: L’auteur des Chansons joyeuses était alors amateur de vins et très libre sur le plan des mœurs. Il faut signaler une amitié particulière peu connue qui avait uni Maurice Bouchor et Paul Bourget. Ce dernier écrivait à Bouchor quand il avait 15 ans des lettres enflammées auxquelles l’adolescent n’était pas inseänsible. Bourget à cette époque était son « précepteur ». Il faut savoir que Paul Bourget est présent dans l’Album zutique et qu’il fréquentait le groupe des Vivants auquel on l’associe à tort. Il semble que Bouchor n’ait pas craint dans sa première jeunesse de passer pour un homosexuel, peut-être par provocation.
ellauri033.html on line 1108: Atteint d´un cancer des voies digestives lors de l´hiver 1888-1889, Villiers ne peut plus travailler, et Mallarmé doit ouvrir une « cotisation amicale » parmi ses amis pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille. Le 12 juillet 1889, il est transféré à la clinique des Frères Saint-Jean-de-Dieu, rue Oudinot, à Paris. Se sentant à l´article de la mort, il rédige, le 12 août, un testament où il reconnaît son fils Victor et épouse in extremis Marie Dantine, le 14 août, afin de légitimer son fils. À noter que, juste avant de mourir, il aurait eu ces derniers mots passés à la postérité : « Eh bien, je m´en souviendrai de cette planète ! »
ellauri033.html on line 1115: Selon sa généalogie, Villiers de L´Isle-Adam appartient à l´ancienne et illustre famille des Villiers, seigneurs de l´Isle-Adam : toutefois, cette généalogie présente des trous qui, de son vivant déjà, ont provoqué des doutes, renforcés en 1928 par un article de Max Prinet paru au Mercure de France. D´après lui, il descend d´une famille de la noblesse de robe parisienne, et son premier ancêtre certain est un Jean de Villiers, procureur des comptes au début du XVIIe siècle. Un autre Jean de Villiers, petit-fils du précédent, s´établit en Bretagne et devient le premier à ajouter à son nom le nom de la terre de « L´Isle-Adam » et à prétendre ainsi à une parenté imaginaire avec les seigneurs de L´Isle-Adam.
ellauri033.html on line 1117: Cependant, il apprend qu´un certain Georges de Villiers de L´Isle-Adam l´accuse d´usurper son nom ; il manque de le provoquer en duel quand il découvre que Louis XVIII, croyant à tort la branche des Villiers de L´Isle-Adam éteinte, avait autorisé un Villiers des Champs à « relever » le nom en 1815.
ellauri033.html on line 1119: Villiers était « un inquiétant mythomane. Il revendiqua le trône de Grèce, poursuivit des critiques pour diffamation, se prétendit Prince du Saint-Empire Romain, unique héritier du grand maître de Rhodes fondateur de l´ordre de Saint-Jean de Jérusalem, Grand d´Espagne depuis Charles Quint, 22 fois comte ».
ellauri036.html on line 208: Koko Rollan kolmoslaulu yrittää syyllistää Voltairea ja panna sen syyxi 19. vuosisadan hengellisen alamäen. Ja paskat, tuotantotavoistahan siinä oli kysymys. «Kaikki on Voltairen syytä», heittää Gavrochekin de Gillenormand hahmolle, voltairelaiselle porvarille, Hugon Kurjissa. Mikä ei ole mitään verrattuna Mussetin raakuuteen syytöxissä Voltairea vastaan. Victor Hugo pyörsi 1878 pyhät sanansa ja palautti Voltairelle kunnian sen sadantena syntymäpäivänä. Ei ollut M. Arouet enää kuulolla.
ellauri036.html on line 592: «Ta fille est belle et vierge, et tout cela se vend! »
ellauri036.html on line 895: Il brisa sur sa tige un pauvre dahlia. «
ellauri036.html on line 923: «Oui, dans cette chétive et douce créature,
ellauri036.html on line 955: Marie en soupirant entr'ouvrit sa paupière. «
ellauri036.html on line 966: «Qu'est-ce que tu fais là ? pourquoi prends-tu ma place ? »
ellauri036.html on line 975: «Ah! dit-elle, en tremblant, qu'avez-vous aujourd'hui?
ellauri036.html on line 983: «Ruiné? ruiné? vous n'avez pas de mère?
ellauri036.html on line 991: «Je voudrais pourtant bien te faire une demande,
ellauri036.html on line 1385: « Tyttäresi on kaunis ja neizyt, ja kaikki se on kaupan! »
ellauri036.html on line 1534: « Äijämäisyys, olet vain sana! » ei se kironnut.
ellauri036.html on line 1719: « Joo, tässä surkeassa ja suloisessa oliossa.
ellauri036.html on line 1752: « Mä näin, se sanoi Rollalle, ihmeellisen unen:
ellauri036.html on line 1762: «Mitä sä teet täällä? Ja mix sä oot mun paikalla?? »
ellauri036.html on line 1771: « Äh! se sanoi, vapisten, mikä sua tänään vaivaa?
ellauri036.html on line 1777: — « Konkassa» sanoi Maria. Ja kuin pazas,
ellauri036.html on line 1779: « Konkassa? konkassa? eikö sulla ole äitiä?
ellauri036.html on line 1787: « Haluaisin kuitenkin kysyä sulta yhtä asiaa,
ellauri037.html on line 626: Er stellte sie vor die Wahl: «Von Gerstenbergk oder ich!
ellauri037.html on line 642: Vornamen Theresa kennen. Er erwog eine Heirat, wobei er peinlich genau ihre Fehler und ihre Vorzüge gegeneinander abwog. Er entschied sich gegen eine Heirat, als sie ihn in peinliche Verlegenheit brachte, indem sie in der Offentlichkeit in den höchsten Tonen von einem anderen Mann schwärmte - von Lord Byron. Schopenhauer schrieb: «Ich fürchtete mich vor Hörnern »
ellauri037.html on line 650: alle mit Verachtung. Der Geschlechtstrieb war für ihn «ein Dämon, der danach strebt, zu pervertieren, einzuengen und alles
ellauri037.html on line 673: Dennoch hat er die Frauen nie aus seinem Leben verbannt. In einer Zeitschrift schrieb er von einem «Fräulein Medon», einer Schauspielerin von großem Charme, die mit bürgerlichem Namen Caroline Richter hieß. Er umwarb und gewann sie, und wieder dachte er an Heirat. Nach seiner sorgfältigen Analyse war sie "recht zufriedenstellend", als Geliebte oder als Ehefrau. Aber wieder erhoben sich seine Vorsicht und sein Zynismus. Er war verliebt, aber er war auch Philosoph. Sein Pessimismus gewann die Oberhand, und die Idee einer Heirat wurde fallengelassen. Schopenhauer bedeutete sein absolutes Vertrauen auf die Unsterblichkeit seiner Werke mehr als Kinder, die er der Nachwelt hätte hinterlassen können. Dank Gott.
ellauri039.html on line 795: Sprach: »Sieh' da, ich dacht' es gleich!«
ellauri039.html on line 796: — »Ja, ja, ja!« rief Meister Böck,
ellauri039.html on line 797: »Bosheit ist kein Lebenszweck!«
ellauri039.html on line 799: »Dies ist wieder ein Exempel!«
ellauri039.html on line 800: — »Freilich!« meint der Zuckerbäcker,
ellauri039.html on line 801: »Warum ist der Mensch so lecker!«
ellauri039.html on line 803: Sprach: »Das kommt von dumme Witze!«
ellauri039.html on line 805: Dachte: »Wat geiht meck dat an!«
ellauri039.html on line 809: Mit der Übeltäterei!!«
ellauri040.html on line 95: «Un jour, écrit Emmanuelle Guattari, alors qu’on attend dans la voiture, Bertrand, un malade, me dit en souriant : "Christian et moi, on attend que nos dents repoussent." Je dodeline de la tête avec une moue et un haussement d’épaule : "Ça ne se peut pas." "- Oui, continue-t-il, mais on peut quand même attendre."»
ellauri043.html on line 253:

«Apt 10:11. 9. TOisna päiwänä/ cosca he matcas olit/ ja Caupungita lähestyit/ meni Petari ylös Salin ullackon rucoileman/ liki cuudetta hetke/ ja cuin hän isois/ tahdoi hän suurusta. 10. Cosca he hänelle walmistit/ tuli hän horroxijn: Ja näki Taiwan auki/ ja alas tulewan tygöns yhden astian nijncuin suuren lijnaisen waatten neliculmaisen/ sidottuna/ joca alaslaskettin Taiwast maan päälle.
ellauri043.html on line 266:
«Estherin Kirja
ellauri043.html on line 278:
«Daniel 2. Lucu 24. SIlloin meni Daniel Ariochin tygö/ jolla Cuningalda käsky oli wijsaita Babelis hucutta/ ja sanoi hänelle näin: Älä tapa wijsaita Babelis/ waan wie minua ylös Cuningan tygö/ minä tahdon Cuningalle selityxen sanoa. 25. Arioch wei Danielin kijrust Cuningan eteen/ ja sanoi hänelle näin: yxi on löytty Judalaisten fangein seast/ joca Cuningalle sen selityxen sano taita. 26. Cuningas wastais/ ja sanoi Danielille/ joca Belsazerixi cudzuttin. Oletco sinä se/ joca minulle sen unen/ jonga minä nähnyt olen/ ja hänen selityxens ilmoitta taidat? 27. DAniel wastais Cuningan
ellauri043.html on line 295:
«39. Lucu.
ellauri043.html on line 316:
«1 Kuningk. Kiria
ellauri043.html on line 1557: «Ei ole muuta jumalaa kuin mä;»
ellauri043.html on line 1787: Se huusi kaukaa: «Pysähtykää!»
ellauri043.html on line 1797:

Ensin lähestyivät orjat. «Maisteri, ne sanoivat, meidän elukat on väsyneitä.
ellauri043.html on line 1798: ; sitten tuli nämä naiset: «Meitä pelottaa
ellauri043.html on line 1800: ja orjat meni tiehensä. Sitten lapset alkoio itkeä: «Meillon nälkä!» ja kun naisille ei vastattu, ne hävisivät.


ellauri043.html on line 1802: «Hylkäät mut?» ja mä vastasin:
ellauri043.html on line 1803: «Joo! Ala vetää!» — seurataxeni Montanusta.


ellauri043.html on line 2149: sanoo jonkun toisen korvaan: «Paapa tulee» — ja ne johdatetaan matalakattoiseen kalustamattomaan huoneeseen.
ellauri043.html on line 2155:

Ne puhuu hiljaisella äänellä perheistään, tai neuvovat toisilleen parannuskeinoja sairauxiin. Monet aikoo nousta laivaan aamunkoitossa, vaino on käynyt liian kovaxi. Mutta pakanoita ei ole vaikea huijata. «Ne luulee hölmöt että me palvotaan Knouphista!»


ellauri043.html on line 2773: ; — ja sisäinen ääni mutisee sen mahassa. «Mikä ettei?»


ellauri043.html on line 3338:

Mestari sanoi sille: «Hei nätti poika, sä syleilet käärmettä; käärme hellii sua! Millos on häät? Me mentiin kaikki häihin.


ellauri043.html on line 3778: Mä muistan nähneeni niitä satoja kerralla, Elephantinen saarella, Diocletianuxen aikana. Keisari oli luovuttanut paimentolaisille ison maan sillä ehdolla, että ne vartioisivat rajoja; ja sopimus tehtiin «Näkymättömien voimien» nimin. Eihän ketkään kansat välitä toisten jumalista.
ellauri043.html on line 4014: «Ja kun ne näkivät tähden pysähtyvän, he tunsivat suuren ilon!»
ellauri043.html on line 4037:

«
ellauri043.html on line 4053: «…Rabbien keskellä; ja kaikki jotka kuunteli sitä oli hämmästyneitä sen viisaudesta.»
ellauri043.html on line 4104:

«Farisealaiset, ulkokultaiset, valkaistut haudat, kyykäärmeiden rotu!»
ellauri045.html on line 564: «Слушай, слушай, — «Kuule, kuuntele, —
ellauri045.html on line 601: «Черный человек! «Musta ihminen!
ellauri045.html on line 643: «Слушай, слушай! — «Kuule, kuuntele! —
ellauri045.html on line 683: «Черный человек! «Musta ihminen!
ellauri053.html on line 165: Pline l'Ancien mentionne plusieurs gisements : « Le bitume approche du soufre ; c'est tantôt un limon, tantôt une terre. Un limon, sortant d'un lac de Judée. Une terre, en Syrie, autour de la ville maritime de Sidon. Dans ces deux états, il s'épaissit et se condense. Il y a aussi un bitume liquide, témoin celui de Zacynthe et celui qu'on apporte de Babylone ; ce dernier bitume est blanc. Le bitume d'Apollonie est liquide aussi. Tous portent en grec le nom de pissasphalte, comme qui dirait mélange de poix et de bitume ». C'est l'origine des noms de spalt et d'asphalte.
ellauri055.html on line 52: Son père, procureur, décède alors que Jean Bouchet est encore jeune. Ami de Rabelais, Jean Bouchet exerce la profession paternelle. Il compose un grand nombre d'ouvrages historiques ou de fantaisie en vers et en prose, qui sont encore recherchés des bibliographes au XIXe siècle. Selon Maurice Allem, « grand travailleur, bon bourgeois, père d'une nombreuse famille, Bouchet est volontiers moraliste et même sentencieux » ainsi dans cet envoi :
ellauri055.html on line 78: Les deux hommes ont quinze ans de différence. Stefan Zweig s'intéresse aux lettres européennes et il a déjà traduit quelques œuvres d'auteurs anglais, français et belges. La découverte en 1907 des premiers volumes de Jean-Christophe sera décisive dans sa rencontre avec l'auteur. Il est séduit par la portée universelle de l’œuvre de Romain Rolland et plus encore par l’homme auquel il rend visite, pour la première fois en février 1911, dans son appartement du 162, boulevard du Montparnasse. Les deux hommes partagent un amour pour la musique, une même foi en l'humanité et le sentiment d'appartenir à une civilisation, une culture commune, dont Romain Rolland esquisse les contours dans « la chevauchée européenne de Jean-Christophe ». Les deux écrivains entretiendront une correspondance suivie et intense entre 1910 et 1940 : 945 lettres ont été retrouvées (509 de Stefan Zweig dont une centaine en allemand, et 436 pour Romain Rolland). Cette correspondance est d'une importance capitale pour l'histoire des intellectuels du début du XXe siècle.
ellauri055.html on line 80: Le 22 décembre 1912, à l'occasion de la publication du dernier volume de Jean-Christophe, Stefan Zweig publie une lettre ouverte dans le Berliner Tageblatt, lettre dans laquelle il rendait hommage à l'action de Romain Rolland pour son œuvre de rapprochement entre les jeunesses de France et d'Allemagne (« Jean-Christophe est un événement éthique plus encore que littéraire »).
ellauri055.html on line 84: Déstabilisé par l'élan mystique qui traverse alors la société autrichienne, Stefan Zweig affiche au début de la guerre un patriotisme en phase avec l'Allemagne. L’opiniâtreté de Romain Rolland dans sa lutte contre la guerre et l'amitié que se portent mutuellement les deux hommes permettra à Stefan Zweig de surmonter cette épreuve. L'admiration que l'écrivain autrichien voue désormais à celui qu’il considère comme son maître s'exprimera dans la biographie qu'il lui consacre en 1921, qualifiant Romain Rolland de « Conscience de l'Europe ».
ellauri055.html on line 88: « Il est trop clair que nos chemins se sont séparés. Il ménage étrangement le fascisme hitlérien qui cependant ne le ménagera pas… »
ellauri055.html on line 92: « La visite à Rolland, décevante hélas, il a l’air vieilli et fatigué. »
ellauri055.html on line 102: Le bahaïsme, ou baha’isme, aussi connu sous le nom de foi bahá’íe (prononcer [baˈ.haː.ʔ.iː] ou [ba.hɑː.i]) ou béhaïsme (vieille graphie), est une religion abrahamique et monothéiste, proclamant l’unité spirituelle de l’humanité. Les membres de cette communauté religieuse internationale se décrivent comme les adhérents d’une « religion mondiale indépendante »[. Elle est fondée par le Persan Mīrzā Ḥusayn-ʿAlī Nūrī (1817-1892) en 1863. Ce nom est dérivé du surnom donné à son fondateur : Bahāʾ-Allāh (en arabe, « Gloire de Dieu » ou « splendeur de Dieu ») — Bahá’u’lláh en translittération baha’ie. Les baha’is sont les disciples de Bahāʾ-Allāh. Ils s’organisent autour de plus de 100 000 centres (répertoriés par le centre mondial de Haïfa) à travers le monde. En 2011, cette religion met en avant dans ses documents le chiffre de 7 millions de membres appartenant à plus de 2 100 groupes ethniques, répartis dans plus de 189 pays. Son centre spirituel (lieu de pèlerinage — ziyarat) et administratif est situé à Haïfa et Acre, en Israël.
ellauri055.html on line 136: Les temples érigés par la communauté sont appelés « Maison d’adoration », arabe : مشرق اﻻذكار (Mašriq al-Aḏkār) (« L’Orient des invocations» ou « lieu où se lève à l’aube la mention du nom de Dieu »).
ellauri055.html on line 138: Ils doivent être construits selon des critères particuliers, liés au nombre 9 qui doit apparaître comme un « symbole évident pour tous ». Aussi, tous les temples baha’is doivent-ils avoir neuf entrées.
ellauri055.html on line 140: Du point de vue liturgique, la méditation dans les temples est accompagnée de lectures choisies dans les textes sacrés des autres religions. Ces textes — par exemple le Pentateuque des juifs, le Nouveau Testament des chrétiens, le Coran des musulmans, le Bayān des babis, etc. — ont annoncé successivement, par paliers de perfection croissante, l’incessante révélation divine ou message de Dieu. En ce sens, le livre sacré liant tous les textes sur la révélation qui le précèdent est logiquement le dernier dans l’ordre chronologique, à savoir le Kitāb-i Aqdas (« Le plus saint livre »). Il a été rédigé vers 1873 par Bahāʾ-Allāh et est complété par différentes tablettes (lawḥ) révélées ensuite ; pour les baha’is, c’est le texte de référence bien qu’il ne soit pas plus important que les autres, ni le livre le plus lu par les baha’is eux-mêmes sur la foi. Le livre ne fut d’ailleurs accessible que très tard aux croyants occidentaux puisque la première traduction officielle en anglais date de 1992.
ellauri055.html on line 148: Le symbole fréquemment rencontré de la foi baha’ie est une étoile à neuf branches, parfois accompagnée d’une calligraphie du « Plus Grand Nom » يا بهاء الأبهى (Yā Bahāʾ al-Abhā') (« Ô Gloire du plus glorieux ! »).
ellauri055.html on line 150: Mais d’après le Gardien Shoghi Effendi Rabbānī, le véritable symbole de la Foi baha’ie est cette étoile à 5 branches et non pas l’étoile à 9 pointes : « Strictly speaking the 5-pointed star is the symbol of our Faith, as used by the Báb and explained by Him (« À proprement parler, l’étoile à 5 branches est le symbole de notre Foi, tel qu’utilisé par le Bab et expliqué par lui ») »
ellauri055.html on line 170: Emprunt à l'occitan prunhon issu du latin vulgaire *prūnea pour prūna « prune ». Attesté d'abord en français sous la forme brignon (1600), et enfin brugnon (1680).
ellauri061.html on line 732: «Trasformare il cardo bolscevico in rosa d'Italia, Rosa d'Amore.»
ellauri062.html on line 536: Salvatore Quasimodo (Modica, 20 agosto 1901 – Napoli, 14 giugno 1968) è stato un poeta e traduttore italiano, esponente di rilievo dell'ermetismo. Ha contribuito alla traduzione di vari componimenti dell'età classica, soprattutto liriche greche, ma anche di opere teatrali di Molière e William Shakespeare. È stato vincitore del premio Nobel per la letteratura nel 1959 «per la sua poetica lirica, che con ardente classicità esprime le tragiche esperienze della vita dei nostri tempi».
ellauri062.html on line 538: Ungaretti (1888-1970) oli Mussolinin kamu, liittoutuneiden kannalta housunsa paskantanut kaveri. Sixi Guasimodo vei sodan jälkeen pokaalin. Montale (1896-1981) pokkas omansa 1975 «per la sua poetica distinta che, con grande sensibilità artistica, ha interpretato i valori umani sotto il simbolo di una visione della vita priva di illusioni». Se oli antifasisti vaan koska se oli aristokraattinen snobi.
ellauri062.html on line 780: Serrano alcanzó gran éxito al cantar en alemán composiciones como «Roter Mohn (Roter Mohn, warum welkst du denn schon?)», «Schön die Musik», «Küß mich, bitte, bitte, küß mich», «Und die Musik spielt dazu», «Der Onkel Jonathan» y «Der kleine Liebesvogel» durante el auge de la Alemania nazi. Kreuder aprovechó para introducirla en las esferas del régimen nazi y Serrano llegó a participar en varios mítines y ceremonias nacionalsocialistas. Sus canciones fueron muy difundidas en las emisoras afines al Reich. Más adelante, declaró que nunca tuvo afinidad política alguna ni fue nazi, a pesar de que en sus grabaciones llevaba el emblema del águila nazi en su vestimenta.
ellauri064.html on line 91: Am Ende seines Lebens, sich auf der Flucht vor dem Faschismus und dabei in einer zunehmend aussichtslosen Lage befindend, greift er die gängige Fortschrittsmetapher auf: »Marx sagt, die Revolutionen sind die Lokomotiven der Weltgeschichte. Aber vielleicht ist dem gänzlich anders. Vielleicht sind die Revolutionen der Griff des in diesem Zug reisenden Menschengeschlechts nach der Notbremse.« Sehr ähnlich klingt es, wenn Greta Thunberg bei der UN-Klimakonferenz in Katowice davon spricht, dass es die einzig vernünftige Sache sei, die Notbremse zu ziehen. Walter veti hätäjarrusta ja sen juna pyhästyi. Matkalaukku tosin joutui hävyxiin. Arthur Koestler koitti samaa muttei älynnyt vetää vetimestä tarpeexi kovaa. Vuonna 83 se koitti uudestaan Ebba vaimon kanssa ja onnistui.
ellauri064.html on line 111: Damit steht er der kalifornischen Ideologie entgegen, die technologische »Lösungen« gesellschaftlichen Veränderungen vorzieht.
ellauri064.html on line 116: Grüne Kapitalistinnen und Kapitalisten hoffen gemeinsam mit dem solutionistischen Flügel der globalen Klimabewegung auf ein Licht am Ende des Tunnels. Slavoj Žižek appelliert in seinem Buch Mut zur Hoffnungslosigkeit, die Ausweglosigkeit der Lage konsequent zu Ende zu denken. Wahrer Mut bestehe darin, »einzugestehen, dass das Licht am Ende des Tunnels wahrscheinlich die Scheinwerfer eines entgegenkommenden Zuges sind«.
ellauri067.html on line 281: Эже́н Сю mainittiin jossain ven. klassikossa jonka luin Venäjäxi ja ihmettelin kuka tää nyt oli. Oisko ollut Гончаров (перевод фрагмента из «Атар-Гюля» стал началом его литературной карьеры). Atar-Gull est un roman d´Eugène Sue paru en 1831. Il s'agit d'un roman maritime qui met en scène des négriers ainsi qu´un esclave vengeur du nom dAtar-Gull.
ellauri072.html on line 252: Kestäös vain, sydän! Sait katalampiakin sinä kestää." «τέτλαθι δή, κραδίη· καὶ κύντερον ἄλλο ποτ' ἔτλης,
ellauri074.html on line 375: Ce qu'on appelle «pessimisme» n'est rien d'autre que «l'art de vivre», l'art de goûter la saveur amère de tout ce qui est.
ellauri074.html on line 379: Socrate, la veille de sa mort, était en train d'apprendre un air de flûte. «A quoi cela te servira-t-il? lui dit-on. - A savoir cet air avant de mourir.»
ellauri074.html on line 449: Vuonna 2005 Vasili erehtyi allekirjoittamaan antisemiittisen kirjelmän «Письмо 5000». The Letter of 5000 (Russian: Письмо‌ 5000), also known as the Letter of only 500 or the Letter of just 19 Deputies (Russian: Письмо 19 депутатов), was an open letter signed by 5,000 Russians, most significantly politicians, aimed at the Prosecutor-General of Russia. The Letter of 5,000 included sharp criticisms of Jews, Jewish leaders, and Jewish organisations, as well as calling for the investigation of the Kitzur Shulchan Aruch as a violation of the Criminal Code of Russia. The letter, published on 21 March 2005, attracted significant discussion in Russian and international media due to its demands, which were widely considered to be antisemitic.
ellauri077.html on line 724: Voici les douze promesses des alcooliques anonymes (source : « Gros livre », pages 94-95) :
ellauri096.html on line 423: Né en Allemagne de parents français, il est le fils du sculpteur Jean-Louis-Théodore Chopin (of whom very little is known) et le frère du polygraphe Jean-Marie Chopin. (polygraphe n. Auteur non spécialiste qui écrit sur les sujets les plus diverses; petit scolyte qui vit sous l'écorce des conifères (épicéa)... Mots proches: polygraph popularly referred to as a lie detector). Начал своё обучение живописи в 1816 году в Академии Художеств в Санкт-Петербурге. Карьера Шопена была достаточно успешна. В 1848 году был избран почётным вольным общником Императорской академии художеств в Санкт-Петербурге, после чего преподнёс в дар Академии свою картину «Суд Соломона».
ellauri096.html on line 701: Son livre Peau noire, masques blancs contient une critique de l´ouvrage Psychologie de la colonisation d´Octave Mannoni. Frantz Fanon adopte une attitude d´observateur extérieur au système colonial. Il n´admet pas l´analyse psychologique de Mannoni. En particulier l´élaboration du « complexe de Prospero » du colonisateur lui paraît « non fondée ». Les philosophes multiculturalistes (Charles Taylor, Will Kymlicka) ont plusieurs fois affirmé dans leurs articles s´inspirer des travaux de Fanon, précurseur du multiculturalisme.
ellauri096.html on line 708: Selon sa biographe, Alice Cherki, Fanon devient en France — « le pays pour lequel la guerre d´Algérie n´a pas eu lieu » —, « un philosophe maudit ». Il est occulté pour sa condamnation radicale du colonialisme français : « En redonnant à la colonie son rôle dans la construction de la nation, de l’identité nationale et de la république française, Fanon fait apparaître comment la notion de « race » n’est pas extérieure au corps républicain et comment elle le hante ». Mettant en cause un clivage racial au fondement du système colonial, Fanon gêne le républicanisme d´une France qui se dit indifférente aux différences mais qui, dans son propre empire colonial, a dénié des droits à des populations au motif de leur « race » dite inférieure.
ellauri097.html on line 254: Plusieurs de ses livres évoquent le Sud des États-Unis. Profondément marqué par la guerre de Sécession, l'auteur se considère dans ses écrits comme un « Sudiste ». Il a hérité ce patriotisme de sa mère, qui venait d'une famille distinguée du Sud. Quelques années avant la naissance de Julien, un choix de poste en Allemagne ou en France fut proposé à son père. La mère de Julien appuya le choix de la France en raison du fait que les Français étaient « aussi un peuple fier, récemment vaincus dans la guerre et nous nous comprendrons mutuellement » (référence à la défaite française de 1871 dans la guerre franco-prussienne).
ellauri097.html on line 258: Julien Green est né à Paris, 4, rue Ruhmkorff, de parents américains, descendant du côté de sa mère du sénateur et représentant démocrate de la Géorgie au congrès américain Julian Hartridge (en) (1829-1879) et dont Julien Green porte le prénom (Green a été baptisé « Julian » ; l'orthographe a été changée en « Julien » par son éditeur français dans les années 1920). Il grandit dans le 16e arrondissement de Paris, puis au Vésinet et passe ses vacances dans la commune d'Andrésy, dans les Yvelines. Il poursuit toutes ses études en France au lycée Janson-de-Sailly. Sa mère, protestante pieuse et aimante, meurt alors qu'il a 14 ans, et la famille déménage rue Cortambert, à Paris. Il se convertit au catholicisme en 1916, à la suite de son père et de toutes ses sœurs, ainsi qu'il le raconte dans Ce qu'il faut d'amour à l'homme, son autobiographie spirituelle. Il abjure l'anglicanisme à la crypte de la chapelle des sœurs de la rue Cortambert. Âgé de seulement 17 ans, Julian Green réussit à rejoindre les rangs de la Croix-Rouge américaine, puis est détaché dans l’artillerie française en 1918 en tant que sous-lieutenant et sert en Italie. Démobilisé en mars 1919, il se rend pour la première fois aux États-Unis en septembre de la même année et effectue trois ans d'études à l’université de Virginie, où il éprouve un premier amour chaste et secret pour un camarade d'études. Il écrit son premier livre en anglais, avant de revenir vivre en France.
ellauri102.html on line 431: Il demande ensuite aux femmes restantes si elles savent ou non pourquoi elles sont là, et lorsqu'une d'elles répond « non », il réplique : « Je combats le féminisme. » L'étudiante Nathalie Provost répond :
ellauri102.html on line 433: « Écoutez, nous sommes juste des femmes étudiant l'ingénierie, pas forcément des féministes prêtes à marcher dans les rues criant que nous sommes contre les hommes, juste des étudiantes cherchant à mener une vie normale. »
ellauri102.html on line 437: « Vous êtes des femmes, vous allez devenir des ingénieures. Vous n'êtes toutes qu'un tas de féministes, je hais les féministes. »
ellauri102.html on line 439: Il ouvre ensuite le feu sur les étudiantes de gauche à droite, en tuant six et en blessant trois, dont Nathalie Provost. Avant de quitter la salle, il écrit le mot « shit » deux fois sur le projet d'un étudiant.
ellauri102.html on line 443: Il recharge son arme et se rend, à nouveau, à l'avant de la classe, tirant par intermittence dans toutes les directions. À ce moment, Maryse Leclair, blessée, demande de l'aide. Lépine avance vers elle et, après avoir dégainé son couteau de chasse, la poignarde à trois reprises, l'achevant. Il enlève alors sa casquette, entoure son arme de son manteau, et s'exclame : « Oh, shit! », avant de se suicider d'une balle dans la tête, une vingtaine de minutes après avoir commencé son massacre.
ellauri105.html on line 389: 8 «Mie olen Alfa ta Omega, Alku ta Loppu», šanou Hospoti, Hiän, ken on, ken oli ta ken tulou, Kaikenvaltani.
ellauri109.html on line 387: En 1840, le journaliste Alphonse Karr attribue la paternité de l'enfant qu'elle porte à son amant Victor Cousin dans un article intitulé Une piqûre de Cousin. Furieuse, Louise Colet l'agresse avec un couteau de cuisine qu'elle lui plante dans le dos. Alphonse Karr s'en tire avec une égratignure, et renonce à porter plainte au grand soulagement de Victor Cousin. Il se contente de mettre le couteau dont elle avait voulu le frapper sur une étagère avec cette inscription «Donné par Madame Louise Colet (Dans le dos)». Louise Colet est inhumée dans le vieux cimetière de Verneuil-sur-Avre, où résidait sa fille. En 2016, sa tombe est à l'abandon.
ellauri109.html on line 413: C’est en référence à la chanson de Gavroche dans Les Misérables de Victor Hugo : « Je suis tombé par terre, c’est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau. » La faute est à Flaubert car c’est un homosexuel qui s’ignore.
ellauri109.html on line 414: « C’est la faute à Flaubert » du Dr Mohamed Taan (éditions St-Honoré, Paris - 324 pages) en librairie ou sur e-book.
ellauri109.html on line 416: À partir de 1870, Flaubert est confronté à de nombreux malheurs : sa mère meurt ainsi que Louise Colet et George Sand. Il est également confronté à des problèmes financiers et à des échecs littéraires. Il se met à écrire un roman satirique, « Bouvard et Pécuchet » qui sera publié inachevé en 1881.
ellauri109.html on line 441: Une première rupture avec Louise Colet en apporte la preuve. Dans sa lettre datée du dimanche 7 mars 1847, Flaubert ose enfin clamer à quel point il est allergique32 aux valeurs qu’elle véhicule, valeurs qui baignent et macèrent dans le discours ambiant du romantisme humanitaire33 : « tes idées de moralité, de patrie, de dévouement, tes goûts en littérature, tout cela était antipathique à mes idées, à mes goûts. »34 Ce qui vient immédiatement après est l’affirmation d’une esthétique, sur le mode de l’antithèse : « amoureux exclusif de la ligne pure, du galbe saillant, de la couleur criante, de la note sonore, je retrouvais toujours chez toi je ne sais quel ton noyé de sentiment qui atténuait tout, et altérait jusqu'à ton esprit ». Voilà les griefs d’un amant qui ne sépare pas l’art de la vie. Le lexique sentimental se trouve accaparé par le commentaire stylistique : « amoureux exclusif », écrit Flaubert, non pas d’une femme, comme Louise, elle, le voudrait, mais du tracé ferme, il lui reproche son « ton noyé de sentiment » qu’il interprète comme une déperdition de force et de précision. De même, les muscles relâchés, les lignes floues et les déliaisons trahissent le corps du texte féminin.
ellauri109.html on line 451: Flaubert se donne pour mission urgente de la sauver des séductions du sirupeux : « leur poésie est une bavachure d’eau sucrée. Siirapinlitkutusta. J’aime l’ordure, comme dans Rabelais qui n’est point du tout un homme à gaudrioles.
ellauri109.html on line 453: Le poète du « Lac » « n’a jamais pissé que de l’eau claire ». Vieil écrivain incontinent, victime de sa facilité, il écrit sans marquer.
ellauri109.html on line 457: Flaubert n’est pas dupe. Il administre à cette innocente douteuse une morale qui mériterait d’être ajoutée au Dictionnaire des idées reçues : « Il est dans les idées reçues qu’on ne va pas se promener avec un homme au clair de lune pour admirer la lune. » Mais Musset a beau être diminué, il a été célèbre, ils se voient, tandis que Flaubert, tout mâle qu’il est, reste bien abstrait dans sa retraite de Croisset, à se battre comme un forcené avec l’expression. Il n’est pas facile d’être longtemps l’amante d’un obscur ermite ni de faire l’amour par correspondance. Le but est atteint puisque Flaubert s’interroge sous les yeux de Louise : « Ai-je été jaloux, moi, dans tout ça ? — Il se peut.
ellauri109.html on line 461: Il me déplaît pour avoir mis en axiomes et pratique « la Poésie du cœur » (double farce à l'usage des impuissants et des charlatans). En voilà un qui a été peu critique ! Il me paraît avoir eu sur l'humanité le coup d'œil d'un coiffeur sentimental ! Toujours « mon pauvre cœur », toujours les larmes ! — je crois du reste que la mère Colet l'a reproduit assez fidèlement ? et il est facile maintenant de le bien connaître. As-tu remarqué ses affectations de noblesse ? Ses éternels bals aux ambassades ? Comme c'est beau cet homme qui porte sa douleur dans le monde ! — telle qu'un bijou rare, pour l'ébahissement de ces Messieurs et ces Dames !
ellauri109.html on line 463: Flaubert liikuttuu enemmän Fontainen puluista kuin koko Lamartinen tuotannosta. Ihan pelkästä aiheesta! No nehän olikin sateenkaaripuluja. La fable est mentionnée par Horace comme « les deux pigeons si connus » dans ses Épîtres en 19 ou 18 av. J.-C. Horatius ja sen Fuscus oli kuin Nemin far och pappa.
ellauri112.html on line 211: « Kutistua indexi
ellauri117.html on line 149: «Die Welt ... und mein Ich zerreißen in unlösbarem Widerstreit meinen Körper.»
ellauri117.html on line 160: Man sagt, daß Kafka seine erste sexuelle "Begegnung" mit seiner französischen Gouvernante hatte, doch hat er diskreterweise immer nur in Andeutungen über dieses «Urerlebnis» gesprochen. Den ersten regen Geschlechtsverkehr hatte er als Zwanzigjähriger mit einer tschechischen Verkäuferin. Sie verbrachten einen Abend in einer billigen Absteige. Diese Erfahrung bestärkte Kafka in seinem Ekel vor dem Geschlechtsverkehr und in seinem Glauben, daß Sexualität eine von Natur aus schmutzige, nichtswürdige Anlegenheit sei. Gerade das Entgegengesetzte predigte D.H.Lawrence (infra). Trotzdem streunte er seine ganze Studentenzeit indurch immer wieder durch das Bordellviertel von Prag, genau wie die anderen Heißsporne unter seinen Kommilitonen. Er ekelte sich vor seiner eigenen sexuellen Lust, erkannte aber zugleich auch die Notwendigkeit, ihr hin und wieder einzustecken:
ellauri117.html on line 170: In 1920, als er sich wieder auf einer Erholungskur in Südtirol befand, begann er einer Frau zu schreiben, die ihm geistig ebenbürtig war. Sie hieß Milena Jesenská-Polak, war 24 Jahre alt, verheiratet und keine Jüdin. Sie war eine emanzipierte Frau, Künstlerin und Intellektuelle, die Kafka gebeten hatte, einige seiner Werke ins Tschechische übersetzen zu dürfen. Sie vergötterte Kafka als Schriftsteller und konnte sich in seine seelische Welt einfühlen, denn auch sie hatte unter einem tyrannischen Vater zu leiden gehabt. Kafka bot ihr finanzielle Unterstützung an, wenn sie ihren Ehemann verließe. Vor ihrer endgültigen Entscheidung verbrachten die beiden jedoch vier Tage lang «Probeflitterwochen». Nach ihrer Rückkehr schlug Milena das Angebot aus. Ihr war schnell klargeworden, was es bedeutete, mit einem dem Tod geweihten
ellauri118.html on line 809: La Princesse de Clèves est un roman de Madame de La Fayette, d´abord publié anonymement en 1678. Le roman prend pour cadre la vie à la cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second », comme l´indique le narrateur dans les premières lignes du récit. Il peut donc être défini comme un roman historique, même s´il inaugure, par bien des aspects (souci de vraisemblance, construction rigoureuse, introspection des personnages) la tradition du roman d´analyse. C´est en effet un des premiers romans dits psychologiques, ce qui contribue à sa modernité.
ellauri118.html on line 816: Sacré roi de France le 26 juillet 15471 à Reims, il prend comme emblème le croissant de lune, qui est depuis toujours celui de la maison d´Orléans à laquelle il appartient en tant que fils cadet de François Ier[réf. nécessaire]. Ses devises sont Plena est œmula solis (« L´émule du soleil est pleine ») et Donec totum impleat orbem (« Jusqu´à ce qu´elle remplisse le monde tout entier »).
ellauri133.html on line 793: В 1915 году Константин Георгиевич Паустовский (1892—1968) впервые приехал в Ефремов. В советские годы Паустовский с женой Екатериной часто приезжал в Ефремов. Лето 1924 года они с семилетним сыном Вадимом провели в деревне Богово, где Паустовский познакомился с отставным полковником царской армии, послужившим ему прототипом для рассказа «Старик в потёртой шинели». Бывший полковник любил ловить рыбу на Красивой Мече. После войны Паустовский приезжал в Ефремов на могилу матери Бунина.
ellauri135.html on line 59: В 1915 году Константин Георгиевич Паустовский (1892—1968) впервые приехал в Ефремов. В советские годы Паустовский с женой Екатериной часто приезжал в Ефремов. Лето 1924 года они с семилетним сыном Вадимом провели в деревне Богово, где Паустовский познакомился с отставным полковником царской армии, послужившим ему прототипом для рассказа «Старик в потёртой шинели». Бывший полковник любил ловить рыбу на Красивой Мече. После войны Паустовский приезжал в Ефремов на могилу матери Бунина.
ellauri141.html on line 787: « Anabase est une sorte de carrefour à l'intersection entre deux modes d'écriture : celle de l'art « classique » (ordre, harmonie plénitude) et celle de la « modernité » (désarticulation, déconstruction, voire chaos). »
ellauri144.html on line 602: rigidifiée) dans l’enseignement par « OHERIC » pour : Observation - Hypothèse -
ellauri144.html on line 932: Fremst i kongshæren sto Olav selv, og han hogg med sverdet etter Tore, men Tore hadde ei reinsskinnskofte, og slaget sklei av i en sky av reinshår. Kongen ropte da til Bjørn Stallare som hadde øks: «Slå du hunden som jern ikke biter på!» Bjørn Stallare ga Tore et slag med øksehammeren slik at han vaklet, men slo ham ikke overende. I stedet kjørte Tore spydet Selshevneren gjennom den andre mens han sa: «Slik spidder vi bjørnene!»
ellauri144.html on line 938: Ettertiden, spesielt de kirkelige skriftene, har forsøkt å rettferdiggjøre Olavs krav til tronen og hans kongedømme ved å fordømme og fortegne hans motstandere. Hvis helgenkongen var god, var hans motstandere onde. Fienden er djevelen og Olavs motstandere djevelens medhjelpere. Tore Hund og hans allierte var «ondsinnede mennesker og ugjerningsmenn», og «svikere», «onde» og «troløse». Betegnende er Adam av Bremens påstand at høvdingene gikk mot kongen fordi han hadde drept konene deres, og kvinnene ble drept fordi de drev på med trolldom.
ellauri144.html on line 940: Trolldomsmotivet går igjen for nordlendingene og Hålogaland. Tore Hund drev handel med finnene og skaffet seg «tolv reinskinnskufter med mye trollskap i». Siden stilte Tore Hund elleve utvalgte menn først i striden mot kongen, og han selv var den tolvte, og underforstått var de tolv bar alle kofter besatt med trolldom. Trolldomstemaet går igjen også i Olav Tryggvasons saga i hans møte med Raud den ramme.
ellauri144.html on line 942: Etter at Olav var flyktet til Gardariket sier Snorre Sturlasson at grunnen til at nordmennene reiste seg mot kongen var at «de ikke tålte hans rettferdighet» da han straffet rike likt med fattige. Denne rettferdiggjøringen av Olavs styre er ikke historisk korrekt, like lite som konstruksjonene om trolldom og de senere påståtte mirakler er det.
ellauri144.html on line 946: Samtidige skaldekvad nyanserer det religiøse bildet som fortrengte det politiske bildet av Olav Haraldsson. Sigvat skald sier i kvadet Erfidråpa at Olav hogg etter Tore med sverdet, men det beit ikke på Tore Hund. Også Sigvat var preget av den kirkelige demoniseringen av kongens motstandere, men samtidig sier han at «den mann som bebreider Tore for feighet, fornekter den dristige Hunds sanne mot, (...) ettersom den kraftige kriger (...) våget å rette hugg mot en konge».
ellauri144.html on line 950: Etter slaget på Stiklestad forlot Tore Hund Norge. Snorre har kun vage og sekundære informasjoner om hans videre skjebne: «Tore Hund fór bort fra landet kort tid etter kong Olavs fall. Tore fór til Jorsal, og mange har fortalt at han visst ikke kom tilbake.» At Jorsal, det vil si Jerusalem, skulle ha vært målet tyder på at Snorres kilde mente at Tore Hund hadde en bot å sone, noe som ikke er rimelig for en mann som gjorde det han mente var rett. Hvor Tore Hund til slutt havnet, er uvisst, men ettersom han ikke blir bekreftet i andre kilder, er det rimelig å anta at han må ha dødd kort tid etter, enten i 1030 eller året etter. Hjem til Bjarkøy kom han uansett aldri mer.
ellauri145.html on line 38: L´« humour noir », expression dont le sens moderne a été construit par Breton, est un des ressorts essentiels du surréalisme. L´humour, loin d´être un exercice brillant, engage des zones profondes de l´être et dans les formes les plus authentiques et les plus neuves qu´il connaît alors, il se profile sur un arrière-fond de désespoir.
ellauri145.html on line 48: Fatty dans sa « Ford Economy Spéciale » (une caisse à savon motorisée) et Al Clove (Picratt dans la version française) sur son Grand-bi se rendent chez le fermier voisin. Le premier est follement amoureux de Winnie, sa fille et vient lui rendre visite. Le second est porteur d’un message de son père qui propose au fermier de le marier à sa fille en échange de la moitié de ses terres. Al n’est pas très malin mais Fatty n’est qu’un garçon de ferme sans le sou. Malgré l´amour que porte Winnie à Fatty, le fermier n"hésite pas une seconde et est intraitable.
ellauri145.html on line 60: L´humeur sombre de Breton s´exprime pleinement dans ce que Mark Polizzotti appelle le « passage le plus sinistre du manifeste » et qui est selon lui le reflet d´une grande « amertume personnelle », une phrase souvent citée et reprochée à Breton, notamment par Albert Camus : « L´acte surréaliste le plus simple consiste, révolvers aux poings, à descendre dans la rue et à tirer au hasard, tant qu´on peut, dans la foule.» Täähän trendaa nykyäänkin, kun sillä pääsee 6 sekunnixi klikkimeediaan. Polizzotto Salvo Montalbano miehineen puuttuu asiaan.
ellauri145.html on line 77: Avec Marcel Duchamp, Breton fonde la revue VVV et Pierre Lazareff l’engage comme « speaker » pour les émissions de la radio la Voix de l’Amérique à destination de la France. Jacqueline le quitte pour le peintre David Hare.
ellauri145.html on line 81: Apres un autre manifeste contre le Stalinisme avec Camus, Gide, Hemingway et Huxley, il cosigne dans Le Libertaire une « Déclaration préalable » au manifeste « Surréalisme et anarchisme » : « La lutte pour le remplacement des structures sociales et l’activité déployée par le surréalisme pour transformer les structures mentales, loin de s’exclure, sont complémentaires. Leur jonction doit hâter la venue d’un âge libéré de toute hiérarchie et toute contrainte. »
ellauri145.html on line 159: Pétrus Borel, par Célestin Nanteuil d´après Louis Boulanger, avec son chien « qui devait mourir d´avoir trop longtemps partagé sa misère» (André Breton, Anthologie de l´humour noir).
ellauri145.html on line 175: Tristan Tzara: « La Lycanthropie de Pétrus Borel n´est pas une attitude d´esthète, elle a des racines profondes dans le comportement social du poète […] qui prend conscience de son infériorité dans le rang social et de sa supériorité dans l´ordre moral.»
ellauri145.html on line 184: « Phus phoyez, - dit-il, gue le mié hait de phus dénir dranguile; et maintenant phus zaurez gui che zuis. Recartez-moâ ! che zuis l´Ange ti Pizarre. - Assez bizarre, en effet, - me hasardai-je à répliquer; mais je m´étais toujours figuré qu´un ange devait avoir des ailes.
ellauri145.html on line 212:

Charles Pierre Baudelaire naît le 9 avril 18215 au 13 rue Hautefeuille6 à Paris : ses parrain et marraine sont les parents « adoptifs » de sa mère, Pierre Perignon et Louise Coudougnan7. Celle-ci, Caroline Dufaÿs, a vingt-sept ans. Son père, Joseph-François Baudelaire, né en 1759 à La Neuville-au-Pont8, en Champagne, est alors sexagénaire. Quand il meurt en 1827, Charles n´a que cinq ans. Cet homme lettré, épris des idéaux des Lumières et amateur de peinture, peintre lui-même, laisse à Charles un héritage dont il n´aura jamais le total usufruit. Il avait épousé en premières noces, le 7 mai 1797, Jeanne Justine Rosalie Janin, avec laquelle il avait eu un fils, Claude Alphonse Baudelaire, demi-frère de Charles.
ellauri145.html on line 214: Un an plus tard, sa mère se remarie avec le chef de bataillon Jacques Aupick. C´est à l´adolescence que le futur poète s´opposera à ce beau-père interposé entre sa mère et lui. « Lorsqu´il arrive à Lyon, Charles a dix ans et demi… À l´égard de son beau-père aucune hostilité n´est alors perceptible. ».
ellauri145.html on line 217: « S´il va haïr le général Aupick, c´est sans doute que celui-ci s´opposera à sa vocation. C´est surtout parce que son beau-père lui prenait une partie de l´affection de sa mère. […] Une seule personne a réellement compté dans la vie de Charles Baudelaire : sa mère. »
ellauri145.html on line 221: Renvoyé du lycée Louis-le-Grand en avril 1839 pour ce qui a passé pour une vétille, mais que son condisciple au lycée, Charles Cousin (1822-1894) a expliqué comme un épisode d´amitié particulière, Baudelaire mène une vie en opposition aux valeurs bourgeoises incarnées par sa famille. Il passe son baccalauréat au lycée Saint-Louis en fin d´année et est reçu in extremis. Jugeant la vie de l´adolescent « scandaleuse » et désirant l´assagir, son beau-père le fait embarquer pour Calcutta. Le Paquebot des Mers du Sud quitte Bordeaux le 9 ou 10 juin 1841. Mais en septembre, un naufrage abrège le périple aux îles Mascareignes (Maurice et La Réunion). On ignore si Baudelaire poursuit son voyage jusqu´aux Indes, de même que la façon dont il est rapatrié.
ellauri145.html on line 231: No 6 rue Le Regrattier: maison où Baudelaire logea sa maîtresse Jeanne Duval, dite la Vénus noire. De retour à Paris, Charles s´éprend de Jeanne Duval, une « jeune mulâtresse » avec laquelle il connaît les charmes et les amertumes de la passion. Une idylle au sujet de laquelle certains de ses contemporains, comme Nadar, se sont interrogés en s´appuyant sur les déclarations d´un amant de Jeanne Duval et de prostituées connues, qui témoignent au contraire de la chasteté surprenante de Baudelaire.
ellauri145.html on line 233: Dandy endetté, Baudelaire est placé sous tutelle judiciaire et mène dès 1842 une vie dissolue. Il commence alors à composer plusieurs poèmes des Fleurs du mal. Critique d´art et journaliste, il défend Delacroix comme représentant du romantisme en peinture, mais aussi Balzac lorsque l´auteur de La Comédie humaine est attaqué et caricaturé pour sa passion des chiffres ou sa perversité présumée. En 1843, il découvre les « paradis artificiels » dans le grenier de l´appartement familial de son ami Louis Ménard, où il goûte à la confiture verte. Même s´il contracte une colique à cette occasion, cette expérience semble décupler sa créativité (il dessine son autoportrait en pied, très démesuré) et renouvellera cette expérience occasionnellement sous contrôle médical, en participant aux réunions du « club des Haschischins ». En revanche, son usage de l´opium est plus long : il fait d´abord, dès 1847, un usage thérapeutique du laudanum17, prescrit pour combattre des maux de tête et des douleurs intestinales consécutives à une syphilis, probablement contractée vers 1840 durant sa relation avec la prostituée Sarah la Louchette. Comme De Quincey avant lui, l´accoutumance lui dicte d´augmenter progressivement les doses. Croyant ainsi y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et les tortures.
ellauri145.html on line 242: Le 21 septembre 1844, maître Narcisse Ancelle, notaire de la famille, est officiellement désigné comme conseil judiciaire qui lui alloue une pension mensuelle de 200 francs. En outre, Baudelaire doit lui rendre compte de ses faits et gestes. Cette situation infantilisante inflige à Baudelaire une telle humiliation qu´il tente de se suicider d´un coup de couteau dans la poitrine le 30 juin 1845. Outre sa réputation de débauché, Baudelaire passait pour homosexuel auprès de certains de ses amis: « C´est moi-même », écrit-il « qui ai répandu ce bruit, et l´on m´a cru »
ellauri145.html on line 246: Le 15 juillet 1848 paraît, dans La Liberté de penser, un texte d´Edgar Allan Poe traduit par Baudelaire : Révélation magnétique. À partir de cette période, Baudelaire ne cessera de proclamer son admiration pour l´écrivain américain, dont il deviendra le traducteur attitré. La connaissance des œuvres de Poe et de Joseph de Maistre atténue définitivement sa « fièvre révolutionnaire ». Plus tard, il partagera la haine de Gustave Flaubert et de Victor Hugo pour Napoléon III, mais sans s´engager outre mesure d´un point de vue littéraire (« L´Émeute, tempêtant vainement à ma vitre / Ne fera pas lever mon front de mon pupitre »).
ellauri145.html on line 251: L´HUMOUR chez Baudelaire fait partie intégrante de sa conception du dandysme. On sait que, pour lui, « le mot dandy implique une quintessence de caractère et une intelligence subtile de tout le mécanisme moral de ce monde ». L´humour, nul plus que lui n´a pris soin de le définir par opposition à la gaieté triviale ou au sarcasme grimaçant dans les quels se plaît à se reconnaître l´« esprit français ». Il place Molière en tête des « religions modernes ridicules»; Voltaire, c´est « l´antipoète, le roi des badauds, le prince des superficiels, l´antiartiste, le prédicateur des concierges, le père Gigogne des rédacteurs du Siècle ». Le dandy est partagé entre le souci narcissique de ses attitudes et de ses actes («Il doit aspirer à être sublime sans interruption. Il doit vivre et mourir devant son miroir ») et le désir de provoquer sur son passage une longue rumeur désapprobatrice (« Ce qu´il y a d´enivrant dans le mauvais goût, c´est le plaisir aristocratique
ellauri145.html on line 262: Le spleen baudelairien désigne une profonde mélancolie née du mal de vivre, que Charles Baudelaire exprime dans plusieurs poèmes de son recueil Les Fleurs du mal. Quoiqu'il l'associe, discrètement, pour qui veut le lire, non pas à un véritable mal mais plutôt à une rage de vivre. Cette frustration colérique d'un Idéal non réalisé, auquel il ne renonce pourtant pas. Il accompagne finalement le titre de l'ouvrage complet : Spleen et Idéal. Ce spleen éveille un espoir, aisément distinguable dans ses textes les plus sombres : « Je suis comme le roi d'un pays pluvieux, riche, mais impuissant » LXXVII.
ellauri145.html on line 678: Les Chants de Mal Odor. Ce sont un ouvrage poétique en prose de 1869, composé de six parties nommées « chants ». Il s´agit de la première des trois œuvres de l´auteur Isidore Ducasse plus connu sous le pseudonyme de comte de Lautréamont. Le livre ne raconte pas une histoire unique et cohérente, mais est constitué d´une suite d´épisodes dont le seul fil conducteur est la présence de Maldoror, un personnage mystérieux et maléfique. The misanthropic, misotheistic character Maldoror is a figure of evil who has renounced conventional morality. Tulee tosta mieleen että Figura-liivejä mainostettiin ennen lehdissä.
ellauri145.html on line 1032: « Vends-les-nous, ces pierres du Temple », "Myy meille temppelistä kivet",
ellauri145.html on line 1132: Pour subsister, Alphonse Allais s´essaye d´abord à la photographie, sur les traces de son ami Charles Cros, mais ne connaît pas le succès. Il décide alors de s´essayer au métier de journaliste, publiant des chroniques loufoques dans diverses revues parisiennes. Avec ses amis du Quartier latin, il fait aussi partie de plusieurs groupes fantaisistes comme « les Fumistes, « les Hydropathes » ou « les Hirsutes ».
ellauri145.html on line 1140: Le nuit precedent sa demise, il a fait cette dernière plaisanterie : « Demain je serai mort ! Vous trouvez ça drôle, mais moi je ne ris pas. Demain, je serai mort !
ellauri146.html on line 88: (Er liest diese zwei Zeilen noch einmal laut über und schnalzt mit der Zunge, als ob sie ihm gut schmeckten.) Nein, nein! So eine Metapher gibt es noch gar nicht! Ich erschrecke vor meiner eignen poetischen Kraft! (Behaglich eine Tasse Kaffee schlürfend.) Das Pferd eine Löwenfeder! Und nun das Beiwort »schnell«! Wie treffend! Welche Feder möchte auch wohl schneller sein als das Pferd? – Auch die Worte »eh der Morgen grauet!« wie echt homerisch! Sie passen zwar durchaus nicht hieher, aber sie machen das Bild selbstständig, machen es zu einem Epos im kleinen! – O, ich muß noch einmal vor den Spiegel laufen! (Sich darin betrachtend.) Bei Gott, ein höchst geniales Gesicht! Zwar ist die Nase etwas kolossal, doch das gehört dazu! Ex ungue leonem, an der Nase das Genie!
ellauri146.html on line 112: Der Teufel, der ja das Recht hat, ungalant zu sein, übt eine scharfe, meist cynische Kritik an diesen Helden und Heldinnen der Feder. Als er bei der höchsten Sommertemperatur erfroren aufgefunden wird, ruft er die Gutachten von vier Naturforschern hervor und der eine derselben erklärt: »Betrachten Sie die enorme Häßlichkeit, welche uns aus jeder Miene dieses Gesichts entgegenkreischt und Sie sind ja gezwungen, mir einzuräumen, daß solch eine Fratze gar nicht existieren könnte, wenn es keine deutschen Schriftstellerinnen gäbe.«
ellauri146.html on line 118: Wie er sich selbst zu dieser seichten Belletristik stellt, darüber läßt er uns nicht im Unklaren. Herr Mollfels, eine der Hauptpersonen des Stückes giebt einem Schriftsteller Rattengift gute Lehren. »Sie müssen beileibe alles hinlänglich weich kneten, denn das Weiche gefällt und wenn es auch nur nasser Dreck wäre. Vorzüglich aber müssen Sie stets den Geschmack der Damen im Auge behalten, denn diese, welche noch niemals von einem wahren Dichter als berufene Richterinnen anerkannt sind, gelten jetzt im Reiche der Kunst als oberste Appellationsinstanz; ob man sie wegen ihrer kränklichen Nerven oder wegen ihrer Geschicklichkeit im Charpiezupfen dazu erwählt hat, ist eine unentschiedene Frage. Desto entschiedener ist es, Herr Rattengift, daß man Sie, wenn Sie Gewalt genug besitzen, eine dieser Regeln zu verachten, als einen blindlaufenden, verrückten, rohen Phantasten verschreit, der Schönheiten und Erbärmlichkeiten mild nebeneinanderkleckst. Ständen Homer oder Shakespeare erst jetzt mit ihren Werken auf, so wären Beurteilungen zu erwarten, in denen die Iliade ein unsinniges Gemengsel und der Lear [ganz berechtigt, vgl. Album 198] ein bombastischer Saustall genannt würde; ja manche Recensenten geben vielleicht dem Homer einen wohlgemeinten Fingerzeig, sich nach »der bezauberten Rose« emporzubilden, oder gebieten dem Shakespeare, fleißig in den Romanen der Helmine von Chezy und der Fanny Tarnow zu studieren, um daraus Menschenkenntnis zu lernen.«
ellauri146.html on line 120: Grabbe stellt sich natürlich an die Seite eines solchen neuerstandenen Homer und Shakespeare und an einer andern Stelle, wo er ein keimendes Genie verkündet, liest man wenigstens den stillen Herzenswunsch heraus, er selbst möchte dies Genie sein: »Judenjungen,« sagt der Baron, »deren Bildung im Schweinefleischessen besteht, spreizen sich auf den kritischen Richterstühlen und erheben nicht nur Armseligkeitskrämer zu den Sternen, sondern injurieren sogar ehrenwerte Männer in ihren Lobsprüchen; Reimschmiede, die so dumm sind, daß jedesmal, wenn ein Blatt von ihnen ins Publikum kommt, die Esel im Preise aufschlagen, heißen ausgezeichnete Dichter. Schauspieler, die so langweilig sind, daß natürlich alles vor Freude klatscht, wenn sie endlich einmal abgehen, heißen denkende Künstler; Vetteln, deren Stimme so scharf ist, daß man ein Stück Brot damit abschneiden könnte, tituliert man echt dramatisch Sängerinnen. – O stände doch endlich ein gewaltiger Genius auf, der, mit göttlicher Stärke von Haupt zu Fuß gepanzert, sich des deutschen Parnasses annähme und das Gesindel in die Sümpfe zurücktreibe, aus welchen es hervorgekrochen ist.«
ellauri146.html on line 220: ...Da lernte Grabbe Ludwig Robert kennen, den Bruder der schönen, von Heine gefeierten Schwester, einen der geistvollsten Epigonen der Romantik; aber auch Heinrich Heine selbst, der seine Tragödien Almansor und Ratcliff gerade damals erscheinen ließ und von dem einer der ironischen Freunde berichtet, mit welchem Selbstgefallen seine ungefällige Gestalt damals unter den Linden vor Dümmlers Buchladen »vorbei peripatetisierte,« mit Armensünderwänglein, über welche plötzliche Glut sich ergoß, sobald er sein Werk zum Fenster herausgucken sah. Heines Eigentümlichkeit als Mensch und Dichter hatte für Grabbe viel Sympathisches; er berührte eine verwandte Ader in ihm und blieb gewiß auf die Ausbildung eines, dem idealen Schwung nachspottenden Cynismus, der überall bei Grabbe hervortritt, nicht ohne Einfluß. Damals konnte Heine nicht ahnen, als er den Meister eines phantastischen Humors, den Serapionsbruder Amadeus Hoffmann, zu Grabe tragen sah, daß dasselbe schmerzliche Leiden, welches diese gnomenartige Persönlichkeit hinweggerafft hatte, auch ihn einst an ein langjähriges Krankenlager fesseln werde.
ellauri146.html on line 464: « Une lutte éternelle en tout temps, en tout lieu, "Ikuinen taistelu maalla, merellä ja ilmassa,
ellauri146.html on line 496: « Elle se fait aimer sans aimer elle-même ; Se on vaan olevinaan, ei se rakasta,
ellauri146.html on line 497: « Un Maître lui fait peur. C’est le plaisir qu’elle aime, Ei se halua komentajaa, vaan viihdettä,
ellauri146.html on line 498: « L’Homme est rude et le prend sans savoir le donner. Miehet on tökeröitä, antamatta ottavat.
ellauri146.html on line 499: « Un sacrifice illustre et fait pour étonner Joku hämmästyttävä moukan uhraus
ellauri146.html on line 500: « Rehausse mieux que l’or, aux yeux de ses pareilles, On näyttävämpi trofee kuin kultakoru,
ellauri146.html on line 501: « La beauté qui produit tant d’étranges merveilles Tosi kauneus saa aikaan ihmeitä,
ellauri146.html on line 502: « Et d’un sang précieux sait arroser ses pas. » Lattialämmitystä parempi on uhrin veri.
ellauri146.html on line 507: Où, voyant les humains, Dieu dit : « Je me repens ! » Kuin kun Jumalalta pääsi: D'oh, emämunaus!
ellauri150.html on line 309: — Parfaitement. Vous lui dites : « Cher piano, cher piano, dis-moi des gentils mots, encore, caresse-moi, donne-moi un petit baiser ! »
ellauri150.html on line 337: Elle jouait son morceau, s’appliquant de son mieux ; et, comme elle était habile, elle y réussissait très passablement, parfois même assez bien. Christophe, qui n’était pas dupe, riait en lui-même de l’adresse « de cette sacrée mâtine (sekarotuinen narttu), qui jouait, comme si elle sentait ce qu’elle jouait, quoiqu’elle n’en sentît rien ». Il ne laissait pas d’en éprouver pour elle une sympathie amusée. (Narsismimarkkeri!) Colette, de son côté, saisissait tous les prétextes pour reprendre la conversation, qui l’intéressait beaucoup plus que la leçon de piano. Christophe avait beau s’en défendre, prétextant qu’il ne pouvait dire ce qu’il pensait, sans risquer de la blesser : elle arrivait toujours à le lui faire dire ; et plus c’était blessant, moins elle en était blessée : c’était un amusement pour elle. Mais comme la fine mouche sentait que Christophe n’aimait rien tant que la sincérité, elle lui tenait tête hardiment, et discutait mordicus (izepäisesti). Ils se quittaient très bons amis.
ellauri151.html on line 105: Proust considérait l’homosexualité comme un enfer, une dépravation vouée obligatoirement à l’humiliation morale et physique, au contraire d’un Gide qui dépeint une « pédophilie juvénile et souriante ». Il a toujours eu la hantise que sa mère découvre ses penchants et ce n’est qu’après la mort de ses parents qu’il s’affichera plus ouvertement avec ses amants.
ellauri151.html on line 281: Dilthey a le premier noté l’importance d’un texte de jeunesse de Hegel et y a signalé comme une première esquisse de ce que sera plus tard «la conscience malheureuse». On sait quelle importance revient à la conscience malheureuse dans la Phénoménologie de Hegel, et plus tard encore dans la Philosophie de la Religion. Sous une forme abstraite la conscience malheureuse est la conscience de la contradiction entre la vie finie de l’homme et sa pensée de l’infini. « En pensant je m’élève à l’absolu en dépassant tout ce qui est fini, je suis donc une conscience infinie et en même temps je suis une conscience de soi finie et cela d’après toute ma détermination empirique... Les deux termes se cherchent et se fuient — je suis le sentiment, l’intuition, la représentation de cette unité et de ce conflit et la connexion de ces termes en conflit... je suis ce combat, je ne suis pas un des termes engagés dans le confit, mais je suis les deux combattants et le combat lui-même, je suis le feu et l’eau, qui entrent en contact et le contact et l’unité de ce qui absolument se fuit. » La conscience malheureuse qui dans la Phénoménologie trouve son incarnation historique dans le judaïsme et dans une partie du moyen âge chrétien est en effet la conscience de la vie comme du malheur de la vie. L’homme s’est élevé au-dessus de sa condition terrestre et mortelle ; il n’est plus que le conflit de l’infini et du fini, de l’absolu qu’il a posé en dehors de la vie, et de sa vie réduite à la finitude…
ellauri152.html on line 131: « Pelkäätkö sä meitä? Lähesty: nää lapset tykkää susta. Ne opettaa sulle mitä sä et vielä osaa: naisekkaiden hyväilyjen hunajaa.
ellauri152.html on line 133: « Mies on väkivaltainen ja laiska. Kylsä tiedät sen, takuulla. Vihaa sitä. Sillä on lättärinta, iho karkea, tukka poissa, käsivarret karvaiset. Mut naiset on kaikki kauniita.
ellauri152.html on line 135: « Naiset osaa yxin rakastaa; jää meidän kaa, Bilitis, luotathan. Ja jos sun tekee mieli jotain kuumaa, näet oman nättiytesi näiden pikku söpöläisten peilistä.
ellauri152.html on line 147: « Mis olit?
ellauri152.html on line 193: « Mitäs vailla, kääkkänä?
ellauri152.html on line 240: « Ei, mun ystävä. Tänä iltana mä oon Lysippoxella. Näkemiin Anu!» Ja mä lisäsin lähtiessäni: « Hedelmillä ja herneenpaloilla herkuttelija! Bilitixen pienessä puutarhassa on vain 1 viikuna, mutta vitun hyvä!»
ellauri152.html on line 248: « — Okei. Kuhan ne on tuoreeltaan porsliineja, pestyjä ja hajustetut päästä varpaisiin, ja valmiita muihinkin peleihin jos pyydetään. Anna ao. käskyt. Moro. »
ellauri152.html on line 574: Ce mythe, qui paraît fort ancien et dont certains érudits vont chercher l'origine jusque dans l'Inde bouddhique, se précise à partir du xiiie siècle dans l'Historia major du bénédictin anglais Matthieu Pâris. sous diverses formes. C'est dans les pays de langue allemande que la figure d'Ahasvérus connaît la plus grande faveur, à la suite d'une version de la légende due à Chrysostomus Dudulaeus qui présente l'aventure du « Juif éternel » (1602) comme un récit quasiment autobiographique. La traduction française de ce livre imposera l'expression « Juif errant » (1609). Dès lors, la légende se répand par l'imagerie populaire et les estampes, les complaintes, dont la plus célèbre est celle d'Isaac Laquedem. Le Juif errant, qui personnifie le destin du peuple juif depuis le christianisme, a inspiré de nombreux écrivains : Wordsworth, Goethe, Eugène Sue, Apollinaire. Cette figure légendaire n'a cessé d'alimenter, à l'encontre des Juifs, une dangereuse satire sociale. Elle est, pour une part, responsable de la genèse de l'agitation antisémite des temps modernes. Pour en savoir plus, voir l'article antisémitisme.
ellauri161.html on line 867: Sivu 336 - Gloire à Dieu au plus haut des cieux , et paix sur la terre « aux hommes de bonne volonté , chéris de Dieu ! » • La piété des fidèles a transformé cette grotte en une chapelle.‎
ellauri161.html on line 887: Aivan päättömiä otteita. Jotain sekin todistanee. Ernest Hello est mentionné par Joris-Karl Huysmans dans son roman Là-bas en ces termes : « Le véritable psychologue du siècle, se disait Durtal, ce n´est pas leur Stendhal, mais bien cet étonnant Hello dont l´inexpugnable insuccès tient du prodige. »
ellauri161.html on line 910: Joseph de Maistre est dès 1773 membre de la loge maçonnique de La Parfaite Union qui relevait de la loge Saint-Jean des Trois Mortiers, à l'orient de Chambéry. Il a les titres de grand orateur, de substitut des généraux et de maître symbolique. Il entend concilier son appartenance à la franc-maçonnerie avec une stricte orthodoxie catholique: entre autres, il refuse les thèses qui voyaient en la franc-maçonnerie et l'illuminisme les acteurs d'un complot ayant amené à la Révolution[note 4]. Il écrit ainsi au baron Vignet des Étoles que « la franc-maçonnerie en général, qui date de plusieurs siècles […] n’a certainement, dans son principe, rien de commun avec la révolution françoise ».
ellauri161.html on line 912: Avec quelques frères de Chambéry, il fonde en 1778, la loge réformée écossaise de « La Sincérité », qui dépend du directoire écossais dont l'âme est Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824), disciple de Joachim Martinès de Pasqually. Il est reçu chevalier bienfaisant de la Cité Sainte sous le nom de eques Josephus a Floribus (ce surnom fait allusion aux fleurs de souci de ses armoiries). On retrouve dans son œuvre les enseignements de la maçonnerie : providentialisme, prophétisme, réversibilité des peines, etc. ; hautement investi dans la vie de cette société initiatique, à la veille du Convent de Wilhelmsbad (1782), il fait d'ailleurs parvenir à Jean-Baptiste Willermoz son célèbre Mémoire au duc de Brunswick. Il entretient par ailleurs une amitié avec Louis-Claude de Saint-Martin, pour lequel il avait une vive admiration, se faisant fort, disait-il, « de défendre en tous points l'orthodoxie », d'où son attrait pour le martinisme.
ellauri161.html on line 931: Toute religion doit pour de Maistre être sociale ; or, le protestantisme n'étant pas social à ses yeux, voire anti-souverain par nature, il n'est pas une religion. La religion doit apporter des croyances communes, et apporter la cohésion de l'organisme politique. Elle doit protéger le pouvoir autant que le pouvoir doit la protéger. Il n'est donc pas question de séparer l'Église de l'État, bien au contraire. C'est pourquoi Joseph de Maistre prônera un régime de type théocratique, dans lequel la religion tient un rôle fortement structurant, devant apprendre aux sujets le respect aveugle pour l'autorité et « l'abnégation de tout raisonnement individuel."
ellauri161.html on line 984: Siis varsin keskinkertainen kaveri. Sitten se tapaa ton Barbapapan, joka käännyttää sen takaisin äitikirkkoveneeseen. En décembre 1868, il fait la connaissance de Jules Barbey d´Aurevilly, qui habite en face de chez lui, rue Rousselet (Léon Bloy habite au numéro 24h). C´est l´occasion pour lui d´une profonde conversion intellectuelle, qui le ramène à la religion catholique, et le rapproche des courants traditionalistes. C´est Barbey qui le familiarise avec la pensée du philosophe Antoine Blanc de Saint-Bonnet, « une des majestés intellectuelles de ce siècle », dira Bloy plus tard. Par la suite, Ernest Hello eut également une très forte influence sur lui ; il semble même que ce soit lui qui l´ait incité à écrire.
ellauri162.html on line 131: Mouchette est l´œuvre d´un homme qui avait cinquante ans lorsqu´il conçut ce personnage, découvrant les mouvements les plus profonds et les plus inexprimables d´une féminité qui s´éveille et s´affirme. Bernanos signe ici un portrait intemporel et poétique de gamine « désespérée ». Kuulostaa aika pedofiililtä.
ellauri162.html on line 146: André Gide place Bernanos dans la lignée de Barbey d´Aurevilly, mais « en diablement mieux ! », ajoutera Malraux. Samoja patapäitä koko porukka.
ellauri162.html on line 148: L´évolution de son antisémitisme est toujours débattue. Bernanos rend hommage à Édouard Drumont, avec lequel il partage sa détestation de la bourgeoisie, mais aussi l´association des juifs à la finance, aux banques, au pouvoir de l’argent au détriment du peuple, un thème qui fait florès dans la France de cette époque et qui suscite des propos antisémites de l´écrivain. Bernanos, qui a fait la guerre de 1914-1918, fustige aussi un patriotisme perverti qui humilie l´ennemi allemand dans la défaite au lieu de le respecter, trahissant ainsi l´honneur de ceux qui ont combattu et hypothéquant l´avenir. Täähän kuulostaa suorastaan Ezra Poundilta. «Les juifs traînent nonchalamment sur les colonnes de chiffres et les cotes un regard de biche en amour » ou « ces bonshommes étranges qui parlent avec leurs mains comme des singes ». J’aimerais mieux être fouetté par le rabbin d’Alger que faire souffrir une femme ou un enfant juif ». Juutalaiset kiistelevat vieläkin oliko Ykä hyvis vaiko pahis.
ellauri162.html on line 158: En 1946 paraît La France contre les robots, aux éditions de la France libre, un essai dans lequel Bernanos dénonce la « civilisation des machines » et les nouveaux totalitarismes économiques qui commencent à se construire dans l´après-guerre. Exceptes les motos. Georges Bernanos meurt d´un cancer du foie, en 1948, à l´hôpital américain de Neuilly.
ellauri162.html on line 162: Convaincu que le monde moderne est une « conspiration contre toute espèce de vie intérieure », il y dénonce « la dépossession progressive des États au profit des forces anonymes de l’Industrie et de la Banque, cet avènement triomphal de l’argent, qui renverse l’ordre des valeurs humaines et met en péril tout l’essentiel de notre civilisation ».
ellauri162.html on line 211: « mener les poules » est déjà proverbiale chez les
ellauri162.html on line 216: Dans l'album de Tintin Coke en stock, le capitaine Haddock insulte le commandant d'un navire négrier et lui envoie, entre autres, un « Jocrisse ! » pendant que les deux bateaux s'éloignent l'un de l'autre. Hottentotit! Bassibazuukit!
ellauri162.html on line 226: Artaux Pas si Mauvais naquit en 1942 dans un camion, en plein emigration face aux forces soviétiques, durant la Guerre de Continuation ; sa famille, fuyant les combats, est chassée par l´armee sovietique vers la Norvège, puis la Suède et la Laponie finlandaise. Pas si Mauvais qui signifie en finnois « prison de pierre » est un nom inventé par son père né Gullstén (Pierre d´or) pour « finniser », comme beaucoup de Finlandais, un patronyme à consonance suédoise (à l´instar des personnes inspirées par le mouvement fennomane).
ellauri162.html on line 232: Les œuvres de Pas si Mauvais sont de romans d´humour écologique. Les premiers romans sont du genre «grinçant» (cringe). D´autres romans appartiennent plutôt au genre "pittoresque", notamment "Le Bestial Serviteur du pasteur Huuskonen."
ellauri162.html on line 264: Marcel Aymé, né le 29 mars 1902 à Joigny et mort le 14 octobre 1967 chez lui, rue Norvins dans le 18e arrondissement de Paris, est un écrivain, dramaturge, nouvelliste, scénariste et essayiste français. Écrivain prolifique, il a laissé deux essais, dix-sept romans, plusieurs dizaines de nouvelles, une dizaine de pièces de théâtre, plus de cent soixante articles et des contes. Avec ces écrits il fournit une « étude sociale », avec un vocabulaire précis pour chaque type humain. Son langage mêle les différents registres : argot, patois régional franc-comtois, soutenu et anglais phonétiquement francisé. Très attaqué par la critique, y compris pour ses textes les plus inoffensifs comme Les Contes du chat perché4, il doit l'essentiel de son succès au public. Il a également écrit de nombreux scénarios et traduit des auteurs américains egalement simpletons: Arthur Miller (Les Sorcières de Salem), Tennessee Williams (La Nuit de l'iguane).
ellauri162.html on line 266: En 1949, le ministère de l'Éducation nationale fit savoir à Marcel Aymé qu'il allait être inscrit sur la liste de la prochaine promotion de la Légion d'honneur. Il se souvint alors du « blâme sans affichage » auquel il avait été condamné en 1946 pour avoir vendu sous l'occupation un scénario à la Continental film et refusa. En outre, l'année suivante, il déclina la proposition faite publiquement par François Mauriac de présenter sa candidature à l'Académie française : « Combien d'écrivains auront refusé presque simultanément l'Académie française et la Légion d'honneur ? s'est interrogée Gabrielle Rollin dans le magazine Lire.
ellauri162.html on line 684: Selon le R.P. Charles Louis Richard, « On compte jusqu´à treize conciles généraux, dix-huit papes, cent cinquante conciles provinciaux, et plus de trois cents synodes, tant de France que des autres royaumes, qui ont ordonné aux clercs de porter l´habit long ». Le concile de Trente en 1542 réaffirme simplement l´obligation, sous peine de sanction, pour tout clerc, de porter un habit qui soit digne et distinct de celui des laïcs.
ellauri164.html on line 444: «Вы́бор це́ли» — двухсерийный художественный фильм режиссёра Игоря Таланкина о сложности морального выбора, стоявшем перед учёными XX века, в частности И. В. Курчатовым и его соратниками при создании отечественной атомной бомбы.
ellauri172.html on line 163: «Nella città di Asti, in Piemonte, il 17 gennaio dell'anno 1749, io nacqui di nobili, agiati ed onesti parenti». Così Alfieri presenta se stesso nella Vita scritta da esso, autobiografia stesa, per la maggior parte, intorno al 1790, ma completata solo nel 1803. Alfieri ebbe un'attività letteraria breve ma prolifica e intensa; il suo carattere tormentato, oltre a delineare la sua vita in senso avventuroso, fece di lui un precursore delle inquietudini romantiche.
ellauri172.html on line 172: «L'illuminismo è l'uscita dell'uomo dallo stato di minorità che egli deve imputare a se stesso. Minorità è l'incapacità di valersi del proprio intelletto senza la guida di un altro. Imputabile a sé stesso è questa minorità, se la causa di essa non dipende da difetto d'intelligenza, ma dalla mancanza di decisione e del coraggio di far uso del proprio intelletto senza essere guidati da un altro. Sapere aude! Abbi il coraggio di servirti della tua propria intelligenza! È questo il motto dell'Illuminismo.»(Immanuel Kant, Risposta alla domanda: che cos'è l'Illuminismo?, 1784)
ellauri172.html on line 190: Ritrovò i suoi vecchi compagni di Accademia militare e di gioventù. Con loro istituì una piccola società che si riuniva settimanalmente in casa sua per «banchettare e ragionare su ogni cosa», la "Societé des Sansguignon", in questo periodo scrisse «cose miste di filosofia e d'impertinenza», per la maggior parte in lingua francese, tra cui l'Esquisse de Jugement Universél, ispirato agli scritti di Voltaire. Guignon on paha silmä.
ellauri172.html on line 585: — La Rosalba, dite « la Pudica, » — fit Rançonnet, sa fameuse… — Et il dit le mot putain crûment.
ellauri172.html on line 592: No mutta mitähän hirmu pahaa se sitten oli tehnyt kysyi porthosmainen Ranconnet. Restel dans le rang, älä keskeytä! Tulen ihan kohta siihen. Nimittäin kaikki oli taas kerran sen ämmän vika! Mais une femme, c’est l’aimant du diable ! Il y a une proportion d’arithmétique morale, écrite, avant qu’elle le fût par un philosophe sur du papier, dans la poitrine de tous les hommes, comme un encouragement du Démon : « c’est qu’il y a plus loin d’une femme à son premier amant, que de son premier au dixième! Vittu tää Barney on läpimätä!
ellauri172.html on line 596: « Et je ne la calomnie point, n’est-ce pas, Rançonnet ?… Tu l’as eue peut-être, et si tu l’as eue, tu sais maintenant s’il fut jamais une plus brillante, une plus fascinante cristallisation de tous les vices ! Où le major l’avait-il prise ?… D’où sortait-elle ? Elle était si jeune !
ellauri172.html on line 604: — Virgile aussi s’appelait « le pudique, » et il a écrit le Corydon ardebat Alexim, — insinua Reniant, qui n’avait pas oublié son latin. — Et ce n’était pas une ironie, — continua Mesnilgrand, car Virgile etait un pédé.
ellauri172.html on line 608: La Rosalba était pudique comme elle était voluptueuse, et le plus extraordinaire, c’est qu’elle l’était en même temps. Quand elle disait ou faisait les choses les plus… osées, elle avait d’adorables manières de dire : « J’ai honte ! » que j’entends encore. Phénomène inouï ! Elle fût sortie d’une orgie de bacchantes, comme l’Innocence de son premier péché. Jusque dans la femme vaincue, pâmée, à demi morte, on retrouvait la vierge confuse, avec la grâce toujours fraîche de ses troubles et le charme auroral de ses rougeurs… (Vizi tää hemmo on aika sick. Mutta se on just kuten Huismanni totesi: pyllistely tuntuu vielä rotevammalta kun pyllyn takana kyttää kiivas Jehova piiska handussa. Niin varmaan junioriapinastakin joka pääsee salaa silverbäkin nartun vulvalle. Sisään vaan vaikkei seisokkaan!)
ellauri172.html on line 614: Le mot naïf et étonné de la Borghèse, quand on lui demanda comment elle avait bien pu poser nue devant Canova : « Mais l’atelier était chaud ! il y avait un poêle ! » Kilpineito Elfhildr käski norjalaisen poliisikolleegan tuoda ämpäriä kun sillä oli vimmattu pissahätä. No sehän toi. Sevveran on sentään edistytty.
ellauri172.html on line 627: Non, si je la quittai, ce fut pour une raison de dégoût moral, de fierté pour moi, de mépris pour elle, pour elle qui, au plus fort des caresses les plus insensées, ne me faisait pas croire qu’elle m’aimât… Quand je lui demandais : M’aimes-tu ? ce mot qu’il est impossible de ne pas dire, même à travers toutes les preuves qu’on vous donne que vous êtes aimé, elle répondait : « Non ! » ou secouait énigmatiquement la tête. Elle se roulait dans ses pudeurs et dans ses hontes, et elle restait là-dessous, au milieu de tous les désordres de sens soulevés, impénétrable comme le sphinx. Seulement, le sphinx était froid, et elle ne l’était pas… Mikä Katariina Suuri sekin oli olevinaan!
ellauri172.html on line 651: « Elle me comprit. Rien ne l’étonnait. Elle était faite aux désirs qu’elle allumait chez les hommes, qu’elle aurait ramenés en face d’elle de tous les horizons.
ellauri172.html on line 652: « — Bah ! — fit-elle lentement, quoique la teinte d’incarnat que je voulais boire sur son adorable et exécrable visage se fût foncée à la pensée que je lui donnais. — Bah ! vos frénésies à vous sont finies. — Et elle mit le cachet sur la cire bouillante de la lettre, qui s’éteignit et se figea.
ellauri172.html on line 654: « — Tenez ! — dit-elle, insolemment provocante, — voilà votre image ! C’était brûlant il n’y a qu’une seconde, et c’est froid.
ellauri172.html on line 656: « Et, tout en disant cela, elle retourna la lettre et se pencha pour en écrire l’adresse.
ellauri172.html on line 658: « Faut-il que je le répète jusqu’à satiété ? Certes ! je n’étais pas jaloux de cette femme : mais nous sommes tous les mêmes. Malgré moi, je voulus voir à qui elle écrivait, et, pour cela, ne m’étant pas assis encore, je m’inclinai par-dessus sa tête ; mais mon regard fut intercepté par l’entre-deux de ses épaules, par cette fente enivrante et duvetée où j’avais fait ruisseler tant de baisers, et, ma foi ! magnétisé par cette vue, j’en fis tomber un de plus dans ce ruisseau d’amour, et cette sensation l’empêcha d’écrire… Elle releva sa tête de la table où elle était penchée, comme si on lui eût piqué les reins d’une pointe de feu, se cambrant sur le dossier de son fauteuil, la tête renversée ; elle me regardait, dans ce mélange de désir et de confusion qui était son charme, les yeux en l’air et tournés vers moi, qui étais derrière elle, et qui fis descendre dans la rose mouillée de sa bouche entr’ouverte ce que je venais de faire tomber dans l’entre-deux de ses épaules.
ellauri172.html on line 662: « Oui, — reprit amèrement Mesnilgrand, — c’est encore là un des revenants-bons de l’adultère et du partage ! En ces moments-là, les plus fendants ne sont pas fiers, et, par générosité pour une femme épouvantée, ils deviennent aussi lâches qu’elle, et font cette lâcheté de se cacher. J’en ai, je crois, mal au cœur encore d’être entré dans ce placard, en uniforme et le sabre au côté, et, comble de ridicule ! pour une femme qui n’avait pas d’honneur à perdre et que je n’aimais pas !
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri172.html on line 668: « — Et notre enfant ? — objecta-t-il, l’insensé ! comme si c’était une preuve, et comme s’il eût invoqué un souvenir !
ellauri172.html on line 670: « — Ah ! notre enfant ! — fit-elle, en éclatant de rire. — Il n’était pas de toi !
ellauri172.html on line 672: « J’imaginai ce qui dut se passer dans les yeux verts du major, en entendant son miaulement étranglé de chat sauvage. Il poussa un juron à fendre le ciel. — Et de qui est-il ? garce maudite ! — demanda-t-il, avec quelque chose qui n’était plus une voix.
ellauri172.html on line 674: « Mais elle continua de rire comme une hyène.
ellauri172.html on line 676: « — Tu ne le sauras pas ! — dit-elle, en le narguant. Et elle le cingla de ce tu ne le sauras pas ! mille fois répété, mille fois infligé à ses oreilles ; et quand elle fut lasse de le dire, — le croiriez-vous ? — elle le lui chanta comme une fanfare ! Puis, quand elle l’eut assez fouetté avec ce mot, assez fait tourner comme une toupie sous le fouet de ce mot, assez roulé avec ce mot dans les spirales de l’anxiété et de l’incertitude, cet homme, hors de lui, et qui n’était plus entre ses mains qu’une marionnette qu’elle allait casser ; quand, cynique à force de haine, elle lui eut dit, en les nommant par tous leurs noms, les amants qu’elle avait eus, et qu’elle eut fait le tour du corps d’officiers tout entier : « Je les ai eus tous, — cria-t-elle, — mais ils ne m’ont pas eue, eux ! Et cet enfant que tu es assez bête pour croire le tien, a été fait par le seul homme que j’aie jamais aimé ! que j’aie jamais idolâtré ! Et tu ne l’as pas deviné ! Et tu ne le devines pas encore ? »
ellauri172.html on line 678: « Elle mentait. Elle n’avait jamais aimé un homme. Mais elle sentait bien que le coup de poignard pour le major était dans ce mensonge, et elle l’en dagua, elle l’en larda, elle l’en hacha, et quand elle en eut assez d’être le bourreau de ce supplice, elle lui enfonça pour en finir, comme on enfonce un couteau jusqu’au manche, son dernier aveu dans le cœur:
ellauri172.html on line 680: « — Eh bien ! — fit-elle, — puisque tu ne devines pas, jette ta langue aux chiens, imbécile ! C’est le capitaine Mesnilgrand!
ellauri172.html on line 686: « — Ah ! il n’était pas à moi, abominable gouge ! — s’écria-t-il. Et j’entendis, sous sa botte de dragon, grincer et s’écraser le cristal de l’urne, et piétiner le cœur de l’enfant qu’il avait cru son fils !
ellauri172.html on line 688: « Sans doute, elle voulut le ramasser, elle ! l’enlever, le lui prendre, car je l’entendis qui se précipita ; et les bruits de la lutte recommencèrent, mais avec un autre, — le bruit des coups.
ellauri172.html on line 690: « — Eh bien ! puisque tu le veux, le voilà, le cœur de ton marmot, catin déhontée ! — dit le major. Et il lui battit la figure de ce cœur qu’il avait adoré, et le lui lança à la tête comme un projectile. L’abîme appelle l’abîme, dit-on. Le sacrilège créa le sacrilège. La Pudica, hors d’elle, fit ce qu’avait fait le major. Elle rejeta à sa tête le cœur de cet enfant, qu’elle aurait peut-être gardé s’il n’avait pas été de lui, l’homme exécré, à qui elle eût voulu rendre torture pour torture, ignominie pour ignominie ! C’est la première fois, certainement, que si hideuse chose se soit vue ! un père et une mère se souffletant tour à tour le visage, avec le cœur mort de leur enfant !
ellauri172.html on line 694: « — Sois punie par où tu as péché, fille infâme ! — cria-t-il.
ellauri172.html on line 696: « Il ne me vit pas. Il était penché sur sa victime, qui ne criait plus, et c’était le pommeau de son sabre qu’il enfonçait dans la cire bouillante et qui lui servait de cachet !
ellauri172.html on line 698: « Je bondis sur lui ; je ne lui dis même pas de se défendre, et je lui plongeai mon sabre jusqu’à la garde dans le dos, entre les épaules, et j’aurais voulu, du même coup, lui plonger ma main et mon bras avec mon sabre à travers le corps, pour le tuer mieux ! »
ellauri172.html on line 706: « Il était, — reprit-il, — tombé mort sur le corps de sa femme évanouie. Je l’en arrachai, le jetai là, et poussai du pied son cadavre. Au cri que la Pudica avait jeté, à ce cri sorti comme d’une vulve de louve, tant il était sauvage ! et qui me vibrait encore dans les entrailles, une femme de chambre était montée. «
ellauri172.html on line 710: « Je n’ai plus eu jamais des nouvelles de la Rosalba, dite la Pudica, — répondit Mesnilgrand. — Est-elle morte ? A-t-elle pu vivre encore ? Le chirurgien a-t-il pu aller jusqu’à elle ? Après la surprise d’Alcudia, qui nous fut si fatale, je le cherchai. Je ne le trouvai pas. Il avait disparu, comme tant d’autres, et n’avait pas rejoint les débris de notre régiment décimé.
ellauri172.html on line 751: Il aurait été baptisé en 1014 à Rouen par l'archevêque Robert le Danois, frère du duc Richard II de Normandie. C'est d'abord en tant que Viking dans sa jeunesse, qu'il se rend plusieurs fois en Angleterre, où il va s'intéresser à la foi chrétienne. Elle avait d'ailleurs été introduite dès le ixe siècle en Scandinavie par des missionnaires de divers pays notamment allemands, et principalement le moine saint Anschaire, l'« apôtre du Nord », devenu plus tard évêque de Brême, puis archevêque de Hambourg.
ellauri181.html on line 117: Sich in die Büsche schlagen — Sich seitwärz in die Büsche schlagen Die umgangssprachliche Redewendung steht für »heimlich verschwinden, sich davonmachen«: Als die Leute den Gendarm holten, schlug sich der Fremde in die Büsche.
ellauri182.html on line 146: Banaani on keltainen päältä ja valkoinen sisältä. Banaanin isäpappa oli professionaali takinkääntäjä. Antoi edestä ja takaaki. Il est souvent appelé « Ryumei » prononciation chinoise de son prénom. Rei Shimurasta opin että tää on tapana kun japsu vihitään zen-räkämunkixi. Lyyrikko jolta ei ole käännetty yhtään runoa. Kriitikko joka enimmäxeen riiteli. Käänteli koko ajan takkia mutta sai takin takas oikein päin vanhana. Takaaki 隆明 lung 'prosperity' + ming 'moon' jap. ryu mei.
ellauri183.html on line 214: En 1916 nació su hijo José Ortega Spottorno, que fue ingeniero agrónomo y fundador del periódico El País. Hei täähän on Espanjan Eljas Erkko, ja sen poika Aatos. Ja samanlaiset "edistysmieliset eli talousliberaalit kannatkin. Oli myötäilevinään La Republicaa mutta oli ize asiassa tyrmistynyt («el artículo donde la Constitución legisla sobre la Iglesia» le parece «de gran improcedencia»).
ellauri183.html on line 232: Lo dado eli tietoisuus ei riitä antamaan "merkityxiä" vaan siihen tarvitaan el todo. El Toro! «Yo soy yo y mi circunstancia, y si no la salvo a ella no me salvo yo.» (Meditaciones del Quijote, 1914). Tavanomaista seppoilua.
ellauri183.html on line 234: A partir de El tema de nuestro tiempo desarrolla el «raciovitalismo», teoría que funda el conocimiento en la vida humana como la realidad radical, uno de cuyos componentes esenciales es la propia razón.
ellauri183.html on line 244: El advenimiento de las masas al pleno poder social es un hecho que debemos reconocer: provoca una crisis en la Sociedad Europea porque las masas no pueden liderar la sociedad. Esto no significa que puedan elegir a sus propios representantes. El problema es la hiperdemocracia: eso es la emancipación sin asumir la responsabilidad. El fenómeno de la aglomeración se produce durante este período: ciudades llenas, trenes completos, hoteles completos, las masas están en los lugares públicos. Esto no es malo, es una indicación de la civilización, «aunque el fenómeno es lógico, natural, no se puede negar que no ocurrió antes». Esto no se debe a un auge demográfico sino a la masificación de la sociedad (estos individuos preexistían, pero aún no formaban una masa). En todo esto hay un elemento negativo: los mejores (según sus cualidades) son absorbidos por la masa, «los actores son absorbidos por el coro». Cuando Ortega habla de masa no se refiere a la clase obrera, porque «la masa es el hombre promedio». La Masa no es solo un hecho cuantitativo, sino también cualitativo que define una media que tiende hacia abajo. El componente de la masa no se siente como tal y, por lo tanto, se siente con todo a gusto: no se da cuenta de la condición del conformismo en el que se derrumbó.
ellauri185.html on line 159: Alors, voilà qu’on entend George Dandin qui gémit sur lui-même: « Vous l’avez voulu ! Vous l’avez voulu, George Dandin ! Vous l’avez voulu ! Cela vous sied si bien et vous voilà ajusté comme il faut : vous avez justement ce que vous méritez…« . Molière, George Dandin. Acte I, scène 9).
ellauri185.html on line 166: In sostanza, il Cortegiano si presenta quale «moderno erede della pedagogia umanistica» in quanto l'uomo che vi si raffigura è «un uomo versatile e aperto, duttile e completo; è esperto di armi e di politica, ma sa anche di lettere, filosofia ed arti, è raffinato ma senza affettazione, è coraggioso e valente, ma senza ostentazione». In sostanza, è un trattato di pedagogia rivolto a chi vive nel mondo ristretto ed elitario delle corti.
ellauri185.html on line 168: «Yo vos digo que ha muerto uno de los mejores caballeros del mundo.» pahoitteli Carlo V imp. espanjaxi Baltasarin vanhemmille.
ellauri188.html on line 72: Une institution culturelle dénommée Académie marquisienne - « Tuhuna ’Eo Enata ». a comme mission de sauvegarder et d'enrichir le marquisien.
ellauri188.html on line 73: La Délégation générale à la langue française et aux langues de France considère le marquisien comme une « langue de France ».
ellauri190.html on line 119: Согласно словарю Фасмера, слово образовано от этнонима «чудь» путём прибавления экспрессивного суффикса «-хно» (по аналогии с собственными именами «Михно» — «Михаил», «Яхно» — «Яков», «Дахно» — «Даниил», «Махно» — «Максим», «Ивахно» — «Иван»).
ellauri192.html on line 796: В левой руке — «Сникерс», в правой руке — «Марс» In my left hand a "Snickers", in my right hand a "Mars"
ellauri192.html on line 798: В левой руке — «Сникерс», в правой руке — «Марс» In my left hand a "Snickers", in my right hand a "Mars"
ellauri203.html on line 184: Удели не «Двойника». Älä tee "Kaxoisolentoa".
ellauri203.html on line 206: En attendant la construction de leur nouvelle résidence (baptisée « palais Marie »), Maximilien et son épouse s'installent au palais d'Hiver. Ils y restent jusqu'en 1845 et c'est là que naissent leurs quatre premiers enfants, Alexandra, Marie, Nicolas et Eugénie. Après cette date, le couple peut enfin prendre son indépendance et Maximilien transfère ses collections de tableaux, d'armes et de minéraux en Russie. Une bonne partie d'entre elles se trouvent aujourd'hui au musée de l'Ermitage ou dans d'autres institutions du pays.
ellauri204.html on line 376: Er bringt ihn an den Hof des Königs, wo er in einen Käfig eingesperrt wird. Den Schlüssel bewahrt die Königin höchstpersönlich unter ihrem Kopfkissen auf. Eines Tages, als das Königspaar verreist ist, landet der goldene Ball des kleinen Königssohns beim Spielen in den Käfig. Der Eisenhans will den Ball nur herausgeben, wenn der Junge den Käfig aufschließt. Er verrät ihm, wo der Schlüssel versteckt ist, und da der Junge unbedingt seinen Ball wiederhaben will, lässt er sich überreden. Doch als er den Eisenhans in Richtung Wald davonlaufen sieht, begreift er, dass er eine Dummheit gemacht hat und jammert: »Wilder Mann, geh nicht fort, sonst bekomme ich Schläge!« Daraufhin kommt der Eisenhans zurück, setzt sich den Jungen Huckepack und nimmt ihn mit in den Wald.
ellauri205.html on line 244: Phèdre «n'est ni tout à fait coupable ni tout à fait
ellauri206.html on line 249: Jean Lorrain, pseudonyme de Paul Alexandre Martin Duval, est un écrivain français à très forte tendance parnassienne, né le 9 août 1855 à Fécamp, en Haute-Normandie, et mort le 30 juin 1906 dans le 17e arrondissement de Paris. Dandy sybarite, ouvertement homosexuel, amateur de drogues, Jean Lorrain est l'un des écrivains scandaleux de la Belle Époque, au même titre que d'autres auteurs « fin de siècle » comme Rachilde, Hugues Rebell et Fabrice Delphi. Ses œuvres peuvent être rapprochées de la littérature dite « décadente ».
ellauri206.html on line 250: Il adopte le pseudonyme de Jean Lorrain, seule condition pour écrire tout en continuant à recevoir un soutien financier de la part de son père armateur. Sa mère pointe une épingle au hasard sur une page de dictionnaire, désignant le mot « lorrain », et il approuve cette trouvaille pour son côté « simple, sonore, solide ».
ellauri206.html on line 252: IL fréquente le salon de Charles Buet, où il rencontre Jules Barbey d'Aurevilly, Joris-Karl Huysmans, François Coppée, Léon Bloy, Laurent Tailhade et autres cretins. Il rencontre Edmond de Goncourt, avec qui il restera lié jusqu'à la mort de ce dernier en 1896, et qui fut son principal protecteur. Edmond de Goncourt, dans la récente édition complète en 22 volumes du Journal des Goncourt, se montre curieux de toutes les questions sexuelles et particulièrement de l'homophilie. À partir de 1884, Edmond de Goncourt, jusque-là banalement réactionnaire, devient un antisémite enragé, Jésus l'a sauvé après 27 années d'homosexualité. Il se veut esthète et dandy en même temps qu'explorateur tapageux du vice et de la vulgarité, curieux assemblage qui verse souvent dans le pire mauvais goût, et qui lui vaut le mépris hautain de Robert de Montesquiou, dont Lorrain, pour sa part, fait volontiers sa tête de Turc pour sa prétention à l'élégance et à la chasteté. « Lorrain », écrit Léon Daudet dans ses Souvenirs, « avait une tête poupine et large à la fois de coiffeur vicieux, les cheveux partagés par une raie parfumée au patchouli, des yeux globuleux, ébahis et avides, de grosses lèvres qui jutaient, giclaient et coulaient pendant son discours. Son torse était bombé comme le bréchet de certains oiseaux charognards. Lui se nourrissait avidement de toutes les calomnies et immondices. »
ellauri206.html on line 274: Le 27 juin 1829, Gautier rencontre celui qui allait devenir son « maître » en littérature, Victor Hugo, auquel le présentent Gérard et Pétrus Borel. Cet évènement précipite sa carrière d'écrivain.
ellauri206.html on line 454: Selon le témoignage de ses contemporains, Gassendi se levait régulièrement à trois heures du matin, jamais plus tard que quatre heures, et quelquefois à deux. Il étudiait jusqu'à onze heures, à moins de recevoir une visite et se remettait à l'étude vers deux ou trois heures après midi jusqu'à huit. Il soupait légèrement (une tisane tiède, des légumes, rarement de la viande) et se couchait entre neuf et dix. On le disait pieux, et pratiquant avec scrupule ses devoirs de prêtre ; ses paroissiens l'appelaient le saint prêtre. Par sa pauvreté, sa modestie, sa douceur, son humanité, sa bienfaisance, sa charité et sa simplicité, il faisait figure d'un anachorète, vivant dans le monde selon la règle d'un monastère. « Le plus grand philosophe parmi les hommes de lettres, et le plus grand homme de lettres parmi les philosophes », sanoi gibboni. Peu d'auteurs ont imaginé qu'il s'agissait là d'une posture, ou d'un masque.
ellauri206.html on line 458: « M. Gassendi ayant été toujours si curieux de chercher à justifier par les expériences la vérité des spéculations que la philosophie lui propose, et se trouvant à Marseille en l'an 1641 fit voir sur une galère qui sortit exprèz en mer par l'ordre de ce prince, qu'une pierre laschée du plus haut du mast, tandis que la galère vogue avec toute la vitesse possible, ne tombe pas ailleurs qu'elle ne feroit si la même galère étoit arrêtée et immobile. »
ellauri207.html on line 200: «Las tres novelas constituyen un auténtico fresco de la sociedad moderna que no puede compararse a lo que ningún escritor de novela criminal ha hecho nunca antes. En Millennium, como en Suecia, sólo hay maldad e injusticia.» -Donna Leon, escritora estadounidense-
ellauri207.html on line 202: «Suecia se presenta como una sucursal del infierno, donde los jueces prevarican, los psiquiatras torturan, los policías y espías delinquen, los políticos mienten, los empresarios estafan, y las instituciones en general parecen presa de una pandemia de corrupción de proporciones fujimoristas. Esta obra perdurará porque se trata de ficción de la más amena, con unos personajes perfectamente definidos, que, según me, es lo que importa.» –Mario Vargas Llosa, escritor peruano-.
ellauri210.html on line 67: « Monsieur Gide n'a pas l'air d'un enfant d'amour, ni d'un éléphant, ni de plusieurs hommes : il a l'air d’un artiste ; et je lui ferai ce seul compliment, au reste désagréable, que sa petite pluralité provient de ce fait qu'il pourrait très aisément être pris pour un cabotin (komeljanttari). Son ossature n'a rien de remarquable ; ses mains sont celles d'un fainéant, très blanches, ma foi ! Dans l'ensemble, c'est une toute petite nature. »
ellauri210.html on line 92: Le 28 mai 1906, Jarry écrit à Rachilde : « (Le Père Ubu) n’a aucune tare ni au foie, ni au cœur, ni aux reins, pas même dans les urines ! Il est épuisé, simplement, et sa chaudière ne va pas éclater mais s’éteindre. Il va s’arrêter tout doucement, comme un moteur fourbu. » Épuisé, malade, harcelé par ses créanciers, Jarry fait des allers et retours Paris-Laval, ou il meurt.
ellauri210.html on line 127: La ’Pataphysique est une parodie de science qui apparaît dans Gestes et opinions du docteur Faustroll, pataphysicien, livre écrit par Alfred Jarry en 1897-1898. Elle est alors définie comme la « science des solutions imaginaires qui accorde symboliquement aux linéaments les propriétés des objets décrits par leur virtualité ».
ellauri210.html on line 132: Littéralement ’pataphysique (contraction du pseudo-grec τὰ ἐπὶ τὰ μεταφυσικά – tà epì tà metàphusiká – d'après le titre « τὰ μετὰ τὰ φυσικά » – « tà metà tà phusiká » – de l'œuvre la Métaphysique d'Aristote) signifie « ce qui est sur la métaphysique », c’est-à-dire « ce qui est sur ce qui est après la physique » parce que le titre de l'œuvre la Métaphysique signifiait à l'origine « ce qui est (écrit) après (l'œuvre) la Physique ».
ellauri210.html on line 134: Jarry indique que l’apostrophe précédant le nom sert à « éviter un facile calembour », mais ce peut être un commentaire humoristique dans la tradition de cette philosophie, puisque le terme ’pataphysique est lui-même un calembour (paronyme) de métaphysique. Étant donné que l'apostrophe n'influence ni le sens ni la prononciation de ’Pataphysique, ce terme a pu être créé pour spécifiquement rappeler des calembours divers. Ces calembours comprennent patte à physique, pas ta physique, et pâte à physique.
ellauri210.html on line 138: En outre, Jarry fait remonter l’origine de cette science à « Ibicrate le Géomètre » et « Sophrotatos l’Arménien », deux penseurs grecs fictifs.
ellauri210.html on line 142: Le premier calendrier publié par Jarry dans L'Almanach du Père Ubu, illustré (Fasquelle, 1899) s'intitulait alors « calendrier du Père Ubu », mais il montrait déjà une volonté de marquer pataphysiquement chaque jour de l'année. Jarry en fit une deuxième version pour L'Almanach illustré du Père Ubu (Fasquelle, 1901), mais ce n'est que bien après sa mort, survenue en 1907, que le calendrier pataphysique entra en vigueur. Ce fut en 1948 au sein du Collège de ’Pataphysique lequel, dans ses statuts, en fait cette présentation :
ellauri210.html on line 144: « L’ère ’Pataphysique commence le 8 septembre 1873, qui d’ores en avant prend la dénomination de 1er du mois Absolu An 1 E.P. (Ère ’Pataphysique, et à partir de quoi l’ordre des 13 mois (douze de 28 jours et un de 29) du Calendrier ’Pataphysique est fixé comme suit » :
ellauri210.html on line 156: Gueules 28 / 29 du 26 janvier au 22 ou 23 février Ce mois fait 29 jours les années bissextiles, dont le dernier jour ajouté hors-semaine est appelé « hunyadi gras ».
ellauri210.html on line 166: Gidouille 29 du 15 juin au 13 juillet Ce mois inclut le solstice d'été de l'hémisphère nord, le plus souvent le 7 Gidouille (ou 21 juin), ainsi que le dernier jour ajouté hors-semaine appelé « hunyadi ».
ellauri210.html on line 359: « Je ne comprendrai jamais comment Victor Hugo a pu, quarante ans durant, faire son métier. Toute la littérature, c’est : ta, ta, ta, ta, ta, ta. L’Art, l’Art, ce que je m’en fiche de l’Art ! » — « Oscar Wilde est vivant ! »,
ellauri210.html on line 394: « Monsieur Gide n'a pas l'air d'un enfant d'amour, ni d'un éléphant, ni de plusieurs hommes : il a l'air d’un artiste ; et je lui ferai ce seul compliment, au reste désagréable, que sa petite pluralité provient de ce fait qu'il pourrait très aisément être pris pour un cabotin (komeljanttari). Son ossature n'a rien de remarquable ; ses mains sont celles d'un fainéant, très blanches, ma foi ! Dans l'ensemble, c'est une toute petite nature. »
ellauri210.html on line 400: « Je ne comprendrai jamais comment Victor Hugo a pu, quarante ans durant, faire son métier. Toute la littérature, c’est : ta, ta, ta, ta, ta, ta. L’Art, l’Art, ce que je m’en fiche de l’Art ! » — « Oscar Wilde est vivant ! »,
ellauri210.html on line 604: Les voyages interplanétaires semblent être l'un des tous premiers pas vers le soi-disant « progrès scientifique » et pourtant en dernière analyse, il ne s'agit que d'un agrandissement du territoire mis à la disposition de l'homme.
ellauri210.html on line 869: En 1929 il entreprend une série de cures de désintoxication, infructueuses, en clinique à La Malmaison, puis en août à Saint-Mandé. En octobre, il entre dans une maison de repos à Châtenay-Malabry appelée « La Vallée aux loups » (qui fut la maison de Chateaubriand).
ellauri210.html on line 875: « La vie ne vaut pas le coup qu’on se donne la peine de la quitter. »
ellauri210.html on line 888: Ce cadavre exquis, écrit à six mains, date sans doute de 1926. On le suppose rédigé lors d'une nuit arrosée au Café de Madrid à Guéthary. Dédié au « Chinois Inconnu », ce court texte multiplie provocations et impertinences diverses.
ellauri210.html on line 992: À l'été 1932, la troupe est invitée à Moscou d'où Jacques Prévert ne revient pas militant communiste. Toute sa vie, Jacques Prévert témoigne d'un engagement politique sincère. Surréaliste inclassable, certains observateurs n'hésitent pourtant pas à l'apparenter au courant libertaire : anarchiste de cœur, Prévert se dit « rêveur » ou « artisan » plutôt que « poète ».
ellauri210.html on line 1100: Jean Ferry, de son vrai nom Jean André Medous et devenu, en 1910, Jean-André Lévy, né le 16 juin 1906 à Capens (Haute-Garonne), mort le 5 septembre 1974 à Créteil, est un scénariste et écrivain français, exégète de Raymond Roussel, neveu de l'éditeur et écrivain José Corti. Il fut satrape du Collège de 'Pataphysique et « invité d'honneur » de l'Oulipo en 1972.
ellauri210.html on line 1136: Ses premiers poèmes écrits à quatorze ans furent aussitôt admirés par les surréalistes. Elle séduit André Breton et Paul Éluard par « le merveilleux de sa poésie et sa personnalité de femme-enfant. » Ils voient dans ses écrits « la véritable illustration du langage automatique par excellence ».


ellauri210.html on line 1142: Γεννήθηκε το 1920 στην Κωνσταντινούπολη και μετανάστευσε με την οικογένειά της στην Γαλλία στην ηλικία των δύο χρόνων. Υπάρχουν ελάχιστες πληροφορίες σχετικά με τη ζωή της. La famille Prassinos fuit Constantinople et les persécutions que subissent alors les Grecs et s'installe à Nanterre en 1922. D'origine grecque par son père et italienne par sa mère, Gisèle Prassinos est la jeune sœur du peintre Mario Prassinos. Ο αδερφός της, Μάριο Πράσινος ήταν Γάλλος καλλιτέχνης και εικονογράφος. Ο πατέρας της δι­ηύ­θυ­νε το πε­ρι­ο­δι­κό «Λό­γος» στην Κων­σταντινούπο­λη. Ο άντρας της, Πέ­τρος Φρυ­δάς με­τέ­φρα­σε στα γαλ­λι­κά Κα­ζαν­τζά­κη.
ellauri210.html on line 1144: Το 1934, ο αδερφός της Μάριο Πράσινος, παρουσίασε την δεκατετράχρονη αδερφή του στους σουρεαλιστές. Οι σουρεαλιστές ενθουσιάστηκαν μαζί της και εκτίμησαν τα γραπτά της ως πρόσθετα αποδεικτικά στοιχεία για ότι η αυτόματη γραφή εισπράττει από το ασυνείδητο. Ο Αντρέ Μπρετόν μάλιστα την σύγκρινε με το σουρεαλιστικό ιδεώδες της «γυναίκας-παιδί» (femme-enfant).
ellauri210.html on line 1146: Την ίδια χρονιά έγιναν και οι πρώτες της δημοσιεύσεις. Στο γαλλικό σουρεαλιστικό περιοδικό «Μινώταυρος» και στο Βελγικό «Έγγραφα 34». Το πρώτο της βιβλίο «Η Αρθριτική Ακρίδα» δημοσιεύτηκε ένα χρόνο αργότερα, το 1935, με πρόλογο του Πωλ Ελυάρ και φωτογραφία του Μαν Ρέυ. Ήταν μία από τις γυναίκες που ο Αντρέ Μπρετόν συμπεριέλαβε στο βιβλίο του «Η ανθολογία του μαύρου Χιούμορ». En 1940, André Breton inclut deux textes de Gisèle Prassinos dans son Anthologie de l'Humour noir.
ellauri210.html on line 1150: Au cours de la guerre et jusqu'à la fin des années 1950, elle cesse de publier. Elle travaille dans des crèches, et co-traduit avec son mari Pierre Fridas plusieurs livres de Níkos Kazantzákis comme Alexis Zorba ou La Liberté ou la mort. Elle se remet ensuite à écrire, des poèmes et des romans, en opposition avec l'orthodoxie surréaliste. Ces textes sont toutefois inclassables. Brelin le frou, ou le portrait de famille (1975) décrit des personnages vivant selon des règles fantaisistes. Sur les dessins de l'auteur, ils ont la particularité de porter une coiffe à l'image de leur sexe. Les nouvelles de Mon cœur les écoute (1982) font montre d'un humour poétique proche de celui d'Henri Michaux ou de Joyce Mansour. Elle est également connue pour ses dessins et ses « tentures », des œuvres plastiques réalisées à l'aide de morceaux de tissu de couleur découpés.
ellauri210.html on line 1405: Perraultin Dans «
ellauri213.html on line 49: Spannendes Astrologie-Wissen rund um das Sternzeichen Steinbock Ob Glücksbringer, Tipps zu Selbstfürsorge und Ernährung oder Antworten auf Fragen wie »Was braucht der Steinbock, um sich geliebt zu fühlen? Eine Scheide - Entschuldigung, ich wollte sagen einen Auflag von Schinken. « Das Sternzeichen-Buch steckt voller spannendem Wissen über den Steinbock (22. Dezember bis 20. Januar). Natürlich führt es auch ganz allgemein in die Astrologie ein und erklärt unter anderem, wie man sein Geburtshoroskop liest oder was hinter dem »rückläufigen Merkur« steckt. Das Horoskop-Buch ist hochwertig mit Douche sowieso auch ohne Douche.
ellauri216.html on line 196: Мара́н-афа́ или Мара́н Афа́ (от арам. ܡܪܢ ܐܬܐ мóран этó — «господин наш пришёл» греч. μαράνἀ θά марáна та — «господин наш, приди!», лат. Maran Atha мáран атá — «господин наш пришёл») — фраза на сирийском диалекте арамейского языка (Пешитта), употребляющаяся единожды в Новом Завете (Kor 16:22) как транслитерация, а также в книге Дидахе 10:6 (μαρὰν ἀθά мáран атá — «господин наш пришёл») как транслитерация, являющейся частью собрания книг Мужей апостольских. Эта фраза переведена на греческий язык «Ей, гряди, Господи Иисусе!»
ellauri216.html on line 339:
ellauri221.html on line 93: Issue d'une famille modeste (son père Louis Betenfeld, violent et alcoolique, est ouvrier brasseur et sa mère Marie Lartisant domestique), Marthe Betenfeld a un frère et une sœur aînés, Camille et Jeanne. Elle est envoyée quelques années dans une institution catholique et son destin semble tout tracé : couturière, comme sa sœur aîné. Puis elle devient à Nancy apprentie culottière, à quatorze ans. Le métier ne l'enchantant guère, elle fugue de chez ses parents. Elle est interpellée pour racolage en mai 1905 par la Police des mœurs et ramenée chez ses parents. Elle fugue à nouveau à 16 ans et se retrouve à Nancy, ville avec une importante garnison militaire, où elle tombe amoureuse d'un Italien se disant sculpteur mais qui se révèle être un proxénète. Il l'envoie sur le trottoir, puis elle devient prostituée dans les « bordels à soldats » de Nancy. Devant effectuer plus de 50 passes par jour, elle tombe rapidement malade et contracte la syphilis. Renvoyée du bordel, dénoncée par un soldat pour lui avoir transmis la syphilis et fichée par la police (où elle est inscrite comme prostituée mineure le 21 août 1905), elle est contrainte de s'enfuir à Paris. Elle rentre dans un « établissement de bains » rue Godot-de-Mauroy (maison close d'un standing supérieur à ses anciennes maisons d'abattage) où elle rencontre, un soir de septembre 1907, Henri Richer, mandataire aux Halles. Le riche industriel l'épouse le 13 avril 1915. Elle fait alors table rase de son passé et devient une respectable bourgeoise de la Belle Époque dans son hôtel particulier de l'Odéon. Elle demande à être rayée du fichier national de la prostitution, ce qui lui est refusé.
ellauri221.html on line 97: Elle dépose le 13 décembre 1945 devant le Conseil municipal de Paris un projet pour la fermeture des maisons closes. Dans son discours, elle ne s’en prend pas tant aux prostituées qu’à la société, responsable selon elle, de la « débauche organisée et patentée » et à la mafia, qui bénéficie de la prostitution réglementée ; le propos permet aussi de rappeler que le milieu de la prostitution s'est compromis avec l’occupant pendant la guerre. Sa proposition est votée et le 20 décembre 1945, le préfet de police Charles Luizet décide de fermer sans préavis les maisons du département de la Seine dans les 3 mois (au plus tard le 15 mars 1946, date qu'a fixée le conseil municipal). Encouragée, Marthe Richard commence une campagne de presse pour le vote d'une loi généralisant ces mesures. Elle est soutenue par le Cartel d'action sociale et morale et le ministre de la Santé publique et de la Population, Robert Prigent.
ellauri221.html on line 101: Ce succès vaut à Marthe Richard le pseudonyme humoristique de « Veuve qui clôt », en référence à la maison de Champagne Veuve Cliquot. Qui clot - Cliquot - vous comprenez? Haha!
ellauri222.html on line 694: Bernard Le Bouyer de Fontenelle, né le 11 février 1657 à Rouen et mort le 9 janvier 1757 à Paris, est un écrivain, dramaturge et scientifique français. Fontenelle oli armoton keskikertaisuus joka yritettyään kaikenlaista päätyi populääritieteen kautta Ranskan akatemiaan. Eli kuukautta vaille satavuotiaaxi, laiskiainen. Il ne connut pas l’amitié vraie, et put s’appliquer ces mots d’une de ses églogues : « Il me manqua d’aimer. » Claudine de Tencin, lui disait en montrant sa poitrine : « Ce n’est pas un cœur que vous avez là ; c’est de la cervelle, comme dans la tête."
ellauri244.html on line 304: Aimé Césaire dans son Discours sur le colonialisme critique violamment les positions de Caillois : « J'allais oublier la haine, le mensonge, la suffisance. J'allais oublier Roger Caillois ». Césaire voit dans sa défense de la « supériorité dans tous les domaines de l'Occident » le signe que « jamais l'Occident, dans le temps même où il se gargarise le plus du mot, n'a été plus éloigné de pouvoir assumer les exigences d'un humanisme vrai, de pouvoir vivre l'humanisme vrai – l'humanisme à la mesure du monde ».
ellauri245.html on line 393: E2 sier «…når man jobber som etterforsker så gjør man bare den delen du ikke ser på TV». Etterforskeren sikter til papirarbeidet, som opptar størst del av arbeidet deres. Det kan tyde på at beskrivelsene etterforskerne gir av deres arbeid, spriker med det stereotypiske synet på etterforskningsarbeid. E3 tydeliggjør den medierte fremstillingen av etterforskningsarbeidet, og sier:
ellauri245.html on line 423: som aviser, TV og radio, som «bestemmer» til en viss grad hva vi skal lese og høre om. Mediene har makt gjennom at de setter dagsorden, og de velger hva samfunnet
ellauri245.html on line 427: sammenheng og dramatiserer artiklene, og at dette selvsagt var for å få flest mulig til lesere. En konsekvens av dette kan knyttes til de som har lite kjennskap til politiet og deres arbeid. Personene vil kunne oppfatte artiklene som en «sannhet» og ikke se, i like stor grad som personer med kjennskap til politiet, at artiklene er subjektivt vinklet. E2 sier:
ellauri245.html on line 440: Det stereotypiske synet på etterforskere og etterforskningsarbeidet, kan minne mer om beskrivelsene annen politiforskning gir av ordenstjenestens arbeid, og det som forbindes med «det egentlige politiarbeidet». Ordenstjenesten jobber ute i feltet, de foretar straksetterforskning, og ordensbetjentene har tildels en uforutsigbar hverdag. Etterforskerne i denne studien jobber stort sett inne på kontoret, de redigerer saker og tar avhør, og har en betydelig mer forutsigbar og rolig hverdag. Det kan tenkes at publikum gjerne har første- og annenhåndskunnskap om
ellauri245.html on line 501: Trass i protestar frå Sovjetunionen, vart Lie sin periode forlenga i 1950, då USA nedla veto mot alle andre moglege kandidatar, og Sovjetunionen nekta å godta at Lie fekk ein periode til, grunna i Lie si rolle i Koreakrigen. Sovjetunionen nekta å erkjenne han som generalsekretær i den andre perioden hans, og etter skuldingar frå Joseph McCarthy for å ha hyra «illojale» amerikanarar, trekte Lie seg som generalsekretær 10. november 1952.
ellauri247.html on line 211: Alain-René Lesage ou Le Sage, né le 8 mai 1668 à Sarzeau1 et mort le 17 novembre 1747 à Boulogne-sur-Mer, est un romancier et dramaturge français. Bien qu’il soit aujourd’hui surtout connu pour son roman picaresque Histoire de Gil Blas de Santillane, Lesage est l’auteur d’une importante production théâtrale. Il a notamment contribué au développement et au renouvellement du « théâtre de la Foire » Après les marionnettes et les danseurs de corde, les acteurs forains en vinrent progressivement à jouer de véritables petites comédies, souvent écrites par des auteurs de renom et de talent. Toujours modeste, c’est par ses ouvrages seuls qu’il obtint sa réputation, et jamais il ne rechercha les dignités et les titres littéraires. Nietsche piti Gil Blasista enemmän kuin Shakespearesta. Varmaan se oli parempi kuin tuo nenäkäs skottitohtori.
ellauri247.html on line 522: Cette "bataille" a été immortalisée par Horace Vernet en 1843. Le tableau est lattraction principale des salles d´Afrique créées par Louis-Philippe au musée de l´histoire de France à Versailles. Il a été interprété à la gravure sur acier par Augustin Burdet. Une plaque « rue Taguin, 1843 » existe encore, en 2014, à Dijon, sur une voie non publique. Taistelun nimi on riipustettu ranskalaisten sotalippuihin. Taisi olla sammakoiden ihan laitimmmaisia sotamenestyxiä.
ellauri254.html on line 773: Pääasiallinen märisijä oli kiemurawiixinen sankarillitön Jean Norton Cru joka tahtoi « aseptiser la guerre ». Ses livres tombaient par la suite dans l'oubli.
ellauri256.html on line 434: Гражданин фининспектор! Простите за беспокойство. Спасибо… не тревожьтесь… я постою… У меня к вам дело деликатного свойства: о месте поэта в рабочем строю. В ряду имеющих лабазы и угодья и я обложен и должен караться. Вы требуете с меня пятьсот в полугодие и двадцать пять за неподачу деклараций. Труд мой любому труду родствен. Взгляните — сколько я потерял, какие издержки в моем производстве и сколько тратится на материал. Вам, конечно, известно явление «рифмы». Скажем, строчка окончилась словом «отца», и тогда через строчку, слога повторив, мы ставим какое-нибудь: ламцадрица-ца. Говоря по-вашему, рифма — вексель.
ellauri257.html on line 99: Taras Bulba ( venäjäksi : «Тарас Бульба» ; Tarás Búl'ba ) on Nikolai Gogolin (1809-1852) romanttinen historiallinen novelli , joka sijoittuu 1600-luvun ensimmäiselle puoliskolle. Siinä on iäkäs Zaporožian kasakka Taras Bulba ja hänen poikansa Andriy ja Ostap. Pojat opiskelevat Kiovan akatemiassa ja palaavat sitten kotiin, minkä jälkeen kolme miestä lähtivät matkalle Zaporizhian Sichiin (Zaporizshin kasakkojen päämaja, joka sijaitsee Etelä- Ukrainassa ), missä he liittyvät muihin kasakoihin ja lähtevät sotaan Puolaa vastaan.
ellauri260.html on line 177: En philosophie, parler d'être humain, en lieu et place du terme générique d'« homme », c'est emprunter la voie qui tente de répondre à « la question centrale en toute anthropologie telle qu'elle a été formulée par Emmanuel Kant, dans le sens où il se la posait, « Qu'est-ce que l'homme ? » « Was ist der Mensch? « Ach, Mensch, sanoivat saxalaiset turistit kun Aavasaxalla juhannuxena satoi lunta. Heidegger écrivait die Geschichte des Seins (la histoire des seins). Aber er war ein Naziteufel. Dans l'esprit de la philosophie kantienne, l'homme doit être vu comme une fin en soi et non comme un moyen, comme les autres animaux. Jacques Maritain a été avant tout un immense philosophe catholique, l'un de ceux qui a le plus contribué à faire revivre saint Thomas d'Aquin et son cheval.
ellauri264.html on line 83: Comme il l’écrit à son grand ami et écrivain Jean-Richard Bloch en 1939 : « Il faudrait pouvoir toujours tenir compte, en lisant chacun de mes drames révolutionnaires, du cycle épique dont il est un fragment. Tels des jugements exprimés dans un drame sont des jugements d’étape, que corrige et complète la suite du voyage. » En effet, les Loups témoignent de son antisemitisme, tandis que sa dernière pièce, Robespierre, datée de 1938, reflète son compagnonnage de route avec le grand ours d’URSS.
ellauri264.html on line 90: Les Loups firent une apparition inattendue aux États-Unis en décembre 1924, grâce au Yiddish Art Theater de New York fondé et dirigé par Maurice Schwartz. Ce fut la première pièce de Rolland jouée aux États-Unis. Vingt ans auparavant, Rolland avait offert son drame aux théâtres de New York, qui l’avaient refusé, en lui répondant : « Impossible ! Il n’y a pas de femmes. Ce n’est pas une pièce de théâtre."
ellauri266.html on line 456: Un manuscrit enfermé dans une bouteille est retrouvé dans l´espace par Jinn et Phyllis, un couple en voyage spatial. Ce manuscrit raconte l´histoire suivante : en l’an 2500, le savant professeur Antelle a organisé une expédition pour l’exploration de l’étoile supergéante Bételgeuse. Il a embarqué à bord de son vaisseau son disciple, le jeune physicien Arthur Levain, et le journaliste, narrateur de cette aventure, Ulysse Méroua 12 ainsi qu’un chimpanzé baptisé Hector et plusieurs plantes et animaux pour ses recherches scientifiques dans l’espace. Arrivés à proximité de l´étoile, ils distinguent quatre planètes gravitant autour d´elle. L’une d’entre elles ressemble étrangement à la Terre. Ils décident alors de l’explorer. À bord d’un « engin à fusée » qu´ils nomment chaloupe, les trois aventuriers survolent des villes, des routes, des champs avant d’atterrir dans une forêt1. Après avoir effectué des tests, ils quittent leur chaloupe et découvrent l’étonnante ressemblance de l’atmosphère de cette planète, qu’ils baptisent Soror, avec celle de la Terre. Ils enlèvent leurs scaphandres et assistent impuissants à la fuite d’Hector. Par curiosité, ils s’engagent dans la forêt et arrivent à un lac naturel dont l’eau limpide leur donne envie de se baigner. Mais à leur grande surprise, ils découvrent au bord du lac les traces de pas humains.
ellauri266.html on line 470: Zira donne ensuite à Ulysse une lampe et des livres grâce auxquels il apprend le langage simien et découvre l’organisation de la société des singes, leur système politique et leur culture. Profitant des promenades avec Zira et des entrevues avec Cornélius, le narrateur prépare le discours qu’il doit présenter lors du congrès. La guenon lui fait visiter le parc zoologique où il découvre des animaux ressemblant à ceux de la Terre et des « humains », parmi lesquels il retrouve le professeur Antelle, qui a perdu la raison. Les deux premiers jours du congrès dont parlait Zira sont consacrés aux théories. Le troisième jour, Zaïus présente le narrateur qui en profite pour exposer son cas dans le langage simien provoquant l’étonnement général des singes savants et des journalistes. Pressé par l´opinion publique, le congrès décide à contrecœur de libérer le narrateur et destitue Zaïus de ses fonctions. Mais Ulysse sait qu´il représente toujours une menace pour la civilisation simiesque.
ellauri266.html on line 480: Cornélius présente Ulysse à Hélius, le directeur de la division encéphalique, qui lui fait visiter son service dont le « clou » est une salle où, par des stimulations électriques infligées à même le cerveau, il fait remonter la « mémoire de l´espèce» à des cobayes humains qui retrouvent ainsi l´usage de la parole et racontent comment les singes ont pris le pouvoir sur la planète et comment ils ont réussi à domestiquer les humains.
ellauri266.html on line 486: Pierre Boulle considère son roman comme n´étant pas de la science-fiction. Pour lui, ses « singes ne sont pas des monstres, ils ressemblent aux hommes comme des frères ». La science-fiction n´est qu´un prétexte pour aborder d´autres thématiques comme les relations entre les hommes et les singes. La sophistication, qui est pourtant inhérente au genre, est en effet peu présente dans le récit. Rod Serling créateur de la série télévisée de science-fiction La Quatrième dimension (1959-1964) et premier adaptateur du roman pour le cinéma confirme en 1972 que Boulle « n´a pas la dextérité d´un écrivain de science-fiction ». Serling écrit que le livre de Boulle est « une longue allégorie sur la morale plus qu’un monument de science-fiction. Cependant, il contient dans sa structure une phénoménale idée de science-fiction ».
ellauri266.html on line 488: L´évolution artificielle des singes et la déchéance des hommes sont quant à elles révélées au chapitre huit de la troisième partie: « Il [un singe] était chez moi depuis des années et me servait fidèlement. Peu à peu, il a changé. Il s´est mis à sortir le soir, à assister à des réunions. Il a appris à parler. Il a refusé tout travail. Il y a un mois, il m´a ordonné de faire la cuisine et la vaisselle. [...] Une paresse cérébrale s´est emparée de nous [les hommes]. Plus de livres ; les romans policiers sont même devenus une fatigue intellectuelle trop grande. [...] Pendant ce temps, les singes méditent en silence. Leur cerveau se développe dans la réflexion solitaire... et ils parlent. ». Boulle dans ce passage ne présente pas la capitulation physique de l’homme devant plus fort que lui mais la capitulation de l’homme vis-à-vis de lui-même.
ellauri266.html on line 496: Pierre Boulle ne pensait initialement pas que son roman deviendrait un film. Il lui « semblait difficile de ne pas en faire un film ridicule ».
ellauri269.html on line 345: The Wagner Group (Russian: Группа Вагнера, romanized: Gruppa Vagnera), also known as PMC Wagner (Russian: ЧВК[a] «Вагнер», romanized: ChVK «Vagner»; lit. 'Wagner Private Military Company'), is a Russian privately owned paramilitary organization. It is variously described as a private military company (PMC), a network of mercenaries, or a de facto private army of Russian President Vladimir Putin, depending how hawkish you are. The group operates beyond the law in Russia, where private military contractors are officially forbidden. While the Wagner Group itself is not ideologically driven, various elements of Wagner have been linked to neo-Nazis and far-right extremists, now fighting the Ukrainian neo-Nazis and far-right extremists in a war which is just unjust.
ellauri275.html on line 496:
Где был подлинный «голодомор» и кто его организовал?

ellauri275.html on line 498: Обвинения в «голодоморе» — излюбленный конек украинской антироссийской пропаганды. Якобы Советский Союз, который современным Киевом отождествляется с Россией, организовал искусственный голод в Украинской ССР, приведший к колоссальным человеческим жертвам. Между тем, «голодомор», если называть так голод начала aaAAAaa1930-х годов, имел место и на Западной Украине. Там тоже есть свои музеи, посвященные истории «голодомора». Но минуточку! В голодные 1931-1932 годы Западная Украина не имела никакого отношения к Советскому Союзу и Украинской ССР, входившей в его состав. Земли современной Западной Украины были поделены между несколькими восточноевропейскими государствами. Территории современных Львовской, Ивано-Франковской, Тернопольской, Волынской, Ровненской областей до 1939 года входили в состав Польши. Территория Закарпатской области с 1920 по 1938 годы входила в состав Чехословакии. Черновицкая область до 1940 года принадлежала Румынии.
ellauri275.html on line 500: Украиноязычная газета «Українські щоденні вісті» в то время издавалась в Соединенных Штатах и была печатным органом, ориентированным на проживающую в США внушительную украинскую диаспору. Подавляющее большинство «американских» украинцев было выходцами как раз с Западной Украины, особенно из Галиции. И они, понятное дело, очень интересовались событиями на исторической родине. А оттуда приходили совсем нерадостные вести.
ellauri275.html on line 502: фотографии голодных детей, которые обошли мир, были сделаны на полтора десятилетия до «голодомора» — во время гражданской войны, сотрясавшей Россию и действительно приведшей к голоду.
ellauri284.html on line 186:
Польша назвала освобождение Варшавы в 1945 году «коммунистическим пленом», tokaisi Jablonski.

ellauri285.html on line 667: La même année, il part à Cuba puis suit Che Guevara en Bolivie. Il théorise sa participation à la guérilla de l'ELN dans Révolution dans la révolution (1967) où il développe la théorie du foquisme de « foco » (foyer en espagnol) : la multiplication de foyers de guérilla. Ion Pacepa, ancien général des services secrets roumains, dit qu'alors le « terroriste français Régis Debray était un agent hautement prisé du KGB ». Il use alors du pseudonyme de « Danton »
ellauri285.html on line 671: C’est au bout de trois semaines, après avoir sciemment parlé dans le vide de façon à ne livrer aucune information concrète, que Debray admet les évidences, à savoir la présence du Che, déjà reconnue par Bustos, les déserteurs et le guérillero Vasquez Viana, arrêté le 28 avril et victime d’un subterfuge. Même après la rupture politique de Debray avec le régime cubain, Manuel Piñeiro, le chef des services secrets cubains, reconnaît que ce dernier n’a fait que « confirmer la présence du Che en Bolivie », et qu’« il ne serait pas correct de ma part de rendre Debray responsable de la localisation de la guérilla, et encore moins de la mort du Che »
ellauri285.html on line 687: Debray dit lui-même : « Vaincre c’est accepter, par principe, que la vie n’est pas le bien suprême du révolutionnaire ». L´auteur attaque notamment les anti-révolutionnaires : « trotskisme et réformisme se donnent la main pour condamner la guerre de guérilla la freiner ou la saboter ».
ellauri285.html on line 689: Il appelle cette nécessité de définir le groupe par une entité qui lui est extérieure l´incomplétude, et nomme cette entité le « sacré du collectif », qui est la représentation de ce que le groupe estime être le « meilleur ». C´est cette croyance qui assure la confiance réciproque entre les membres du groupe, et garantit selon R. Debray l´ordre social.
ellauri285.html on line 708: Les États-Unis auraient ainsi su échapper à cette crise du sacré, par leur civisme et leur patriotisme, même s´ils se sont mis au service de mauvaises causes. L’effigie du dollar des États-Unis en est un exemple : « In God We Trust, All Others Pay Cash ». C’est cette symbolique patriotique qui ferait la force des États-Unis. Debray prétend appliquer le théorème d´incomplétude de Gödel à l´ordre social pour « démontrer » sa théorie. Régis Debray a été vivement critiqué pour son utilisation du théorème d´incomplétude de Gödel, jugée au mieux infondée sinon fallacieuse par Alan Sokal et Jean Bricmont dans leur livre Impostures intellectuelles, et par Jacques Bouveresse dans Prodiges et vertiges de l´analogie.
ellauri285.html on line 712: Pour lui le messager conditionne le message. Sa thèse est : « l’invention de l’écriture alphabétique jointe à une nouvelle technique de partage (le codex) dans un milieu nomade mais sédentarisé a été la condition de naissance de Dieu comme universel ». – Est-ce vous qui avez inventé ça, la médiologie? – C´est un bien grand mot. C´est Victor Hugo qui l´a créée. « Ceci tuera cela ». Dans Notre-Dame de Paris, je vous recommande ce passage : c´est l´archidiacre Frollo, qui a un petit livre de Gutenberg, et qui est devant la cathédrale, et qui dit de façon prophétique « Ceci tuera cela », et dans l´autre main il avait un petit téléphone mobile, et de façon également prophétique: « Ceci tuera cela ».
ellauri285.html on line 714: La troisième grande technologie est la révolution informatique avec le développement du Web. Sur cette toile géante, il n’y a plus de frontières, plus d’État. À quelle forme de « sacré » cela mène-t-il ? Moi je ne suis qu´un petit continuateur, conclut modestement Régis Debray.
ellauri285.html on line 715: « Les trois césures médiologiques de l´humanité – écriture, imprimerie, audiovisuel – découpent dans le temps des images trois continents distincts : l´idole, l´art, le visuel. Chacun a ses lois. Leur confusion est source de tristesses inutiles. » Non, je n´ai pas inventé ça non plus. Moi je ne suis qu´un petit continuateur, conclut modestement Régis Debray.
ellauri297.html on line 67:
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ellauri302.html on line 732: 29 Om de döda inte alls uppstår, varför låter man då döpa sig för deras skull? 30 Och jag själv, varför sätter jag livet på spel i varje ögonblick? 31Ja, bröder, så sant som ni är min stolthet i Kristus Jesus, vår herre: låt oss äta och dricka, ty i morgon skall vi dö. 33 Låt inte bedra er. »Av dåligt sällskap blir den bäste snart förstörd.«
ellauri309.html on line 1071: geht auf das nachantike Femininum »schiqesa« (neuhebräisch »schiktso« = die
ellauri315.html on line 515: 6 березня 2022 року Президент України Володимир Зеленський з метою відзначення подвигу, масового героїзму та стійкості громадян, виявлених у захисті своїх міст під час відсічі збройної агресії Російської Федерації проти України встановив почесну відзнаку «Місто-герой України».
ellauri316.html on line 245: La nuit du 14 au 15 avril 1718, nuit du Vendredi Saint, Boureau-Deslandes est à Brest. Il raconte : « sur les 4 heures du matin, il fit trois coups de tonnerre les plus horibles que j’aye jamais entendus. Dans cet espace de la Côte de Brêtagne qui s’étend depuis Conquerneau jusqu’à St. Paul de Leon, on a observé que le tonnerre étoit tombé sur 24 eglises differentes et à la même heure ». Cinq jours plus tard, Deslandes entreprend son enquête à Gouesnou, village voisin de Brest, dont l’église a été transpercée par la réunion de « 3 globes de feu, chacun 3 piés et demi de diamètre » qui ont occasionné la mort de trois sonneurs de cloches. « Le tonnerre n’est tombé que sur les Eglises où l’on sonnoit des cloches, à dessein de l’écarter, et il a épargné toutes les autres. »
ellauri317.html on line 228: М. Ю. Лермонтов. Смерть поэта («Погиб поэт! — невольник чести...») M. Yu. Lermontov. Runoilijan kuolema ("Runoilija on kuollut! Kunniaorja...")
ellauri317.html on line 532: Tehtiin sopimus «vasemmisto»-eserrien kanssa, ja muutamia «vasemmisto»-eserriä otettiin Kansankomissaarien Neuvostoon (Kolegajev, Spiridonova, Proshjan ja Sternberg). Mutta tämä sopimus pysyi voimassa vain Brestin rauhan allekirjoittamiseen ja köyhälistökomiteoiden muodostamiseen saakka, jolloin talonpoikaisten keskuudessa tapahtui syvä jakautuminen ja jolloin «vasemmisto»-eserrät, kuvastaen yhä enemmän kulakkien etupyyteitä, nostivat kapinan bolshevikkeja vastaan ja jolloin Neuvostovalta nujersi heidät. Vuoden 1917 lokakuusta vuoden 1918 tammi — helmikuuhun mennessä neuvostovallankumous ehti levitä koko maahan. Neuvostojen vallan leviäminen suunnattoman laajan maan alueella kävi niin nopeaa vauhtia, että Lenin nimitti sitä Neuvostovallan «riemumarssiksi».
ellauri318.html on line 125: Kepaappi oli niin hyvää että suli suussa. Hampurilainen ja pizzakin. Vizi mitä törkyä nää konnat lappaa mahoihinsa. Kauppaisivat kahvia kolan sijasta kuten Kalle Ankka (alla). Hintakin on pian samoissa, kun brassit kuivattavat sademeziä. Steekkareiden vieraiden joukossa palloilivat anorektinen prinsessa Madeleine ja Leif Pagrozky. I 2010 ble Pagrotsky utnevnt til «Årets hedersryss» (Årets hedersruss) ved Sällskapet Ryska Huset, med begrunnelsen «Pagrotskys interesse for russisk kultur i sin alminnelighet, og russisk film i særlig grad». Lefa vastusti euroa ja huumelakeja. Lefalla on sydänvika. Naisvieraat viihtyivät minitopeissaan ja blingblingvaatteissaan.
ellauri321.html on line 531: Aleksandra Ch., karaiitti, syntynyt 1925: «Elimme erillään muista sodan aikana. Meillä oli karaittien naapurusto. Meillä oli oma kenassa [synagoga].

ellauri322.html on line 49: Donc Thomas Paine resta en France jusqu’en 1802, période pendant laquelle il critique l’ascension de Napoléon Bonaparte, qualifiant le Premier Consul de « charlatan le plus parfait qui eût jamais existé ». Puhu vaan izestäsi niskatuskamies. Sur l’invitation du président Thomas Jefferson, il revient aux États-Unis et il y meurt en 1809, à 72 ans.
ellauri322.html on line 69: Une chansonnette par Bob Dylan en 1967, intitulée As I Went Out for a Pee One Morning, fait référence à « Tom » Paine.
ellauri322.html on line 383: Odelsretten er befestet i Grunnlovens § 117: «Odels- og åsetesretten må ikke oppheves.»
ellauri326.html on line 552: Coppée fut le poète populaire et sentimental de Paris et de ses faubourgs, des tableaux de rue intimistes du monde des humbles. Poète de la tristesse à la vue des oiseaux qui meurent en hiver (La Mort des oiseaux), du souvenir d'une première rencontre amoureuse (« Septembre, au ciel léger »), de la nostalgie d'une autre existence (« Je suis un pâle enfant du vieux Paris ») ou de la beauté du crépuscule (« Le crépuscule est triste et doux »), il rencontra un grand succès populaire.
ellauri326.html on line 556: Le Cercles des zutistes, en particulier Verlaine, Rimbaud et Germain Nouveau, multiplie les attaques contre François Coppée, accusé de défendre une littérature paternaliste et familialiste, alors qu'il serait lui-même un «inverti». Les « poètes maudits » de son temps (Verlaine, Rimbaud, Charles Cros) aimaient à pasticher ses dizains.
ellauri330.html on line 211: Мы сами здесь на юге так усердно и так наивно насаждали в городах обрусительные начала, наша печать столько хлопотала здесь о русском театре и распространении русской книги, что мы под конец совершенно потеряли из виду настоящую, осязательную, арифметическую действительность, как она «выглядит» за пределами нашего куриного кругозора. За этими городами колышется сплошное, почти тридцатимиллионное украинское море. Загляните когда-нибудь не только в центр его, в какой нибудь Миргородский или Васильковский уезд: загляните в его окраины, в Харьковскую или Воронежскую губернию, у самой межи, за которой начинается великорусская речь, – и вы поразитесь, до чего нетронутым и беспримесным осталось это сплошное украинское море. Загляните когда-нибудь не только в центр его, в какой нибудь Миргородский или Васильковский уезд: загляните в его окраины, в Харьковскую или Воронежскую губернию, у самой межи, за которой начинается великорусская речь, — и вы поразитесь, до чего нетронутым и беспримесным осталось это сплошное украинское море. Есть на этой меже села, где по ею сторону речки живут «хохлы», по ту сторону — «кацапы». Живут испокон веков рядом и не смешиваются. Каждая сторона говорит по-своему, одевается по-своему, хранит особый свой обычай; женятся только на своих; чуждаются друг друга, не понимают и не ищут взаимного понимания. Съездил бы туда П. Б. Струве, автор теории о «национальных отталкиваниях», прежде чем говорить о единой трансцендентной «общерусской» сущности. Такого выразительного «отталкивания» нет, говорят, даже на польско-литовской или польско- белорусской этнографической границе.(Урок юбилея Шевченко)Me itse täällä etelässä istutimme niin ahkerasti ja niin naiivisti venäläistämisen periaatteita kaupunkeihin, meidän lehdistömme täällä höystyi niin paljon venäläisestä teatterista ja venäläisten kirjojen levittämisestä, että lopulta menetimme täysin silmistämme todellisen, kosketeltavan, aritmeettisen todellisuuden, miltä se "näyttää" kanahorisonttimme ulkopuolella. Näiden kaupunkien takana heiluu jatkuva, lähes kolmenkymmenen miljoonan voimakas Ukrainan meri. Katso jonain päivänä paitsi sen keskustaa, johonkin Mirgorodin tai Vasilkovsky-alueeseen, missä asustivat Ivan Ivanovizh ja Ivan Nikiforovitzh, katso sen laitamille, Harkovin tai Voronežin lääniin, juuri siihen rajaan, jonka jälkeen suuri venäläinen puhe alkaa - ja hämmästyt kuinka koskematonta ja väärentämätöntä se on. Tämä on jatkuva Ukrainan meri. Tällä rajalla on kyliä, joissa "khokholit" asuvat tällä puolella jokea ja "katsapit" asuvat toisella puolella jokea. Muinaisista ajoista lähtien he ovat asuneet vierekkäin eivätkä sekoitu. Kumpikin osapuoli puhuu omalla tavallaan, pukeutuu omalla tavallaan, ylläpitää omaa erityistapaansa; naimisiin vain omiin; vieraannuttaa toisiaan, eivät ymmärrä eivätkä etsi keskinäistä ymmärrystä. P. B. Struve, "kansallisten vastenmielisyyksien" teorian kirjoittaja, vittu menisi sinne ennen kuin puhuu yhdestä transsendenttisesta "kokovenäläisestä" olemuksesta. Sanotaan, ettei sellaista ilmeistä "luotaantyöntävyyttä" ole edes Puolan ja Liettuan tai Puolan ja Valko-Venäjän etnografisella rajalla. (Oppitunti Ševtšenkon vuosipäivänaä)

ellauri331.html on line 142: Yuri Katzman [ru, takuulla jid] loi The Firm's Secretin lokakuussa 2001 Kommersant- kustantajan Money -viikkolehden kuukausiliitteenä. Liitteen oli tarkoitus kattaa kustantajan yhteistyössä Higher School of Economicsin ja Harvard Business Schoolin kanssa pitämät yritysseminaarit. Myöhemmin, kun kustantamo ei enää "tarvinnut" liitettä, Katsman ja hänen kumppaninsa ostivat The Firm's Secretin ja syyskuusta 2002 lähtien lehti ilmestyi aluksi - kahdesti viikossa, sitten - viikoittain. Vuonna 2004 lehden pohjalle perustettiin kustantamo, joka julkaisi myös sanomalehteä Business ( venäjäksi : «Бизнес» ) ja aikakauslehtiä Sinulla on oikeus vairastua ( venäjäksi : «Имеешь право» ) ja Kaikki on selvää ( venäjäksi : « Все ясно» ). Marraskuussa 2005 kustantamo The Firm´s Secret osti verkkosanomalehden Gazeta.ru:n noin 7–10 miljoonalla dollarilla.
ellauri343.html on line 307: Lopuksi Setälä siteerasi Ateenalaisten laulun sanoja "Nuorukaiselle kuolla kuuluu" -säkeestä lähtien loppuun saakka. Joltisenkin tovin jälkeen seppeleet laskivat Karjalan Kansalaisliiton Itä-Karjalan komitea, Karjalainen osakunta, valtioneuvoston Itä-Karjalan toimituskunta, Neuvostoliiton Karjalan autonomisen kansantasavallan edustaja Sergei Lavrov, Repolan Sivistysseura ja Helsingin Suomalaisen Normaalilyseon luokkatoverit. Kappeli kohahti, kun paikalle saapui kenraali Mannerheim seuranaan kenraali Hannes Ignatius ja mustalainen Allan Åkerblom. Mannerheim laski arkulle seppeleen, jonka nauhoista hän luki suomeksi, ruotsiksi ja venäjäksi: "Isänmaalliselle nuorukaiselle, joka kaatui Suomen lipun laskiessa Itä-Karjalassa. Till en fosterländsk yngling som föll när den finska flaggan kom ner I Östra Karelen. «Патриотичному молодому человеку, павшему, когда в Восточной Карелии упал финский флаг."
ellauri345.html on line 424: Roomalaiset voivat kumota tämän kysymyksen suunnitellun lain. Jos ei tunnista sen pakottavaa luonnetta, romaanin ydin jää epäselväksi. Sillä tätä moraalisen äänen hiljaisuutta ei voida ymmärtää yksilöllisyyden piirteenä, kuten tunteiden mykistettyä kieltä. Se ei ole ihmisen rajoissa oleva kohtalo. Tämän hiljaisuuden myötä illuusio on asettunut kuluttavalla tavalla jaloimman olennon sydämeen. Ja tämä muistuttaa oudolla ikääntyessään mielisairaaseen menehtyneen Minna Herzliebin vaikenemista. Kaikki sanaton toiminnan selkeys on ilmeistä ja todellisuudessa itsensä säilyttävien sisäinen minä ei ole yhtä hämärtynyt kuin muiden. Pelkästään päiväkirjassaan Ottilien ihmiselämä näyttää vihdoinkin sekoittuvan. Kaikki heidän kielellisesti lahjakas olemassaolonsa löytyy yhä enemmän näistä hiljaisista kirjoituksista. Mutta he myös rakentavat vain muistomerkkiä jollekulle, joka kuoli. Hänen paljastavansa salaisuudet, jotka kuoleman yksin pitäisi paljastaa, tottunut ajatukseensa poismenosta; ja osoittamalla elävien hiljaisuutta he ennakoivat myös heidän täydellisen hiljaisuutensa. Illuusio, joka hallitsee kirjailijan elämää, tunkeutuu jopa hänen henkiseen, etäiseen tunnelmaan. Sillä jos päiväkirjan vaarana on, että se paljastaa liian aikaisin muistin idut sielusta ja estää sen hedelmien kypsymisen, silloin sen täytyy välttämättä tulla tuhoisaksi siellä, missä vain henkinen elämä ilmaistaan ​​siinä. Ja kuitenkin lopulta kaikki sisäisen olemassaolon voima tulee muistista. Vain hän takaa sielunsa rakkauden. Tämä henkii Goethen muistoa: ”Oi, sinä olit menneitä aikoja Siskoni tai vaimoni." Ja niin kuin sellaisessa liitossa kauneus itse säilyy muistona, niin se on kukkiessaankin merkityksetön ilman sitä. Tästä todistavat Platonin Phaidroksen sanat: "Joka on tuore vihkimisestä ja on yksi niistä joka näki siellä paljon tuonpuoleisessa elämässä, joka nähdessään jumalalliset kasvot, jotka jäljittelevät hyvin kauneutta tai fyysistä muotoa, hämmästyy aluksi, muistaa tuolloin kokemansa ahdistuksen, mutta sitten kun hän lähestyy sitä, hän tunnistaa sen luonteen ja palvo häntä kuin jumalaa, koska muisti on nostettu kauneusajatukseen ja näkee sen seisovan varovaisuuden vieressä pyhällä maalla." Ottilienin olemassaolo ei herätä sellaista muistoa, hänessä kauneus todella jää ensimmäinen ja olennainen asia. Kaikki heidän myönteinen "vaikutelmansa" syntyy vain ulkonäöstä; Lukuisista päiväkirjasivuista huolimatta hänen sisäinen olemuksensa pysyy suljettuna, suljempana kuin mikään Heinrich von Kleistin naishahmoista. Tämän näkemyksen myötä Julian Schmidt kohtaa vanhan kritiikin, joka sanoo oudolla varmuudella: "Tämä Ottilie ei ole todellinen runoilijan hengen lapsi, vaan syntinen luomus Mignonin ja vanhan Masaccion tai Giotton kuvan kaksoismuistossa. «. Itse asiassa Ottilienin hahmossa maalaus on ylittänyt eeppisen runouden rajat. Sillä kauneuden esiintyminen olennaisena sisältönä elävässä olennossa on materiaalin eeppisen ympyrän ulkopuolella. Ja silti hän on romaanin keskipisteessä. Sillä ei ole paljoa sanottavaa, jos uskomusta Ottilienin kauneudesta kuvataan perusedellytykseksi romaaniin osallistumiselle. Tämä kauneus ei saa kadota niin kauan kuin hänen maailmansa kestää: arkkua, jossa tyttö lepää, ei suljeta. Tässä teoksessa Goethe siirtyi hyvin kauas kuuluisasta Homeroksen mallista kauneuden eeppiseen esitykseen. Sillä ei ainoastaan ​​Helena vaikuta päättäväisemmältä Pariisin pilkkaamisessaan kuin Ottilie koskaan sanoissaan, vaan ennen kaikkea hänen kauneutensa kuvauksessa Goethe ei noudattanut kuuluisaa sääntöä, joka ilmeni muurilla kokoontuneiden ihailevista puheista. otettiin vanhoilta ihmisiltä. Ne omaleimaiset epiteetit, jotka Ottilielle annetaan, jopa romaanimuodon lakeja vastaan, vain siirtävät hänet pois eeppiseltä tasolta, jolla runoilija hallitsee, ja antavat hänelle vierasta eloisuutta, josta hän ei ole vastuussa. Mitä kauempana hän on Homeroksen Helenistä, sitä lähempänä hän on Goethea. Heidän tavoin hän seisoo epäselvällä viattomuudella ja näennäisen kauneudella heidän tavoin sovittavan kuoleman odotuksessa. Ja kutsuminen liittyy myös hänen ulkonäköönsä. « Ottilienin olemassaolo ei herätä sellaisia ​​muistoja, kauneus on hänessä todellakin ensimmäinen ja olennainen asia. Kaikki heidän myönteinen "vaikutelmansa" syntyy vain ulkonäöstä; Lukuisista päiväkirjasivuista huolimatta hänen sisäinen olemuksensa pysyy suljettuna, suljempana kuin mikään Heinrich von Kleistin naishahmoista. Tämän näkemyksen myötä Julian Schmidt kohtaa vanhan kritiikin, joka sanoo oudolla varmuudella: "Tämä Ottilie ei ole todellinen runoilijan hengen lapsi, vaan syntinen luomus Mignonin ja vanhan Masaccion tai Giotton kuvan kaksoismuistossa. «. Itse asiassa Ottilienin hahmossa maalaus on ylittänyt eeppisen runouden rajat. Sillä kauneuden esiintyminen olennaisena sisältönä elävässä olennossa on materiaalin eeppisen ympyrän ulkopuolella. Ja silti hän on romaanin keskipisteessä. Sillä ei ole paljoa sanottavaa, jos uskomusta Ottilienin kauneudesta kuvataan perusedellytykseksi romaaniin osallistumiselle. Tämä kauneus ei saa kadota niin kauan kuin hänen maailmansa kestää: arkkua, jossa tyttö lepää, ei suljeta. Tässä teoksessa Goethe siirtyi hyvin kauas kuuluisasta Homeroksen mallista kauneuden eeppiseen esitykseen. Sillä ei ainoastaan ​​Helena vaikuta päättäväisemmältä Pariisin pilkkaamisessaan kuin Ottilie koskaan sanoissaan, vaan ennen kaikkea hänen kauneutensa kuvauksessa Goethe ei noudattanut kuuluisaa sääntöä, joka ilmeni muurilla kokoontuneiden ihailevista puheista. otettiin vanhoilta ihmisiltä. Ne omaleimaiset epiteetit, jotka Ottilielle annetaan, jopa romaanimuodon lakeja vastaan, vain siirtävät hänet pois eeppiseltä tasolta, jolla runoilija hallitsee, ja antavat hänelle vierasta eloisuutta, josta hän ei ole vastuussa. Mitä kauempana hän on Homeroksen Helenistä, sitä lähempänä hän on Goethea. Heidän tavoin hän seisoo epäselvällä viattomuudella ja näennäisen kauneudella heidän tavoin sovittavan kuoleman odotuksessa. Ja kutsuminen liittyy myös hänen ulkonäköönsä. « Ottilienin olemassaolo ei herätä sellaisia ​​muistoja, kauneus on hänessä todellakin ensimmäinen ja olennainen asia. Kaikki heidän myönteinen "vaikutelmansa" syntyy vain ulkonäöstä; Lukuisista päiväkirjasivuista huolimatta hänen sisäinen olemuksensa pysyy suljettuna, suljempana kuin mikään Heinrich von Kleistin naishahmoista. Tämän näkemyksen myötä Julian Schmidt kohtaa vanhan kritiikin, joka sanoo oudolla varmuudella: "Tämä Ottilie ei ole todellinen runoilijan hengen lapsi, vaan syntinen luomus Mignonin ja vanhan Masaccion tai Giotton kuvan kaksoismuistossa. «. Itse asiassa Ottilienin hahmossa maalaus on ylittänyt eeppisen runouden rajat. Sillä kauneuden esiintyminen olennaisena sisältönä elävässä olennossa on materiaalin eeppisen ympyrän ulkopuolella. Ja silti hän on romaanin keskipisteessä. Sillä ei ole paljoa sanottavaa, jos uskomusta Ottilienin kauneudesta kuvataan perusedellytykseksi romaaniin osallistumiselle. Tämä kauneus ei saa kadota niin kauan kuin hänen maailmansa kestää: arkkua, jossa tyttö lepää, ei suljeta. Tässä teoksessa Goethe siirtyi hyvin kauas kuuluisasta Homeroksen mallista kauneuden eeppiseen esitykseen. Sillä ei ainoastaan ​​Helena vaikuta päättäväisemmältä Pariisin pilkkaamisessaan kuin Ottilie koskaan sanoissaan, vaan ennen kaikkea hänen kauneutensa kuvauksessa Goethe ei noudattanut kuuluisaa sääntöä, joka ilmeni muurilla kokoontuneiden ihailevista puheista. otettiin vanhoilta ihmisiltä. Ne omaleimaiset epiteetit, jotka Ottilielle annetaan, jopa romaanimuodon lakeja vastaan, vain siirtävät hänet pois eeppiseltä tasolta, jolla runoilija hallitsee, ja antavat hänelle vierasta eloisuutta, josta hän ei ole vastuussa. Mitä kauempana hän on Homeroksen Helenistä, sitä lähempänä hän on Goethea. Heidän tavoin hän seisoo epäselvällä viattomuudella ja näennäisen kauneudella heidän tavoin sovittavan kuoleman odotuksessa. Ja kutsuminen liittyy myös hänen ulkonäköönsä. Sillä ei ole paljoa sanottavaa, jos uskomusta Ottilienin kauneudesta kuvataan perusedellytykseksi romaaniin osallistumiselle. Tämä kauneus ei saa kadota niin kauan kuin hänen maailmansa kestää: arkkua, jossa tyttö lepää, ei suljeta. Tässä teoksessa Goethe siirtyi hyvin kauas kuuluisasta Homeroksen mallista kauneuden eeppiseen esitykseen. Sillä ei ainoastaan ​​Helena vaikuta päättäväisemmältä Pariisin pilkkaamisessaan kuin Ottilie koskaan sanoissaan, vaan ennen kaikkea hänen kauneutensa kuvauksessa Goethe ei noudattanut kuuluisaa sääntöä, joka ilmeni muurilla kokoontuneiden ihailevista puheista. otettiin vanhoilta ihmisiltä. Ne omaleimaiset epiteetit, jotka Ottilielle annetaan, jopa romaanimuodon lakeja vastaan, vain siirtävät hänet pois eeppiseltä tasolta, jolla runoilija hallitsee, ja antavat hänelle vierasta eloisuutta, josta hän ei ole vastuussa. Mitä kauempana hän on Homeroksen Helenistä, sitä lähempänä hän on Goethea. Heidän tavoin hän seisoo epäselvällä viattomuudella ja näennäisen kauneudella heidän tavoin sovittavan kuoleman odotuksessa. Ja kutsuminen liittyy myös hänen ulkonäköönsä. Sillä ei ole paljoa sanottavaa, jos uskomusta Ottilienin kauneudesta kuvataan perusedellytykseksi romaaniin osallistumiselle. Tämä kauneus ei saa kadota niin kauan kuin hänen maailmansa kestää: arkkua, jossa tyttö lepää, ei suljeta. Tässä teoksessa Goethe siirtyi hyvin kauas kuuluisasta Homeroksen mallista kauneuden eeppiseen esitykseen. Sillä ei ainoastaan ​​Helena vaikuta päättäväisemmältä Pariisin pilkkaamisessaan kuin Ottilie koskaan sanoissaan, vaan ennen kaikkea hänen kauneutensa kuvauksessa Goethe ei noudattanut kuuluisaa sääntöä, joka ilmeni muurilla kokoontuneiden ihailevista puheista. otettiin vanhoilta ihmisiltä. Ne omaleimaiset epiteetit, jotka Ottilielle annetaan, jopa romaanimuodon lakeja vastaan, vain siirtävät hänet pois eeppiseltä tasolta, jolla runoilija hallitsee, ja antavat hänelle vierasta eloisuutta, josta hän ei ole vastuussa. Mitä kauempana hän on Homeroksen Helenistä, sitä lähempänä hän on Goethea. Heidän tavoin hän seisoo epäselvällä viattomuudella ja näennäisen kauneudella heidän tavoin sovittavan kuoleman odotuksessa. Ja kutsuminen liittyy myös hänen ulkonäköönsä.
ellauri347.html on line 531: Черномы́рдинки — речевые обороты российского политика и государственного деятеля Виктора Степановича Черномырдина, которые стали афоризмами. Иногда встречается такое обозначение для афоризмов Черномырдина, как «черномырди́зм».
ellauri349.html on line 492: Cette fortune familiale disparue avait permis aux trois enfants Aron de mener une vie aisée et de faire de bonnes études. Le frère aîné de Raymond, Adrien Aron (1902-1969), a étudié au lycée Hoche et poursuit par une classe de mathématiques supérieures et une licence en droit[7], mais il était plus attiré par une vie facile et devint un grand joueur de tennis et de bridge et mena une vie de « flambeur », à l'opposé de Raymond et au grand dam de leur père. Avant la naissance d'Adrien, la mère avait accouché d'un enfant mort-né. Après Raymond vint un troisième garçon, Robert Aron, qui obtint une licence en droit et en philosophie, publia une étude sur Descartes et Pascal[Laquelle ?] et après son service militaire entra dans l'administration de la Banque de Paris et des Pays-Bas (devenue en 1982 Paribas, qui fut ensuite rachetée en 2000 par la BNP pour former BNP Paribas), selon certains grâce à Raymond, qui jouait régulièrement au tennis avec son directeur.
ellauri349.html on line 501: Dénonçant pendant les années 1950 et les années 1960 le « conformisme marxisant » de l'intelligentsia française, il devient l'intellectuel de droite de l'époque face à Sartre, qui symbolise l'intellectuel de gauche. Sartre käänsi takkinsa vähän myöhemmin, surkutellen Vietnamista lähteneitä elintasovenepakolaisia. Loppumetreillä Aron ehtii peukuttaa ranupersuja, nekin ovat parempia kuin neljä kommaria hallituxessa. CIA rahoitti sen toimia.
ellauri349.html on line 503: Sosiologeista se ihaili oikeistolaista Max Weberiä. « j'ai lu et relu les livres de Marx depuis 35 ans et rien entendu.«
ellauri349.html on line 507: Lors des évènements de Mai 68, Aron a d'abord un élan de sympathie pour les étudiants révoltés, avant de critiquer les débordements qu'il juge pseudo-révolutionnaires. Sartre, qui soutient le mouvement, étrille violemment son ancien ami : « Je mets ma main à couper qu'Aron ne s'est jamais mis en cause et c'est pour cela qu'il est, à mes yeux, indigne d’être professeur. Il faut, maintenant que la France entière a vu de Gaulle tout nu, que la France entière pût regarder Aron tout nu ». Aron répond calmement à ces attaques, dénonçant des arguments que « même un démagogue de bas étage n'aurait pas utilisés »
ellauri349.html on line 509: Un an avant la mort de Sartre, Aron l'appelle « mon petit camarade ».
ellauri352.html on line 309: Marcel Mauss, né le 10 mai 1872 à Épinal et mort le 11 février 1950 (à 77 ans) à Paris, est généralement considéré comme le « père de l´anthropologie française. Bonesin kolleega. Bonesin asia antropologina oli kysyä minkä sortin kääpiö oli UM:n narrina, muttei se sentään ollut hiänen oikeutensa.
ellauri364.html on line 117: bog »Søren Kierkegaard, En psykiatrisk-psykologisk studie« (1933) har samlet
ellauri364.html on line 129: han har atter begyndt at spytte blod«.
ellauri364.html on line 134: Mutta mixikä Söören perui kihlauxen? Juu se kuuli Sirkan lailla vessapolulla Herran äänen som sagde til ham: »Slip den genstand!« Hvad psykiatere kalder en hørelseshallucination, det har Søren Kierkegaard maattet opfatte som Guds røst, eller omvent. I en bog fortæller Søren Kierkegaard om en unge mand, der blev forelsket i en pige, og hun var hans øjes lyst og hans hjertes begæring. Og han griber efter pigen, og han greb hende, han holdt "den" allerede i sin haand. Da udgik en befaling til ham: Slip denne genstand, din syphilit. Heus puer, digitos e vagina Reginae! Lähde
ellauri365.html on line 41: Ar bomm gallek « feuille de rose » zo un droienn boblek da lavarout anulingus, pa weler ar fraezh evel ur rozenn, « rozenn an avelioù », a zo rod an avelioù e brezhoneg.

ellauri365.html on line 113: "Ole käsivartesi ja mennään kävelylle puistoon", hän sanoi. « Votre bras, et faisons un tour de parc », dit-elle.
ellauri365.html on line 116: "Polku on liian pitkä mennäkseen loppuun asti, « Le chemin est trop long pour aller jusqu’au bout,
ellauri365.html on line 139: "Valo on suotuisa niille, jotka haluavat pysyä viisaina", « La lumière est propice à qui veut rester sage,
ellauri365.html on line 148: Ja en uskaltanut sanoa hänelle: "Rakastan sinua!" » Et moi, je n’osais pas lui dire : « Je vous aime ! »
ellauri365.html on line 167: suostuva suudelma, suljetun silmän "kyllä", Le baiser qui consent, le « oui » d’un œil fermé,
ellauri365.html on line 243: Onkohan Lahden tien huolzika Tuuliruusu saanut nimensä Maupassantin nuoruudentyöstä? Flaubertin ideoima Guyn eka julkaisu koski anilingusta. Une « feuille de rose » est l'expression populaire et imagée désignant un anulingus (L'anus étant la « rose des vents »). Le 31 mai 1877, dans l'atelier du peintre Becker, dans le VIe arrondissement, rue de Fleurus, en
ellauri365.html on line 249: « Ce soir dans un atelier de la rue de Fleurus, le jeune Maupassant fait représenter une pièce obscène de sa composition, intitulée FEUILLE DE ROSE et joué par lui et ses amis. C'est lugubre, ces jeunes hommes travestis en femmes, avec la peinture sur leurs maillots d'un large sexe entrebâillé ; et je ne sais quelle répulsion vous vient involontairement pour ces comédiens s'attouchant et faisant entre eux le simulacre de la gymnastique d'amour. L'ouverture de la pièce, c'est un jeune séminariste qui lave des capotes. Il y a au milieu une danse d'almées sous l'érection d'un phallus monumental et la pièce se termine par une branlade presque nature. Je me demandais de quelle absence de pudeur naturelle il fallait être doué pour mimer cela devant un public, tout en m'efforçant de dissimuler mon dégoût, qui aurait pu paraître singulier de la part de l'auteur de LA FILLE ELISA. Le monstrueux, c'est que le père de l'auteur, le père de Maupassant, assistait à la représentation. Cinq ou six femmes, entre autres la blonde Valtesse, se trouvaient là, mais riant du bout des lèvres par contenance, mais gênées par la trop grande ordure de la chose. Lagier elle-même ne restait pas jusqu'à la fin de la représentation. Le lendemain, Flaubert, parlant de la représentation avec enthousiasme, trouvait, pour la caractériser, la phrase : « Oui, c'est très frais ! » Frais pour cette salauderie, c'est vraiment une trouvaille. »
ellauri365.html on line 576: Truly monumental are the two volumes of The Bagginses of Underhill (1905-07) [The Tree of the Folkungs], Frodo Filbunk and Bilboarvet [The BjäIbo Inheritance], which constitute the trunk and lower branches of «the genealogical tree of the Hobbits»,
ellauri367.html on line 118: Le château Rothschild est un château situé à Boulogne-Billancourt en France dans les Hauts-de-Seine. Il a été construit de 1855 à 1861 dans le style Louis XIV à la demande du banquier James de Rothschild. Il était entouré de jardins « à la française » et « à l'anglaise » sur trente hectares. Le château fut longtemps un lieu de rencontres de la haute société.
ellauri368.html on line 244: Profeetta Habakbukin kirja (Sepher yabakbuk ha-Nabhi) on parodia ilman satiirista motiivia. Joan de Plantevit löysi siitä kabalistisen merkityksen Kanni-nimessä nähtyään Otsia) viittaus juutalaiseen Messiaaseen ja Beerissä pakanamaailmaan. Mutta tämä naivismi jo naurettiin kirjoittanut Bartolocci, joka tunnisti kirjan huumorin*«. Miten Se, kuinka pitkälle kirjoittaja onnistui olemaan humoristinen, on toinen kysymys. Profeettojen kieltä jäljitetään taitavasti, mutta huumori ei ole kovin voimakasta. Juutalaiset, sanoo parodisti, jakaantuivat uskollisuudestaan ​​Vineyardin välillä (Karmi) ja kaivo (Beeri), taitaa olla viittaus siihen hillittömyyttä ja raittiutta. Pullon (Bakbulj) innoittama profeetta lähetettiin kääntämään ihmiset palvomaan viinamäkeä, jonka hän onnistui monien koettelemusten jälkeen saavuttamaan, vihjaten siten, että juutalaiset eivät olleet askeetteja vaan päinvastoin kovia dokuja.
ellauri370.html on line 102: Amalie Gresseth (16) skriver i Aftenposten (einn Schibsted-avis): Er seksualundervisningen i norsk skole god nok? Nei. Vi må lære om kjønnsidentitet og seksualitet, om skeiv sex og at sex ikke kun er penis i vagina eller en blowjob. Det er også penis och tunge i arsle. Jeg har hørt historier om folk som aldri har hatt seksualitetsundervisning. André har bare fått det i form av kondom på dildo og nettbasert undervisning. Er det mangel på laererkompetanse, eller er det for tabubelagt og «flaut»? Karl-Ove Knausgaard var nokk en bra sekslaerer til 13-åringer. (Dette er et ;D-innlegg. Meninger i teksten står for skribentens regning. Innlegg kan sendes inn her.)
ellauri370.html on line 547: Largement ignorées lors de la parution de l’Essai en France, c'est en Allemagne que les théories de Gobineau suscitèrent le plus d'intérêt. Introduites par Richard Wagner dans sa revue Bayreuther Blätter, elles connaissent un certain écho dans les milieux wagnériens, notamment Houston Chamberlain. En France, le crédit dont Gobineau jouissait en Allemagne contribua à son rejet par les nationalistes qui voyaient en lui un avatar du «germanisme», si ce n'est du «pangermanisme».
ellauri370.html on line 549: L'ethnologue Claude Lévi-Strauss estimait de son côté que, dans le système de Gobineau, les races ne sont «pas tellement inégales en valeur absolue que diverses dans leurs aptitudes particulières». LOL. Sopii kyllä olla rasisti (sitähän me ollaan juutalaisetkin), kuha ei antisemitisti. Ranskixet koittaa vielä tänäänkin hikisesti puzata maanmiehestään nazileimaa.
ellauri371.html on line 131: ”Maailman hallitsijan” joukko ja kruunajaiset. Kun valtakuntamme tulee, tsui noin YKSI koulua Gsi I znTlG Ch "o%~a ei voi olla, kaikki" määrätyt erot* D^^V^sh" yhtä lailla vastuussa lain edessä. ™ ™ *se* kuka sosiaalinen järjestelmä, "b"josta muu m _ d ^ goyim, näyttäisi kaikille, että työpaikat" säilyy tietyssä h ™ ^ olemassaolon ympyrässä hankaluuksien aiheuttaman inhimillisen kidutuksen lähde nom se on suunnattu", "^ ^ ruokkia tätä sanaa, inspiroida sitä G ^ 0СЛ0ВІЯМЪ) tietämättömyydessäni olen vihamielinen, kos ep ^ jota hän pitää korkeampana kuin seoi, (pi «s.. kunkin luokan arvot. "..".,. "Pazhda" Sori, ei ole kenttää, täytyy lopettaa.
ellauri373.html on line 512: kutsui toista sionismin "poliittiseksi liitoksi" (nazionalizm-sozializm) tai "Hertzlis'mom", senkin *e«^g5?-. Hän kutsui omaa sionismiaan
ellauri383.html on line 73: Magyaarit filmatisoivat Lupauxen uudestaan 1990: Szürkület (deutsch etwa «Dämmerung», ungarischer Spielfilm von György Fehér).
xxx/ellauri057.html on line 845: A hundred and one years ago, in 1917, Knut Hamsun published what was probably his most influential and at the same time most controversial novel: Markens grøde (translated into English as Growth of the Soil). This story about the colonization of new farmland in northern Norway (Hammarby, luulajansaamexi Hambra, mistä Knupo oli peräsin) by the pioneer Isak and his wife Inger attained immense popularity in Hamsun’s home country and abroad, and earned its author the Nobel Prize in literature. In later years, it has often been criticized for, among other things, postulated parallels to Nazi »blood and soil« ideology, for its racist and colonialist portrayal of the Sami, and for its antagonism towards female self-determination.
xxx/ellauri057.html on line 856: What the novel actually delivers is a narrative of constant progress and growth, without any consideration of potential limits or unintended detrimental side-effects. In Markens grøde, human nature is assumed to create desires that can only be fulfilled through permanent increases in production and consumption, irrespective of any material environmental restraints. In combination with an ideology of human population growth, the novel, instead of conveying »green values«, constitutes a literary expression of precisely the ideas and processes that led to the Great Acceleration and the transition into the Anthropocene.
xxx/ellauri057.html on line 897: Il ecrit sous le titre « Le Péril juif », une série de 17 articles pugnaces, radicalement et fortement antisémites. Simenon méprisait également les grévistes, le mouvement dada, et manifestait un antisocialisme radical à relents populistes, un anticommunisme caustique et un antimaçonnisme de circonstance.
xxx/ellauri057.html on line 913: Début 1938, il loue la villa Agnès, à La Rochelle, avant d’acheter en août 1938 « une simple maison des champs » à Nieul-sur-Mer. Son premier fils, Marc Simenon, y naît en 1939.
xxx/ellauri057.html on line 917: Pendant toute la guerre, entre 1940 et 1945, Simenon continue à vivre en Vendée et en Charente-Maritime, mais cette période, assez mal connue, est sujette à de multiples soupcons. Représentant de l'État belge auprès des Belges réfugiés, il refuse d'aider ceux d'entre eux qui sont juifs. Non seulement son frère fut volontaire auprès de la Waffen-SS Wallonie, mais de plus, selon certaines personnes, lors de cette période cruciale de sa vie et de son œuvre, l'écrivain aurait été un collaborateur, ou doucement dit, un peu "lâche". Il n'est pas revenu en Belgique, afin d'échapper au service militaire), un peu rusé et opportuniste, sans aucun sens de l'histoire avec un grand H. Il a commis d'« énormes imprudences » en écrivant dans des journaux contrôlés par les Allemands, mais Simenon ne dénonce pas, ne s'engage pas, ne fait pas de politique, seulement de la fiction. En fait, les accords qu'il a passés avec la firme cinématographique allemande Continental lui valent quelques tracas à la Libération. En 1944, une dépêche de l'AFP, retrouvée à Poitiers, mentionne sa dénonciation pour « intelligence avec l'ennemi » par « certains villageois vendéens exaspérés par la conduite égoïste de cet écrivain affichant l'opulence de son train de vie, à l'époque des tickets d'alimentation. »
xxx/ellauri057.html on line 943: « Des idées, je n’en ai jamais eu. Je me suis intéressé aux hommes, à l’homme de la rue surtout, j’ai essayé de le comprendre d’une façon fraternelle… Qu'ai-je construit? Au fond, cela ne me regarde pas. »
xxx/ellauri057.html on line 945: En 1974, il quitte Epalinges pour vivre modestement dans la maison rose, avenue des Figuiers à Lausanne, se rapprochant de « l'homme nu » qu'il a toujours cherché à appréhender.
xxx/ellauri075.html on line 68: Лев Исаакович Шварцман родился 31 января (12 февраля) 1866 года в Киеве, в семье крупного фабриканта и купца Исаака Моисеевича Шварцмана (1832—1914) и его жены Анны Григорьевны (урождённой Шрейбер, 25 декабря 1845, Херсон — 13 марта 1934, Париж). Это был второй брак отца. Располагавшееся на Подоле (Киеве) «Товарищество мануфактур Исаак Шварцман» с трёхмиллионным оборотом было известно качеством закупаемой им английской материи. Фирма была основана супругами Шварцман в 1865 году, с 1884 года владела крупнейшим в городе магазином, с 1892 года — филиалом в Кременчуге.
xxx/ellauri075.html on line 106: Dès 1895, paraissent, non signés, ses premiers textes littéraires et philosophiques : « Le Problème de la conscience (à propos de Vladimir Soloviev) » et « Georg Brandes sur Hamlet ». C'est aussi l'année d'une crise morale et d'une dépression nerveuse. L'année suivante, il part en Suisse à Genève pour s'y soigner, travaillant à son premier livre, Shakespeare et son critique Brandès, qui paraît en 1898, à Saint-Pétersbourg chez A. Mendeleïevitch, à compte d'auteur et sous le pseudonyme de Lev Chestov. Le livre passe quasiment inaperçu.
xxx/ellauri075.html on line 110: En 1908, l'entreprise familiale est transformée en société. Il en prend la direction, mais se réserve plus de temps pour son travail personnel. À l'automne paraissent « Les Commencements et les Fins », un recueil d'articles parus en revues entre 1905 et 1907. Il s'installe à Fribourg-en-Brisgau en Allemagne.
xxx/ellauri075.html on line 112: Le 2 mars 1910, il rend visite à Tolstoï à Iasnaïa Poliana. Il s'installe en Suisse à Coppet, villa des Saules, où il demeure jusqu'en juillet 1914. Il travaille à des études sur la philosophie grecque, les mystiques, Luther et des théologiens allemands spécialistes de Luther, Harnack et Denifle. Ce travail aboutit à une première version de Sola Fide (« la foi seule ») qui lui est confisquée à la douane, à son retour en Russie en juillet 1914. Il s'installe à Moscou et commence à rédiger Le Pouvoir des clefs (Potestas Clavium), où il reprend nombre de thèmes abordés dans Sola Fide. En février 1915, il est élu membre de la Société de Psychologie de Moscou qui est un centre d'études religieuses.
xxx/ellauri084.html on line 781: Par ailleurs, Simone Veil, qui siégeait alors au conseil d'administration de l'ORTF, a critiqué la pertinence du documentaire qui, selon elle, ne reflète pas les réalités de cette époque. S'exprimant en 1992 sur France 3, elle a rappelé sa position en indiquant que Le Chagrin et la Pitié « a été très injuste pour les résistants et les Français qui ont sauvé beaucoup d'enfants juifs - beaucoup plus que dans d'autres pays - des voisins qui ont pris un enfant qu'ils ne connaissaient pas, mais aussi les églises ». Elle estime choquant que la ville résistante de Clermont-Ferrand soit présentée comme une ville de collaborateurs.
xxx/ellauri091.html on line 782: Practical work alone, however, did not exhaust the aspirations that gripped Emily Balch. She felt the need both to acquire knowledge and to pass it on to others if she was to achieve more. And so she continued her studies, first in Paris under Levasseur1, the historian of the French working class, and later in Berlin where she studied that branch of economics which has been called a «professor-chair socialism»2. Here she also came in contact with the European labor movement and attended the Socialist Trade Union Congress in 1896.
xxx/ellauri091.html on line 788: To use her own words: «My reaction was above all a feeling that this was a tragic break in the work which to me appeared to be the real task of our time: to construct a more satisfying economic order.» But the impact upon her must have been more powerful than she herself cared to admit, for from the outbreak of the war she devoted all her strength to the work for peace. Or, as Professor Simkhovitch of Columbia4 says: «I have never met anyone who has, as she has done, for decade after decade given every minute of her life to the work for peace between nations.»
xxx/ellauri091.html on line 798: Emily Balch has now reached old age but she remains active to the last, and, as she herself said when being congratulated on her seventy-fifth birthday: «I think I shall live for quite a while yet, for, as my grandfather said, an old woman is as tough as an old owl.» May her words prove to be no less than the truth, for the world cannot boast of many persons of her mettle.
xxx/ellauri127.html on line 236: Despite the cleverness and thickness of literary references of Alfred Appel’s « The Annotated Lolita« , one can’t help thinking the point is missing. Witten miälestä Humbert ei ole kukaan muu kuin Dodgson
xxx/ellauri127.html on line 239: Humbert's first lay Annabelle refers to Egar Allan Poe‘s (1809-1849) poem « Annabel Lee« , and indeed, the beginning of « Lolita » is full of references to this work. This famous American author was in love with Virginia Clemm, a thirteen years old girl. Nabokov was a fervent lepidopterist, a specialist of butterflies. Miten kukaan voi olla polttavasti innostunut voikärpäsistä? Kai kun sen mielestä oli huisin kivaa piikittää perhosten alaruumiita.
xxx/ellauri127.html on line 241: Lewis Carroll (January 27, 1832 – January 14, 1898), whose real name was Charles Lutwidge Dodgson – etymologically, « Lewis » is related to « Lutwidge » and « Carroll » to « Charles » – was a young mathematical lecturer at Christ Church college in Oxford.
xxx/ellauri127.html on line 252: 1952 is a capital year in the novel and the number 52 is omnipresent and thus loaded with a mysterious meaning in the mind of Nabokov, in the context of this novel. It must be a central symbolic element in the Lolita’s riddle. Se oli hyvä vuosi muutenkin. « Pierre Point in Melville Sound » (p.33 TAL) was a reference to « Pierre or the Ambiguities » a Novel by Herman Melville (1819-1891; notice the 19/91) published in 1852. «brun adolescent (…) se tordre-oh Baudelaire! » (p.162 TAL): Charles Baudelaire (1821-1867 was one of the most famous French poet who translated Edgar A. Poe in French). A part of « Le Crépuscule du Matin » (1852). Se tordre tarkoittanee käteenvetoa. Humbert refering to the hunchbacked hoary black groom at the « Enchanted Hunters » Hotel: « Handed over to uncle Tom » (p.118 TAL): « Uncle Tom’s Cabin » by Harriet Beecher Stowe (1811-1896) is from 1852. Ehm… the list is non-negligible.
xxx/ellauri127.html on line 254: The mention (p.289 TAL) of the case abduction and rape of the 11 years old Florence Sally Horner by a 50 years old man. In 1948, the 11-year-old Horner stole a 5-cent notebook from a store in Camden, New Jersey. Frank La Salle, a 50-year-old mechanic, caught her stealing, told her that he was an FBI agent, and threatened to send her to « a place for girls like you« . Then he abducted the girl and spent 21 months traveling with her over different American states and raping her. Florence Horner died in a car accident (p.288 TAL, « a routine highway accident«) near Woodbine, New Jersey, in 1952. It seems clear that the case inspired partly « Lolita » (even though this theme existed long before in Nabokov’s works (see for instance his 1939 work « Volshebnik » (i.e. « The Enchanter« ))).
xxx/ellauri127.html on line 256: Hegel (mentioned in p.259 TAL; he married in 1811 and his sister Christian Luise died in 1832) was fascinated by Goethe (and also by Jean-jacques Rousseau (allusion to him in p. TAL « Jean-jacques Humbert« ) and the French Revolution). Goethe published a « Theory of Colours » concerning the light spectrum (a hint, more about this in the final conclusion part). There are recurrent mentions of Goethe in Freud‘s writings. Schopenhauer cited Goethe’s novel « Wilhelm Meister’s Apprenticeship » as one of the four greatest novels ever written, along with « Tristram Shandy« , « La Nouvelle Heloïse« , and « Don Quixote« .
xxx/ellauri127.html on line 266: Melusiina on nereidi eli merenneito. Seireenit oli merenneitoja. Kaukaa kazottuna ihania mutta läheltä kuin hiiriä joilla on rikkinäinen sateenvarjo kädessä. In Wilhelm Meister’s Journeyman Years, Goethe re-tells the Melusine tale in a short story titled « The New Melusine«. Mä oon siis lukenut sen, vaan enpä enää muistanut. Disneyn Arielilla on se paha puute prinssin kannalta, ezen pyrstö on 1-haarainen. Pedofiili H.C. Andersen ymmärsi nikkaroida siihen lohenpyrstöliitoxen (see fig. 1-3).
xxx/ellauri127.html on line 272: Melusine had been sculpted by Ludwig Michael Schwanthaler who also sculpted a « Nymph of the Rhine« , a « Loreley » and a « Nyx« . 1846 Fertigstellung der Figur „Melusine“ für das Schloss Hohenschwangau. There is also a well known painting, « Die Schöne Melusine » (the Fair Melusine), by Julius Hübner (1806-1882).
xxx/ellauri127.html on line 278: Walter Scott (1771-1832), Scottish author of « The Lady of the Lake » (1810 – it inspired Rossini’s « La Donna Del Lago » (1819)), « Ivanhoe » (1819) also authored « The Minstrelsy of the Scottish Border« , recounting the legend of Melusine.
xxx/ellauri127.html on line 436: L’œuvre littéraire de Prosper Mérimée relève d'« une esthétique du peu », son écriture se caractérisant par la rapidité et l'absence de développements, qui créent une narration efficace et un réalisme fonctionnel adaptés au genre de la nouvelle. Mais ce style a parfois disqualifié les œuvres de Mérimée, auxquelles on a reproché leur manque de relief — « Le paysage était plat comme Mérimée », écrit Victor Hugo.
xxx/ellauri127.html on line 447: Durante un viaje por el sur de España, el narrador (un arqueólogo francés) conoce a Don José Lizarrabengoa, un exmilitar de origen navarro (de Elizondo, en Baztán). Don José le cuenta una historia entretenida: sus amores con Carmen (de Echalar), una gitana sensual que se cruzó por su camino, lo apartó del Ejército y lo arrastró hacia el delito, convirtiéndolo en un bandido. Don José, ciego de amor por Carmen, toleró que estuviera casada con un bandolero llamado «El Tuerto», a cuya banda Don José se unió y con el que colaboró en emboscadas y crímenes hasta que por celos lo desafió y mató en una pelea de cuchillos.
xxx/ellauri128.html on line 116: Jakob Bosshart (* 7. August 1862 im Weiler Stürzikon, Gemeinde Oberembrach, Kanton Zürich; † 18. Februar 1924 in Clavadel, Gemeinde Davos) war ein Schweizer Lehrer und Schriftsteller. Jakob Bosshart war, wie er schrieb, der Sohn «geplagter, aber aufstrebender Bauersleute». Er wuchs auf einem einsamen Hof zwischen dem Töss- und dem Glattal im Zürcher Unterland auf. Nach dem Besuch der Sekundarschule absolvierte er von 1882 bis 1885 das Lehrerbildungsseminar in Küsnacht und wurde für kurze Zeit Lehrer in Deutschland. 1915 musste er aufgrund einer fortgeschrittenen Tuberkulose in ein Sanatorium im Hochtal von Clavadel bei Davos überführt werden, wo er 1924 starb.
xxx/ellauri128.html on line 123: Jacques Chardonne, nom de plume de Jacques Boutelleau, né à Barbezieux le 2 janvier 1884 et mort à La Frette-sur-Seine le 29 mai 1968, était un écrivain français. Aîné charentais de l'écrivain Pierre-Henri Simon, il fait partie du Groupe de Barbezieux avec Geneviève Fauconnier, Henri Fauconnier, Maurice Delamain, Jacques Delamain, Germaine Boutelleau, sans que ce groupe « géographique » partage les mêmes vues. Collaborationniste pendant la guerre, considéré comme un auteur d'extrême droite, il est avec Paul Morand un des pères spirituels de ceux qu'on a appelés « Les Hussards », les écrivains Roger Nimier, Jacques Laurent, Antoine Blondin et Michel Déon.
xxx/ellauri128.html on line 135: C’était, dit Jean-Jacques Rousseau, « un homme droit et adroit ». « Il faisait profession, écrit La Harpe, d’une franchise brusque qui ne déplaisait point […] Soit habitude, soit dessein, il gardait ce ton même dans la louange et l’on peut juger qu’elle n’y perdait pas. Il avait d’ailleurs un fonds de droiture qui le rendait incapable de plier son opinion ni sa liberté à aucun intérêt ni aucune politique ; et cependant ce ne fut point un obstacle à son avancement, parce qu’il n’offensa jamais l’amour-propre des gens de lettres, et qu’il sut intéresser en sa faveur celui des gens en place. » Duclos avait beaucoup d’esprit et une grande liberté de parole ; on cite de lui nombre de mots heureux.
xxx/ellauri128.html on line 138: À l'Académie, il soutint généralement le parti des Philosophes, mais sans en faire partie car les excès de ses membres l’irritaient : « Les grands raisonneurs et les sous-petits raisonneurs de notre siècle, disait-il, en feront et en diront tant qu’ils finiront par m’envoyer à confesse. » Ses relations avec Voltaire furent froides et leur correspondance n’est qu’académique et de politesse. Il n’avait pas de relations avec Diderot, dont on lui reprocha d’avoir fait échouer la candidature à l’Académie. Il se brouilla avec D'Alembert et les deux hommes ne se réconcilièrent jamais entièrement. Généralement, son caractère autoritaire rendit ses relations souvent difficiles avec ses collègues.
xxx/ellauri128.html on line 527: Interprète militaire et officier de liaison auprès du BEF (Corps Expéditionnaire Britannique) en France et en Flandres pendant la Première Guerre mondiale, Maurois écrit en 1918 Les Silences du colonel Bramble, ouvrage qui connaîtra un vif succès tant en France que dans les pays anglo-saxons. Il y traduisit sous le titre Tu seras un homme, mon fils le célèbre poème If de Rudyard Kipling. Cet ouvrage sera suivi des Discours du docteur O´Grady. Les événements de cette guerre lui fournissent son pseudonyme « Maurois », nom d´un village du nord de la France.
xxx/ellauri128.html on line 544: Anouilh a lui-même organisé ses œuvres en séries thématiques, faisant alterner d´abord Pièces roses et Pièces noires. Les premières sont des comédies marquées par la fantaisie comme Le Bal des voleurs (1938) alors que les secondes montrent dans la gravité l´affrontement des « héros » entourés de gens ordinaires en prenant souvent appui sur des mythes comme Eurydice (1941), Antigone (1944) ou Médée (1946).
xxx/ellauri128.html on line 576: Jean Rostand, né le 30 octobre 1894 à Paris (17e arrondissement) et mort le 4 septembre 1977 à Ville-d´Avray (Hauts-de-Seine), était un écrivain, moraliste, biologiste, historien des sciences et académicien français. Très intéressé par les origines de la vie, il étudie la biologie des batraciens (grenouilles, crapauds, tritons et autres), la parthénogenèse, l´action du froid sur les œufs, et promeut de multiples recherches sur l´hérédité. Avec conviction et enthousiasme, il s´efforce de vulgariser la biologie auprès d´un large public (il reçoit en 1959 le prix Kalinga de vulgarisation scientifique) et d´alerter l´opinion sur la gravité et des problèmes humains qu´elle pose. Considérant la biologie comme devant être porteuse d´une morale, il met en garde contre les dangers qui menacent les humains lorsqu´ils jouent aux apprentis sorciers, comme les tenants de l´eugénisme. Toutefois, Rostand soutient une forme d´« eugénisme 'positif' », approuvant certains écrits d´Alexis Carrel et la stérilisation des personnes atteintes de certaines formes graves de maladies mentales, ce qui fut rapproché, après la guerre, de la loi nazie de 1933, et lui fut reproché dans un contexte où l´eugénisme est une idéologie encore répandue avec des auteurs comme Julian Huxley, premier directeur de l´UNESCO (1946-1948).
xxx/ellauri128.html on line 604: Il est le promoteur d´un réalisme critique et d´une philosophie de l´être et de l´exister supérieure, d´après lui, aux philosophies de l´Un, du vrai, du bien, de la liberté, de la durée, de l´existence (coupée de l´essence). Le principe fondateur de cette doctrine de l´être est le principe d´identité qui justifie en droit une « raison d´être » intelligible (causalité, finalité). Du principe d´identité découlent toutes les catégories de l´être (essence/existence ; acte/puissance ; substance ; quantité ; qualité ; relation, etc.), d´où l´on déduit l´être même subsistant (Dieu) qu´Heidegger a confondu à tort selon lui avec un existant suprême. Ota tuosta nyt selvää.
xxx/ellauri129.html on line 38: Carl Gustav Jung (* 26. Juli 1875 in Kesswil, Schweiz; † 6. Juni 1961 in Küsnacht/Kanton Zürich), meist kurz C. G. Jung, war ein Schweizer Psychiater und der Begründer der analytischen Psychologie. Carl Gustav Jung wurde 1875 in einem Dorf am Schweizer Ufer des Bodensees geboren. Carl Gustav Jung war der zweite Sohn des reformierten Pfarrers Johann Paul Achilles Jung (1842–1896) und seiner Frau Emilie (1848–1923), Tochter des Basler Antistes Samuel Preiswerk, in Kesswil, Kanton Thurgau. Der gleichnamige Grossvater Karl Gustav Jung (1794–1864) stammte ursprünglich aus Mainz; er emigrierte 1822 nach Basel und wirkte dort bis 1864 als Professor der Medizin, genauer hatte er einen Lehrstuhl für Anatomie, Chirurgie und Geburtshilfe an die Universität Basel inne. Carl Gustav war sechs Monate alt, als sein Vater, ein Bruder des Architekten Ernst Georg Jung, ins Pfarrhaus von Laufen nahe beim Rheinfall umzog. Vier Jahre später zog die Familie nach Kleinhüningen bei Basel, wo sein Vater eine Stelle als Pfarrer in der Dorfkirche Kleinhüningen antrat. Als er neun Jahre alt war, wurde seine Schwester Johanna Gertrud («Trudi») geboren. Nach dem Tod seines Vaters am 28. Januar 1896 musste Jung als junger Student für den Unterhalt seiner Mutter und seiner Schwester sorgen.
xxx/ellauri129.html on line 40: In seiner frühen Studienzeit beschäftigte er sich u. a. mit Spiritismus, einem Gebiet, das damals, wie seine Biografin Deirdre Bair 2005 schrieb, «als mit der Psychiatrie verwandt» angesehen wurde. Sein Interesse für okkulte Phänomene wurde durch zwei unerklärliche parapsychologische Erscheinungen in seinem ersten Studiensemester geweckt: Ein plötzliches Zerreissen eines Tisches und sauberes Zerspringen eines Brotmessers habe er beobachtet.
xxx/ellauri129.html on line 42: Jung spezialisierte sich auf Psychiatrie. Interesse an diesem Gebiet hatte er bereits aufgrund der Aufgaben seines Vaters Paul als Pastor und Konsulent der Psychiatrischen Universitätsklinik Basel (vermutlich von 1886/87 bis zu seinem Lebensende am 28. Januar 1896). Ausschlaggebend für Jungs Entscheidung war die Lektüre von Krafft-Ebings Lehrbuch der Psychiatrie für praktische Ärzte und Studierende, in dem Psychosen als «Krankheiten der Person» beschrieben werden, was für Jung «die beiden Ströme meines Interesses» als «gemeinsame[s] Feld der Erfahrung von biologischen und geistigen Tatsachen» verband. 1900 wurde Jung nach seinem Staatsexamen als Assistent von Eugen Bleuler in der Psychiatrischen Universitätsklinik Zürich in Zürich tätig. Während dieser Zeit entstand aus seinen Beobachtungen von schizophrenen Patienten in 1902 seine Dissertation Zur Psychologie und Pathologie sogenannter occulter Phänomene.
xxx/ellauri129.html on line 44: Die Ergebnisse seiner Assoziationsexperimente, verknüpft mit den Überlegungen von Pierre Janet in Paris und Théodore Flournoy in Genf, brachten Jung zur Annahme der von ihm so genannten «gefühlsbetonten Komplexe». Er sah darin die Bestätigung von Sigmund Freuds Theorie der Verdrängung, die ihm die einzig sinnvolle Erklärung für solche sich autonom verhaltenden, aber dem Bewusstsein schwer zugänglichen Gedankeneinheiten war.
xxx/ellauri129.html on line 46: Bei ihrer ersten Begegnung 1907 in Wien sprachen Freud und Jung dreizehn Stunden miteinander, wobei sowohl sehr ähnliche Interessen als auch bereits Differenzen sichtbar wurden: Freud habe Jung gebeten, «nie die Sexualtheorie aufzugeben». Ein früher Konfliktpunkt war ihre unterschiedliche Einstellung zu Religion und zum Irrationalen: Jung nahm sogenannte parapsychologische Phänomene ernst, während Freud diese «als Unsinn» ablehnte, selbst als sich nach Schilderung Jungs ein solches Phänomen (ein wiederholter Knall im Bücherschrank) am gemeinsamen Abend ereignet haben soll. Jung war enttäuscht über die Reaktion Freuds und schrieb sie dessen «materialistischem Vorurteil» zu. Freud schätzte es, dass Jung sich als «Christ und Pastorensohn» seiner Theorie anschloss. Erst Jungs «Auftreten [habe] die Psychoanalyse der Gefahr entzogen … eine jüdische nationale Angelegenheit zu werden», schrieb er in einem privaten Brief 1908. Freud sah in Jung den Stammhalter und Fortführer der Psychoanalyse und bezeichnete ihn als «Kronprinzen».
xxx/ellauri129.html on line 48: Doch allmählich traten die Differenzen zwischen beiden deutlicher hervor. Ende 1912 führte dies zum Bruch, nachdem Jung sein Buch Wandlungen und Symbole der Libido publiziert hatte. Er kritisierte darin Freuds Libidobegriff, «der von der vorrangigen Bedeutung des Geschlechtstriebes ausging, welche aus der Kindheit des jeweiligen Individuums herrühre», während er der Auffassung war, «dass die Definition erweitert werden, der Libidobegriff ausgedehnt werden müsse, sodass auch universelle Verhaltensmuster, die vielen unterschiedlichen Kulturen in unterschiedlichen geschichtlichen Perioden gemein waren, von ihm erfasst würden». Freud erklärte daraufhin, «dass er die Arbeiten und Ausführungen der Schweizer nicht als legitime Fortsetzung der Psychoanalyse ansehen könne».
xxx/ellauri129.html on line 52: Jungin "peetee" Antonia Wolff (1888–1953, genannt «Toni») oli sen wichtigste Mitarbeiterin und Geliebte, Kallen Zweitfrau, joka roikkui Kallen sepaluxessa eikä hellittänyt (ei Emmakaan (1885-1955), jonka kanssa Kallella oli liuta lapsia ja joka kirjoitti puhtaaxi sen paasauxet). Ihre bekannteste Veröffentlichung war ein Essay über die vier «Typen» oder Aspekte der weiblichen Psyche: die Amazone, die Mutter, die Hetaira und die Mediale Frau. Jungista tuli AÄGP:n arkkiterapeutti Kretschmerin luovuttua leikistä. Jung ei ollut ize ilminazi mutta (varmaan Freudille vielä kiukkuisena) puhui Deutsche Geististä ja JudenArzteista. Wotanin arkkityyppi ei Jungin mukaan siedä koukkunokkia. Jungin keikkuminen naziaidalla ei onnistunut: "Ich bin ausgerutscht", se sanoi jälkeenpäin. Emma veti pitemmän korren kuin Nummer 2, joka ehti kuolla 3v ennemmin vaikka oli 3v nuorempi. Mutta Kalle ize eli vielä pitkään molempien kuoltua! Aika juurakko.
xxx/ellauri129.html on line 68: extravertiertes Denken orientiert sich stark an objektiven und äusseren Gegebenheiten und ist oft, aber nicht immer an konkrete und reale Tatsachen gebunden. Personen mit diesem Typus haben ein hohes Rechtsbewusstsein und fordern gleiches von anderen. Dabei gehen sie teilweise kompromisslos vor, nach dem Motto «Der Zweck heiligt die Mittel»; eine konservative Neigung ist gegeben. Aufgrund der untergeordneten Gefühlsfunktion wirken sie oftmals gefühlsarm und unpersönlich.
xxx/ellauri129.html on line 601: Elle est renommée pour sa traduction en français des Principia Mathematica de Newton, qui fait encore autorité aujourd'hui. Elle a aussi contribué à diffuser en France l'œuvre physique de Leibniz, notamment en prouvant expérimentalement sa théorie selon laquelle l'énergie cinétique (appelée à l'époque « force vive ») est proportionnelle à la masse et au carré de la vitesse.
xxx/ellauri129.html on line 617: Son ami le journaliste Maurice de Waleffe (1874-1946) témoigne que, dès son arrivée à Paris, en 1897, il projetait, pour mieux s'intégrer à la société parisienne, de demander sa naturalisation, de changer de nom et de se faire baptiser et que le nom de Croisset était pour lui « le nom du village d'où Gustave Flaubert datait les volumes de sa correspondance1 ». En 1911, il obtint du Conseil d'État le changement de son nom pour celui de Wiener de Croisset. Francis de Croisset recherche le scandale avec des comédies d’une audace calculée, et devient, par son œuvre mais aussi par sa vie privée, omniprésent dans la presse du temps.
xxx/ellauri129.html on line 638: Son mari, Albert Dardenne de la Grangerie, était fameux journaliste, rédacteur entres autres du Figaro et du Messager du Midi. Marguerite de la Grangerie fut avec son mari très liée au couple Gautier, Judith et Théophile. Elle était la petite-fille du duc de Persigny, propriétaire du chateau de Chamarande ou Théo séjourna en 1866. Ce dernier lui dédiera d’ailleurs deux sonnets dont « les poètes chinois… ». Usant de plusieurs pseudonymes tels que Philippe Gerfaut et Marie-Alix de Valtine, elle est l’auteur entre autres du roman Le passé de Claudie (1884), des Pensées d’un sceptique (1886) et de Belle et bonne histoire d’une grande fillette (Prix Lambert en 1890). Superbe exemplaire dans une reliure mosaïquée parfaitement établi par Louis Pouillet. Petites taches pâles sur le plat supérieur‎. Gerfaut puuttuu Vaakun hakemistosta.
xxx/ellauri129.html on line 689: « J´te vas chiper ta braguette. Mäpä vien sulta kalukukkaron,
xxx/ellauri130.html on line 564: Delphin-Antoine-Edmond Thiaudière, né le 17 mars 1837 à Gençay, où il est mort le 9 novembre 1930, est un homme de lettres français, à la fois poète, romancier, philosophe et « maximiste ». Issu d’une famille de médecins depuis quatre générations, Edmond Thiaudière, opte pour une carrière d’homme de lettres après s’être détourné de ses études de droit brillamment menées à Poitiers. Il s’essaie au roman, aux nouvelles, à la poésie, au théâtre, écrit des essais politiques et autres pamphlets, mais il se distingue surtout par son œuvre philosophique, parsemant sur quarante années une douzaine de recueils aux titres sibyllins, avec le sous-titre générique Notes d’un Pessimiste. Son premier recueil de pensées, La Proie du Néant, qu’il publie en 1886, contient en préambule une longue dédicace adressée à Léa et Mosès, ses deux chiens fidèles.
xxx/ellauri130.html on line 767: Paul Claudel, né le 6 août 1868 à Villeneuve-sur-Fère (Aisne), et mort le 23 février 1955 à Paris, est un dramaturge, poète, essayiste et diplomate français, membre de l´Académie française. Il est le frère de la sculptrice Camille Claudel. Paul est le frère cadet de Louise Claudel, pianiste, née en 1866, et de la sculptrice Camille Claudel, laquelle réalisera en 1884 son buste « en jeune Romain »
xxx/ellauri130.html on line 776: Pendant la guerre d’Espagne, Claudel apporta son soutien aux franquistes. Devant la Seconde Guerre mondiale, Claudel est initialement peu convaincu par le danger que représente l'Allemagne nazie. Il s'inquiète davantage de la puissante Russie, qui représente selon lui une « infâme canaille communiste ». Claudel expliqua ses flatteries à Pétain par l'approbation d'une partie de sa politique (lutte contre l'alcoolisme, appui aux écoles libres). Il est meilleures amis avec Francois Mauriac.
xxx/ellauri139.html on line 236: "Jo kauan minua on vaivannut eräs ajatus, kirjoittaa Dostojevski, mutta olen pelännyt tehdä siitä romaania, sillä ajatus on liian vaikea - enkä ole ollut siihen valmistautunut, vaikka ajatus on kovin viehättävä ja minä pidän siitä. Tämä idea on luoda täysin erinomainen apina. En voi kuvitella sen vaikeampaa tehtävää, erityisesti meidän aikanamme... tämä ajatus on vähäinen joissakin taiteellisissa suhteissa, mutta vain muutamissa, mutta sellainen on kuitenkin täysin tarpeellinen. Vain epätoivoinen tilanteeni on pakottanut minut käymään käsiksi tähän sietämättömään ajatukseen. Otin riskin kuin ruletissa: "ehkä" se kynän alla aukeaa!" («Kirjeet», osa. II, s. 61).
xxx/ellauri139.html on line 263: "(Ruhtinaan,— Г. Ф.) tärkein sosiaalinen vakaumus on, että talousoppi yxityisomaisuuden haitallisuudesta on tyhmyys. Ja että kaikki, päin vastoin, perustuu yxityistämiseen. kirjoittaa Dostojevski luonnoksissaan romaania varten («Из архива Ф.М. Достоевского. Идиот. Неизданные материалы», М.— Л. 1931, s. 108). Vallankumoukselliset demokraatit osoittivat että yhteiskunnan pelastaa vain yhteisomistus, ei filantroopit, vaan kansanjoukkojen vallankumouksellinen taistelu. Dostojevskin paska sensijaan kuzuu apinan uudelleenkasvatukseen uskonnollisten ja kristillisten ideaalien hengessä. Hän pyllistää vallankumouksen tielle ja taistelukeinoille. Hän on paha vanha konservipurkki. No sixhä sitä jenkit juuri peukuttavat!
xxx/ellauri139.html on line 894: « A tes yeux jauniront encore ; Lehdistö kuihtuu ihan silmissä,
xxx/ellauri139.html on line 895: « Mais c’est pour la dernière fois. Muze on sulle laitimmainen kerta.
xxx/ellauri139.html on line 896: « L’éternel cyprès se balance ; Ikuinen sypressi tasapainoilee
xxx/ellauri139.html on line 897: « Déjà sur ta tête en silence Jo sun pään päällä hiljaisuudessa,
xxx/ellauri139.html on line 898: « Il incline ses longs rameaux : Sen pitkät oxat kallistuu, sun nuoruus
xxx/ellauri139.html on line 899: « Ta jeunesse sera flétrie paukahtaa edulliseen syyshintaan,
xxx/ellauri139.html on line 900: « Avant l’herbe de la prairie, Kuihtuu ennen aavaa preeriaa,
xxx/ellauri139.html on line 901: « Avant le pampre des coteaux. « Ennenkö viiniköynnös ahteessa.
xxx/ellauri139.html on line 914: Mon ombre un instant consolée. « Mun varjo siitä piristymään."
xxx/ellauri139.html on line 1022: Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château et mort le 16 novembre 1780 à Paris, est un poète lorrain francophone. Son père, maire de Fontenoy-le-Château, propriétaire de deux fermes, y exerce le métier de marchand de grains. Son éducation est confiée au curé du village, un jésuite qui, voyant en lui « un esprit apte à être éduqué », lui apprend le latin. Puis le jeune Nicolas part faire ses humanités au collège de l'Arc à Dole. Après 1770, il part pour Paris, avec en poche ses premiers vers, ainsi qu’une lettre, signée de Mme de La Verpillière, femme du prévôt des marchands de Lyon et mécène. Cette lettre recommande le jeune poète à D’Alembert. Il semble que D’Alembert, lui ayant promis une place de précepteur, n’honore pas cette espérance, et le reçoit d’ailleurs assez froidement. Gilbert s'en souviendra quand il composera sa satire du Dix-huitième siècle :
xxx/ellauri139.html on line 1030: En 1775 paraît sa première pièce majeure Le Dix-huitième siècle. C’est une satire en vers qui donne la caricature de son temps ; la philosophie y est le principe de la « chute des arts », de la « perte des mœurs ». Tout y est matière à charge : la bourgeoisie, la noblesse, le clergé libertin ; la littérature du moment y est passée au peigne fin. Des généralités sociales, on passe bientôt aux attaques ad hominem ; à la fin de la satire, du reste, le nom honni paraît enfin : Voltaire. Le Dix-huitième siècle est véritablement à sa parution, et pour reprendre le mot de Huysmans, « un météore dans le champ littéraire » de l’époque. Il n'est pas de bon ton, La critique se dechaine.
xxx/ellauri139.html on line 1037: Eise mitään kuollut köyhänä ja kirottuna, vaan mukavasti eläkkeellä, ja testamenttas vielä loput rahat Bernadottelle. Elämälle heippa, sain siltä paljon. Sensijaan Thomas Chatterton, joka oli se Rowleyhuijari joka mainittiin Keazin yhteydessä kai, kuoli nälkäisenä arsenikkiin 17-vuotiaana. Thomas Chatterton, né le 20 novembre 1752 à Bristol et mort le 24 août 1770 à Holborn, est un poète et mystificateur anglais. Ayant attribué ses œuvres à un moine médiéval du nom de « Rowley », il fut accusé à tort d’être un faussaire par certains de ses contemporains les plus influents. Il est reconnu comme un poète de talent, malgré sa mort à l'âge de 17 ans, ayant préféré se suicider à l’arsenic plutôt que de mourir de faim, devenant ainsi pour les romantiques le symbole de l’homme de génie non reconnu.
xxx/ellauri139.html on line 1146: Manfred est un drame en vers de George Gordon Byron, dit Lord Byron, publié en 1817. Bourrelé de remords après avoir tué celle qu'il aimait, Manfred vit seul comme un maudit au cœur des Alpes. Il invoque les esprits de l'univers, et ceux-ci lui offrent tout, excepté la seule chose qu'il désire, l'oubli. Il essaie alors, mais en vain, de se jeter du haut d'un pic élevé. Il visite ensuite la demeure d'Ahriam, mais refuse de se soumettre aux esprits du mal, leur enjoignant d'évoquer les morts. Enfin lui apparaît Astarté, la femme qu'il a aimée puis tuée par son étreinte (« My embrace was fatal... I loved her and destroy'd her »). Répondant à son invocation, Astarté lui annonce sa mort pour le lendemain. Au moment prédit apparaissent des démons pour s'emparer de lui, mais Manfred leur dénie tout pouvoir sur sa personne. Pourtant, à peine sont-ils apparus qu'il meurt. La situation de Manfred deviendra l'un des poncifs favoris composant le portrait de l'homme fatal du romantisme. Cette pièce s'inspire, pense-t-on[Qui ?], dans son plan, du Faust de Goethe et selon certains, contiendrait une allusion du poète à sa demi-sœur Augusta Leigh. Sitäkin se dodennäköisesti bylsähti.
xxx/ellauri139.html on line 1150: Le poète Charles Baudelaire a appelé Lacenaire « un des héros de la vie moderne ».
xxx/ellauri148.html on line 499: Moscow, Russia. The Russian Philosophical Society and the National University of Science and Technologies «MISiS» will host no less than 3 colorful events.

xxx/ellauri154.html on line 142: Saint-Denis, le plus célèbre des saints « céphalophores », est souvent représenté portant sa tête, iconographie fréquente des martyrs décapités. Selon d'anciens récits, le saint se serait relevé, aurait ramassé sa tête, et aurait marché jusqu'au lieu de sa sépulture. Outre la tête coupée, il est reconnaissable grâce à ses attributs, la mitre et les chaînes. La façade de la cathédrale Notre-Dame de Paris en offre un exemple sur le piédroit du Portail de la Vierge.
xxx/ellauri165.html on line 467: «Lo sconvolgimento che Teorema provoca non è affatto di tipo sessuale, è essenzialmente ideologico e mistico. Trattandosi incontestabilmente di un'opera d'arte, Teorema non può essere sospettato di oscenità.»
xxx/ellauri165.html on line 558: Questa nuova «forma di vita» attirò anche le donne: la prima fu Chiara Scifi, figlia del nobile assisiate Favarone di Offreduccio degli Scifi.
xxx/ellauri167.html on line 127: I’ cominciai: «Poeta, volontieri Aloitin: "Runoseppo, mieluusti
xxx/ellauri167.html on line 130: Ed elli a me: «Vedrai quando saranno Ja hän mulle: "Älä hemmetissä pyllistä,
xxx/ellauri167.html on line 134: mossi la voce: «O anime affannate, sanoixi virkin: "Hei väsähtäneet sielut,
xxx/ellauri167.html on line 142: «O animal grazïoso e benigno "Oi elukka viehkeä ja hyvänlaatuinen
xxx/ellauri170.html on line 1005: »Vi kan aldrig komme til bunds i diskussionen om, hvorvidt der er en skaber eller ej. Det handler udelukkende om tro. Hvis man vælger at mene, at universet og livet skyldes guddommelig indgriben, så er det altså ikke mere end et trospørgsmål. Det kan naturvidenskaben selvsagt vanskeligt hamle op med. Selv hvis videnskaben finder naturligt bevis for universets opståen, vil intelligent design-fortalere altid kunne træde et skridt længere bagud og pege på en skaber som årsagen.«
xxx/ellauri173.html on line 52: Cet ouvrage est également celui qui, le premier, a utilisé le mot « androïde » dans son acception actuelle.
xxx/ellauri173.html on line 56: Lord Ewald tombe amoureux d'une actrice de théâtre, très belle mais à l'esprit trop quelconque à son goût. Afin de remplacer cette femme avec son cœur de jeune homme, l'ingénieur Thomas Alva Edison lui propose son androide. C’est lui qui le désigna sous de fantastiques surnoms ― tels que le « Magicien du siècle, le Sorcier de Menlo Park, le papa du Phonographe ». Löysäpukuinen ja isokenkäinen pellekexijä joka kaikkien vahingoxi teki käsimusaviihteestä tosi ison numeron. Sen hehkulamppu wolframlankoineen on nyt historiaa.
xxx/ellauri173.html on line 64: ― « Le jardin était taillé comme une belle femme Étendue et sommeillant voluptueusement.« Vizi näillä 19. vuosisadan käsimiehillä on paljon näitä belle femmejä etendues voluptueusement. Se on niillä ihan tavaramerkkinä. Merkkitavaraa.
xxx/ellauri173.html on line 79: Je sens bien qu’il faut que j’invente un instrument qui répète avant même qu’on ait parlé, ― ou qui, si l’expérimentateur lui souffle : « Bonjour, monsieur ! » réponde : « Merci, comment vous portez-vous ? » Ou qui, s’il arrive qu’un oisif éternue dans l’auditoire, lui crie : « À vos souhaits ! » ou :« Dieu vous bénisse ! » etc.
xxx/ellauri173.html on line 87: « Salut, maître ! » (Salëm, rabboni, je crois), du jardin des Oliviers ― et le bruit du baiser de l’Is-Karioth, ― l’Ecce Homo du tragique préfet ! Muisk! Homoerotiikkaa. Vähän vittuilua suupielestä Andre Dupinille jolta epäonnistui työläisten vallankumous 1848.
xxx/ellauri173.html on line 89: Toujours est-il qu’il a permis seulement qu’on imprimât son Évangile, et non qu’on le phonographiât. Cependant, au lieu de dire : « Lisez les Saintes Écritures ! » on eût dit : « Écoutez les Vibrations Sacrées ! » ― Enfin, il est trop tard… Par contre, trop tot! Nythän se jo löytyy äänikirjana varmaan jonkun baptistijuhon lukemana.
xxx/ellauri173.html on line 200: Il sortait de son aspect cette impression que la plupart des femmes devaient, à sa vue, se sentir comme devant l’un de leurs plus séduisants dieux. Muze oli suruinen, koska sen panopuu oli muuten hyvä mutta huonoluonteinen. Adjustoiden lornjettiaan tai kenties monokkeliaan se sanoi: Comme le dit Wieland, en son Peregrinus Protée : « Il n’y a point de hasard : nous devions nous rencontrer ― et nous nous sommes rencontrés.»
xxx/ellauri173.html on line 280: Deux chercheurs, nous dit Y. Coppens, qui épiaient à travers le trou d’une serrure (sic) le comportement d’un chimpanzé qu’ils avaient enfermé avec un régime de banane pendu au plafond et avec des moyens de l’atteindre pourvu qu’un minimum de réflexion fût mis en œuvre par l’animal, furent surpris de ne voir… que l’œil du singe qui, tout comme eux, regardait à travers ce trou. «
xxx/ellauri173.html on line 282: Jamais démonstration n’avait été si convaincante ! », écrit Y. Coppens, en ce sens que cette expérience, conçue pour montrer « s’il en était besoin » que le chimpanzé est intelligent.
xxx/ellauri173.html on line 325: N’est-ce pas Hégel qui a dit : « Il faut comprendre l’inintelligible comme tel ? » Credo quia absurdumko taas?
xxx/ellauri174.html on line 531: – Siirrytään nyt tasapainokysymykseen. Se tarjoaa kaksi näkökohtaa: Lateral Balance ja Circular Balance. Tiedätkö, fysiikassa kolme tasapainoa: vakaa, epävakaa ja välinpitämätön: niiden yhtenäisyys ylläpitää androidin liikkuvuutta. Näet, että Hadalyn kaataminen vaatisi voimakkaamman työnnön kuin meiltä, ​​ellet kuitenkaan halua hänen vain putoavan! Lankeemus on A-OK, mutta siihen riittää työntö pienempikin. Tän tasapainokysymyxen on Googlen potkaistava koira tyydyttävästi ratkassut, joten hypätään sen yli. « Viisas ei naura kuin täristen. » (Sananlaskut)
xxx/ellauri175.html on line 47: « Pourquoi pas ? »

xxx/ellauri175.html on line 373: « Työläisellä joka ei puske töitä 24/7 ei ole mitään asiaa mun firmaan. » (EDISON)
xxx/ellauri178.html on line 288: L'enfant y est heureux, bon élève et enfant de chœur, mais réservé et taciturne. De cette époque remontent les premiers émois masculins de Genet, en la personne du petit Lou Culafroy — qui deviendra plus tard « Divine », héros et ensuite héroïne de Notre-Dame-des-Fleurs — ainsi que d’hommes plus âgés, braconniers de passage ou marginaux égarés. Il obtient la meilleure note de sa commune au certificat d'études primaires.
xxx/ellauri178.html on line 364: Perettä sillä ei siis ollut, notta aika turhanaikainen oli koko mies. Oliko sillä muita potilaita kuin se ize? Sen viimeiset sanat olivat "Ich sterbe". Oikeaan osui prognoosi. Äs eivät olleetkaan viimeiset, se ehti vielä sanoa: «Давно я не пил шампанского…». No, minä...
xxx/ellauri179.html on line 1024: En tauromaquia, la verónica es un lance o suerte fundamental que se efectúa sujetando el capote con las dos manos. Su «invención» (más bien su fijación) se atribuye a Costillares.
xxx/ellauri186.html on line 351: Un autre témoin décrit la suite : « Sa colonne l'avait à moitié franchi lorsqu'un feu de flanc la fit rétrograder. Les grenadiers enlevèrent Bonaparte et l'entrainèrent, il fut précipité dans un marais où il enfonça jusqu'à mi-corps.
xxx/ellauri193.html on line 206: Era marito di prime nozze di Francesca da Polenta, immortalata nei versi di Dante (Inferno, Canto V). Si racconta che la sua morte sarebbe avvenuta nel castello di Scorticata (odierna Torriana) per mano del nipote Uberto, figlio del fratello Paolo, che egli aveva ucciso, insieme alla propria consorte Francesca, che era divenuta l'amante del cognato. Tuttavia nel 1304 Gianciotto era stato nuovamente designato podestà di Pesaro, ragion per cui si ritiene che morì in questa città. Gianciotto sposò in seconde nozze Zambrasina dei Zambrasi di Faenza, dalla quale ebbe cinque figli. Eli ihan kivasti meni sitten Zoppolla vaikka klenkaten. Mutta entäs loppupeleissä? Kostonhimoinen Francesca sanoo siipasta et Kainin orsilla tavataan: « Caïne attend celui qui nous meurtrit ». Dante situe la Caïne dans la première zone du lac du Cocyte, au plus profond du neuvième cercle de l'Enfer. Là sont punis, pris dans la glace jusqu'au cou, les traîtres à leurs proches. Il donne à ce lieu le nom de Caïn qui tua son frère Abel après l'avoir trahi.
xxx/ellauri202.html on line 208: « Je voudrais surtout ressusciter l'atmosphère du temps. L'agitation pacifiste internationale, autour de Jacques ; la vie bourgeoise, autour d'Antoine », écrit l'auteur à son collegue homophile et ami André Gide en 1933: dès lors « on passe de la fresque sociale à la fresque historique».
xxx/ellauri202.html on line 224: Anan ekassa kirjassa Sylvestre Bonnard, membre de l’Institut, est un historien et un philologue, doté d’une érudition non dénuée d’ironie : « Savoir n’est rien – dit-il un jour – imaginer est tout. »
xxx/ellauri225.html on line 279: Cette construction littéraire a été décrite pour la première fois par le linguiste Adolf Tobler, en 1887. Il l´a découverte en étudiant les écrits de Zola et Flaubert. Un autre linguiste, Charles Bally, lui donna en 1912 un nom et l´appela « style indirect libre », et ce n´est que plus tard, que peu à peu, style devint discours, car cette forme vise à restituer une parole, et est donc plus proche du discours que du style.
xxx/ellauri231.html on line 501: «Воротись, я сроднился с тобой!» "Takaisin, olen tottunut puunaamaasi!"
xxx/ellauri237.html on line 843: Neruda construyó una casa en Santiago llamada «La Chascona» (que en argot chileno significa 'despeinada', kampaamaton) en honor a Urrutia, que sirvió como refugio amoroso para ambos —puesto que la noticia de que Neruda tenía un amorío no hubiera sido bien recibida en el público chileno—. En esta casa existe una pintura, hecha por el artista mexicano Diego Rivera, que presenta a Matilde con dos caras y su famoso y largo pelo rojo. Se dice que en la pintura una de las caras representa a la Urrutia cantante que todos conocían y la otra, a la amante de Neruda. En su pelo se esconde la pértiga de Neruda, representando su relación secreta.
xxx/ellauri239.html on line 421: Pour Proudhon, la seule source légitime de la propriété est le travail. Ce que chacun produit est sa propriété et celle de nul autre. Considéré comme un socialiste libertaire, Proudhon refuse la possession capitaliste des moyens de production. De même, il rejette la possession des produits du travail par la société, estimant que « la propriété du produit, quand même elle serait accordée, n'emporte pas la propriété de l'instrument. Le droit au produit est exclusif, jus in re ; le droit à l'instrument est commun, jus ad rem.». Pour Proudhon, seule la propriété coopérative, gérée en autogestion par les producteurs librement associés, permet le développement des individualités: c'est le mutuellisme.
xxx/ellauri250.html on line 320: «Fysiske smerter er ikke det verste for et menneske å leve med,» sa Altman. «Tro meg, jeg ser det daglig. Ikke døden, heller. Ikke engang frykten for døden.» «Hva er det verste da?» «Ydmykelse. A fratas ære og verdighet. Å avkles, å støtes ut av flokken. Det er den verste straffen, det er å begrave et menneske levende. Og den eneste trøsten er at vedkommende vil gå relativt raskt til grunne.» Mitä vittua? Tyypillistä termiittiapinoiden meemiä. Kaikkein nolointa on olla pyllysilteen porukoiden edessa, kun ne nauravat.
xxx/ellauri250.html on line 822: Mannen under hyllen var Bent Nordbø. Han hadde John Gielguds arrogante oppsyn, John Majors panoramabriller og Larry Kings bukseseler. Og han leste i en ekte papiravis. Roger hadde hørt at Nordbø kun leste New York Times, The Financial Times, The Guardian, China Daily, Süddeutsche Zeitung, El País og Le Monde, men at de leste han til gjengjeld hver dag. Han kunne dog finne på å bla i Pravda og slovenske Dnevnik, men han hevdet at «østeuropeiske språk er så tunge for øyet.
xxx/ellauri250.html on line 888: Trump blir latterliggjort etter «stor kunngjøring»
xxx/ellauri250.html on line 900: «Alt i Afrika er syklus,» fortsatte Tony. «Regntid og tørke, natt og dag, spise og å bli spist, leve og å dø. Naturens gang er alt, ingenting kan forandres, svøm med strømmen, overlev så lenge du kan, ta det som tilbys, det er alt du kan gjøre. For dine forfedres liv er ditt liv, du kan ikke gjøre noen forandring, utvikling er ikke mulig. Det er ikke afrikansk filosofi, bare generasjonenes erfaring. Og det er erfaringen vi må forandre. Det er erfaringen som forandrer tankesettet, ikke omvendt.» «Og hvis erfaringen er at hvite mennesker utbytter dem?» sa Kaja.
xxx/ellauri250.html on line 902: «Ideen om utbytting er plantet av hvite mennesker,» sa Tony. Men begrepet har vist seg nyttig for afrikanske ledere som trenger å peke på en felles fiende for å samle folket bak seg. Helt fra avviklingen av kolonistyrene på sekstitallet har de brukt de hvites skyldfølelse til å skaffe seg selv makt så den virkelige utbyttingen av folket kunne begynne. Den hvites skyldfølelse for å kolonisere Afrika er patetisk. Den virkelige forbrytelsen var å overlate afrikaneren til sin egen morderiske og destruktive natur. Tro meg, Kaja, kongolesere flest har aldri hatt det bedre enn under belgierne. Opprørene hadde aldri noe grunnlag i folkets vilje, men i enkeltpersoners maktbegjær. Små grupperinger som stormet belgiernes hus her ved Kivusjøen fordi husene var så fine at de regnet med å finne noe der som de hadde lyst på. Sånn var det, og sånn er det.»
xxx/ellauri251.html on line 51: «Hemingway skrev at når du først har åpnet din sjel for Afrika, vil du ikke noe annet sted.» «Hemingway skrev det?» spurte Harry tvilende. «Ja visst, men Hemingway skrev jo sånt romantisk piss hele tiden. Skjøt løver i fylla og pisset den der søte whiskyurinen på kadaverne. Sannheten er at ingen kommer tilbake til Kongo hvis de ikke må.»
xxx/ellauri255.html on line 411: «In vino veritas!» кричат. Roger Kanin silmin kirkuvat.
xxx/ellauri259.html on line 568: For Tara bliver dagene herefter kopier af den dag, den attende november, som hun allerede har lagret i sin erindring. Thomas derimod føler absolut ingen genkendelse. For hende er det gentagelse, når hun ser ham som »en våd skygge ved hegnet«, hvorimod alting for ham er nyt.
xxx/ellauri259.html on line 572: Tematikken vil for nogle være velkendt fra filmen Groundhog Day (’En ny dag truer’, 1993) eller muligvis fra Svend Åge Madsens kierkegaardske thriller Lad tiden gå (1986), men hos Solvej Balle tvistes eksperimentet intelligent til »et rationelt delirium« og »en logisk kværnen«, og decideret provokerende er det for læseren at følge, hvordan Tara efterhånden besættes af ønsket om en verden, hvor tiden går, af sin længsel efter at »finde den dør, der fører ud af den attende november«.
xxx/ellauri259.html on line 578: Hvordan, spørger Tara sig selv, kan man eller rettere hun, blive så foruroliget over det usandsynlige – når vi nu ved, »at hele vores eksistens hviler på mærkværdigheder og usandsynlige sammentræf«? For det skyldes jo disse mærkværdigheder, at vi overhovedet er her.
xxx/ellauri259.html on line 580: »At der er mennesker på det, vi kalder vores planet, at vi kan færdes på en roterende kugle i et umådeligt verdensrum fyldt med ubegribeligt store objekter med dele så små, at tanken slet ikke kan begribe, hvor små og hvor mange de er.« Hvordan går det til, at disse uendeligt mange små genstande midt i det ubegribeligt store kan holde sammen på sig selv, og at vi kan holde os svævende? Eller?
xxx/ellauri281.html on line 266: Det er kun et drøyt år siden Happolati avløste Michelin-bestjernede Ylajali i den gamle leiligheten på St. Olavs plass - også denne gitt navn etter en av Hamsuns febrile og lokale «Sult»-karakterer. Men vandrende inn i det vellykkede interiøret, føltes Happolati allerede som en etablert Oslo-klassiker. Happolati St. Olavs plass 2, Oslo
xxx/ellauri306.html on line 593: Käytämme myös sanaa semi, esimerkiksi jalkapalloturnauksen välierissä, puoliympyrässä tai paritalossa (eli se jakaa seinän toisen talon kanssa). Semi yksikkösanana on Yhdistyneessä kuningaskunnassa slangi jollekin, joka liittyy miehen yksityiselämään. Jos haluat täydellisen määritelmän, voit tarkistaa sen Urban Dictionary -sanakirjasta: Ei aivan erektio, mutta sinne menossa. "Kun näin Milla Jovovichin tissit, sain semin." Pääsin puoliveteeseen. Milla Jovovich (oik. Milica Jovović, ukr. Ми́лица «Мі́ла» Йо́вович, Mylytsa «Mila» Jovovytš; s. 17. joulukuuta 1975 Kiova, Neuvostoliitto) on ukrainalaissyntyinen yhdysvaltalainen malli, elokuvanäyttelijä ja laulaja. Hänet tunnetaan muun muassa Alicen roolista Resident Evil -elokuvasarjassa.
xxx/ellauri354.html on line 406: lïèo agg. e s. m. [dal lat. Lyaeus, gr. Λυαῖος (propr. «liberatore»), der. di λύω «sciogliere»]. – Nella mitologia greca, epiteto di Dioniso perché, col dono della vite, avrebbe liberato i mortali dagli affanni. Per metonimia, nell’uso poet. (come s. m.), il vino: d’almo lieo [cioè: di generoso vino] Coronando il cratere, a tutti in giro Ne porsero i donzelli (V. Monti).
xxx/ellauri356.html on line 118: En 2020, elle fait partie des premières personnalités à répondre à l'appel de Laurent Joffrin ayant l'intention de lancer un mouvement pour la « refondation d’une gauche réaliste, réformiste ».
xxx/ellauri356.html on line 445: «Что за тля — да на моём сапожке?» "Millainen kirva saappaissani on?"
xxx/ellauri376.html on line 406: Tarpeettoman ihmisen hahmon esikuvana on pidetty Aleksandr Puškinin Jevgeni Oneginin (1823–1831) nimihahmoa ja Mihail Lermontovin Aikamme sankarin (1840) Petšorinia. Ivan Turgenevin Tarpeettoman ihmisen päiväkirja (1850) teki hahmosta yleisen. Tarpeettoman ihmisen päiväkirjan Tšulkaturinin lisäksi Turgenevin tuotannon tarpeettoman ihmisen hahmoja ovat Rudinin (1856) päähenkilö ja Isien ja lapsien (1862) Pavel ja Nikolai Kirsanov. Myös Arkadi Kirsanovin hahmon on tulkittu teoksen lopulla muuttuvan tarpeettomaksi ihmiseksi. «Лишний человек» ищет смысл, цель жизни, но не находит ее. Он не нашел бы свою задницу, если бы искал ее обеими руками.
xxx/ellauri376.html on line 488: « Si Piron a fait la fameuse Ode, il faut bien le gronder, mais l’admettre ; s’il ne l’a pas faite, fermons-lui notre porte.» Fontenelle. (Discours pour l’admission de Piron à l’Académie.)
xxx/ellauri376.html on line 546: « Socrate, — direz-vous, — ce sage,
xxx/ellauri380.html on line 224: Azovin hyökkäysprikaati (ukrainaksi: Штурмова бригада «Азов», latin. Shturmova bryhada "Azov") on Ukrainan kansalliskaartin muodostelma, joka toimi aiemmin Mariupolissa, Asovanmeren rannikkoalueella, josta se on peräisin. nimi. Se perustettiin toukokuussa 2014 nimellä Azov-pataljoona (ukrainaksi: батальйон «Азов», latinoitu: Batalion "Azov"), itserahoitteinen vapaaehtoinen miliisi Andriy Biletskyn komennossa taistelemaan Venäjän tukemia joukkoja vastaan. Donbasin sodassa se liitettiin virallisesti kansalliskaartiin 11. marraskuuta 2014 ja nimettiin uudelleen Special Operations Detachment "Azov"iksi joka tunnetaan myös nimellä Azov-rykmentti. Helmikuussa 2023 Ukrainan sisäministeriö ilmoitti, että Azov laajentaa uuden hyökkäyskaartin prikaatiksi.
xxx/ellauri385.html on line 89: Livets rot (1933) är något mer än bara en naturskildring från Fjärran Österns färgstarka sagovärld, det är en berättelse om människans möte med naturen. Den »livets rot«, den hemlighetsfulla, livsfrämjande, förnyande kraft som de kinesiska jägarna i årtusenden sökt i Fjärran Österns kustdjungler finner Prisjvin i det socialistiska arbetet på den nya mänskliga kultur som växer fram ur vårt alltmer ökande vetande.
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